Théophile De Viau élégie

prônent l'usage du français en poésie, contre celui du latin. Leurs projet est de rendre la langue française moins "barbare et vulgaire" en l'enrichissant. Ils souhaitent également re-populariser les genres poétiques utilisés pendant l'antiquité : élégie, sonnet, tragédie... Les auteurs principaux sont Pierre de Ronsard, Joachim du Bellay, Étienne Jodelle, Jean-Antoine de Antoine Baïf, Jacques Peletier du Mans. Les œuvres clés seront les Amours, de Ronsard et les Regrets de du Bellay. Les Regrets

particulier : au XVIe siècle, les guerres de religion ; les grandes découvertes, contexte scientifique : la Terre n’est plus au centre de l’univers, c’est le Soleil. Auteurs : Tristan l’Hermite, Essais de Montaigne, Malherbe au début de sa carrière, Théophile de Viau, Saint-Amant, Corneille à ses débuts Manifeste : La littérature de l’âge baroque en France de Jean rousset * Classique, soumission à la raison. Les ouvres du classissisme ont pour but de plaire et d’instruire.L’art des grands auteurs de

divertissement fut très à la mode dans les milieux précieux et mondains tout au long du XVIIe siècle. Eglogue : (étym. « pièce choisie ») poème pastoral consistant en un dialogue entre deux bergers. Ce genre antique fut repris en France au XVIe siècle. Elégie : (en grec : « dire hélas ») poème lyrique, caractérisé par l'alternance des hexamètres et des pentamètres, qui finit par se spécialiser dans l'expression des sentiments mélancoliques provoqués par un deuil ou un amour malheureux. Epigramme : en

auteurs/titres 14.1 LE XVI SIÈCLE : LA RENAISSANCE L’humanisme Poésie des Grands Rhétoriqueurs Poésie lyrique (poètes de la Pléiade) • • • • • • • C. Marot. Œuvres poétiques (1538) M. de Sève. Délie, objet de la plus haute vertu (1544) L. Labé. Élégies et Sonnets (1555) P. de Ronsard. Amours (1552) ; Hymnes (1556) J. du Bellay. L’Olive (1549) ; Les Regrets (1558) É. Jodelle. Amours (1565-1570) J. de Sponde. Sonnets sur la mort (1597) Fr. Rabelais. Pantagruel (1532) ; Gargantua (1535) ; etc. M. de

Passage de « Elégie à une dame » de Théophile de Viau : Il revendique la pleine liberté de l’inspiration. « je veux faire des vers qui ne soient pas contraints » Rappel c’est un poète libertin du XVIIe siècle (BAROQUE) Il utilise un peu de provocation pour exprimer ses idées. Cette éloge qui est adressé a Cloris. T. de Viau utilise le registre lyrique( exprime ses sentiments) => « Chercher des lieux ou rien ne me déplaise, Méditer à loisir… » Rapport avec le sens du mot «élégie » :Poème lyrique

peut voir que sur le même sujet de l'amour il existait un point de vue totalement opposé. Au XVII ème siècle, Théophile de VIAU, poète Baroque, nous montre que tout est éphémère et que le changement est naturel. Son poème « Perside, je me sens heureux » qui est une ode (= poème lyrique composé de quatre strophes égales de dix vers) démontre la merveille qu'est la nature et l'amour que VIAU ressent pour elle, de plus il est dédié à Perside. Pour montrer que l'amour peut bien apparaître sous n'importe

Pétrarque (1304-1374), qui devint célèbre principalement pour son recueil de sonnetti, le Canzoniere. Pétrarquisme = manière de mêler virtuosité de la langue, préciosité du vocabulaire et variété des tonalités lyriques ou élégiaque (=Tirant son nom des élégies, poèmes au ton plaintif particulièrement adapté à l'évocation d'un mort ou à l'expression de souffrances amoureuses, elle est une tonalité lyrique fortement empreinte de mélancolie). Pétrarque eut de nombreux imitateurs : Marot, Du Bellay, les poètes

métamorphoser le réel, de déchiffrer les symboles et d’accéder à l’univers des idées. Cette conception du poète médiateur du sacré, et voyant privilégié, fut celle de la Pléiade (XVIème siècle), reprise ensuite par les poètes du XIXème siècle, Hugo, Théophile Gautier, Baudelaire et Rimbaud qui assimile même le poète à Prométhée. B. La poésie engagée La poésie engagée et philosophique, moins proche de nous, tient cependant une place notable à l’époque. Les prises de position religieuse au milieu

passage du temps, dont la métaphore est l’écoulement de la Seine sous le pont Mirabeau, à Paris. Il le compose en 1912, alors qu'il achève sa liaison avec Marie Laurencin qui l'avait rencontré 5 ans plutôt. Il regrette la fin de cet amour. C'est une élégie (le regret face à toute perte), c'est un poème de regret amoureux. Le poète exprime son regret d'avoir perdu cet amour. Un amour qui nous décrit comme s'enfuyant sous le Pont Mirabeau. Ce pont, Apollinaire le traversait en rentrant chez lui après

------------------------------------------------- ------------------------------------------------- La poésie baroque Elle affirme quelques principes communs : goût de la sensualité, des extrêmes, de l’ornementation, du langage à effets. Les poètes notables de l'âge baroque sont Théophile de Viau, Pierre de Marbeuf et Saint-Amant[4]. ------------------------------------------------- La poésie classique François de Malherbe codifie au début du siècle les règles de la versification et est salué par Boileau qui brille dans la poésie d’idées