Thérèse Raquin Dernier Chapitre

Commentaire composé comparatif Thérèse Raquin : les baisers. Ier point : Le premier baiser et son introduction Le premier baiser des amants Thérèse et Laurent arrive assez vite dans l’intrigue, au 6è chapitre. A quoi Emile Zola prépare-t-il le lecteur dans ce passage ? 1- Description du tableau Au début du paragraphe, Laurent vient de finir le tableau de Camille qu’il peint depuis plusieurs jours. L’auteur décrit tout d’abord un « portrait ignoble, d’un gris sale, avec de larges plaques

Lecture méthodique Le chapitre XI est évidemment décisif, puisque c’est celui où Laurent et Thérèse, devenus amants, mettent à exécution le projet évoqué par Thérèse dès le chapitre IX de supprimer Camille. Thérèse souhaite épouser Laurent, pour pouvoir satisfaire sa sensualité sans l’obstacle que représente son mari. Le chapitre étudié présente une promenade au bord de l’eau à Saint-Ouen, suivie d’une partie de canotage, scène qui a été souvent représentée par les peintres impressionnistes, mais

En quoi cet extrait (chapitre 7) révèle-t-il la personnalité de Thérèse ? Au XIXème siècle, les auteurs naturalistes se proposent de montrer le réel avec une grande précision en soulignant l’aspect physiologique des personnages. L’extrait du chapitre treize de Thérèse Raquin écrit par Émile Zola en 1867, nous mène à nous demander en quoi ce passage donne-t-il une vision naturaliste de la morgue. En premier lieu, dès le début, le point de vue interne

Le chapitre IX constitue l'un des pôles du roman, en ce sens qu'il y naît l’idée du meurtre de Camille par Thérèse et Laurent. Ce dernier, n’ayant plus le droit de prendre des congés l’après-midi se trouve dans l’impossibilité de voir Thérèse et celle-ci vient exceptionnellement lui rendre visite dans son " taudis ", le grenier où il loge. Puis elle déclare ne pas pouvoir revenir et, après des épanchements et l’insinuation de la mort de Camille, abandonne Laurent immergé dans les impressions qu’elle

époque de folie et de honte » comme l'appelait Emile Zola. C'est pendant cette période qu'il situe l'histoire de Thérèse Raquin, un de ses premiers romans naturaliste, achevé en 1867. Dans le chapitre onze, Laurent noye Camille dans la Seine pour pouvoir vivre avec Thérèse, mais depuis, la victime hante l'assassin, et au chapitre vingt-cinq, dans le passage que nous allons étudier, ce dernier ne parvient pas à peindre autre chose que le visage de Camille. Comment l'auteur nous montre-t-il que Laurent

dans le résumé, ne peut conduire, dans le texte du conte, qu’it un doute insurmontable (“elle crut voir”), apparu sur un des demiers brouillons du texte. Apothéose, la demiére phrase reste, dans le méme temps, en suspens: “Quand elle exhala son dernier souffle, elle crut voir, dans les cieux entr’ouverts, un perroquet gigantesque, planant au dessus de sa tete”2 Le résumé flaubertien annonce une histoire simple, “c’est tout bonnement déclare-t-il. Cette simplicité affichée renvoie néanmoins it

Commentaire comparé. Séquence VIII. Lecture analytique n°5. Commentaire comparé. (1ère L.)   Commentaire comparé de « La mort des Héros, Acte V, scène 3, Roméo et Juliette, 1597, William Shakespeare, et de « La mort de Thérèse et de son époux », Chapitre XXXII, Thérèse Raquin, 1867, Emile Zola.   INTRODUCTION.    ● William Shakespeare (1564-1616), était le troisième de huit enfants. A l'âge de dix-huit ans, il se maria avec Anne Hathaway, fille de cultivateurs, de huit ans son aînée, et a

l’Homme dans les genres de l’argumentation du XVIe siècle à nos jours. PROBLEMATIQUE : Comment Voltaire propose-t-il un optimisme éclairé par les lumières de la Raison ? [pic] S3 SAPERE AUDES - TEXTE 8 EXTRAIT DU CHAPITRE III Comment Candide se sauva d’entre les Bulgares, et ce qu’il devint. VOLTAIRE, Candide, ou l’optimisme, 1759 Rien n’était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées. Les trompettes, les fifres, les hautbois

LA FONCTION DE LA PEINTURE DANS Thérèse Raquin 1. INTRODUCTION Dans ce roman, parut en 1867, on peut apprécier de nombreuses références à la peinture. Certaines sont plus nettes et on est capable de les apercevoir directement, d’autres sont plus vagues et il faut faire plus attention pour les capter. Dans le premier groupe on pourrait englober les allusions directes, telles que la description des ateliers ou des tableaux. Dans le deuxième on inclurait les descriptions des

Thérèse Raquin de Zola, l’incipit Au bout de la rue Guénégaud, lorsqu’on vient des quais, on trouve le passage du Pont-Neuf, une sorte de corridor étroit et sombre qui va de la rue Mazarine à la rue de Seine. Ce passage a trente pas de long et deux de large, au plus ; il est pavé de dalles jaunâtres, usées, descellées, suant toujours une humidité âcre ; le vitrage qui le couvre, coupé à angle droit, est noir de crasse. Par les beaux jours d’été, quand un lourd soleil brûle les rues, une clarté