Thérèse Raquin Meurtre De Camille

Sujet : Emile ZOLA (1840-1902), Thérèse Raquin, chapitre XI (1867) Le crépuscule venait. De grandes ombres tombaient des arbres, et les eaux étaient noires sur les bords. Au milieu de la rivière, il y avait de larges traînées d’argent pâle. La barque fut bientôt en pleine Seine. Là, tous les bruits des quais s’adoucissaient ; les chants, les cris arrivaient, vagues et mélancoliques, avec des langueurs tristes. On ne sentait plus l’odeur de friture et de poussière. Des fraîcheurs traînaient

personnages à commettrent un meurtre, à se suicider, et effectuer des vengeances qui ont des conséquences terribles. Ces événements qui sont généralement utilisés par les écrivains pour créer des rebondissements, servent également à faire éprouver des émotions au lecteur comme par exemple à l’apitoyer. En effet, dans le roman Thérèse Raquin, écrit par Emile Zola, Thérèse et Camille vivent une vie de couple paisible jusqu’à qu’un troisième élément fasse son apparition : Laurent. Thérèse tombe amoureuse de

héros » va passer à l'acte après avoir prémédité son assassinat. Dans chacun des extraits intervient une description scrupuleuse de l'environnement du tueur, qui s'avère avoir une grande utilité dans le récit. Dans Thérèse Raquin, de Zola, Laurent, alors amant de Thérèse, assassine Camille. Le narrateur laisse transparaître un cadre obscur et pour le moins inquiétant. On relève le champ lexical de l'obscurité : « gris », « sombre », « ombre », « vague ». Ainsi que le champ lexical de l'inquiétude :

Parfois, le dimanche, lorsqu'il faisait beau, Camille forçait Thérèse à sortir avec lui, à faire un bout de promenade aux Champs-Elysées. La jeune femme aurait préféré rester dans l'ombre humide de la boutique, elle se fatiguait, elle s'ennuyait au bras de son mari qui la traînait sur les trottoirs, en s'arrêtant aux boutiques, avec des étonnements, des réflexions, des silences d'imbécile. Mais Camille tenait bon; il aimait à montrer sa femme; lorsqu'il rencontrait un de ses collègues, un de ses

étudié ici est le début du chapitre 5, Zazie raconte à l’inconnu comment son père est mort. On pourrait se demander si la mort du père de Zazie n’a pas été préméditée par sa mère. Dans un premier temps, je parlerai du meurtre puis je finirais par l’attitude de Zazie. 1 – Un meurtre prémédité ? a) La tentative de viol On peut se demander si la tentative de viol du père n’a pas été réfléchie. Répétition de « tout seul » et « il attendait ». b) Le rôle de l’amant La hache qui a servi à tuer

présentent des scènes de meurtre ou de tentative de meurtre. un corpus diachronique composé de trois textes d’époque différente, Thérèse Raquin d’Emile Zola, La Condition humaine d’André Malraux et L’Etranger d’Albert Camus. Il s’agira de montrer ici comment les 3 scènes de meurtres sont racontées et traitées de la même manière nous sommes exposés à des scènes de meurtre ou de tentative de meurtre dans laquelle il y a un assassin, une victime ainsi qu’un témoin. 1-le meurtre Dans les trois textes,

Plaidoirie thérèse raquin Qui accusons nous aujourd'hui? Une femme désemparée, abusée, manipulée et qui se retrouve complètement seule après avoir vécue une telle tragédie dans sa vie. Comment peut-on accepter qu'un homme se serve d'une jeune femme qui se trouva orpheline de mère à seulement l'age de 2 ans, et qui fut adopter par un homme qui , en rentrant dans son pays , la confia directement a sa sœur, sans se soucier d'elle et de son avenir? Comment peut-on persecuter une femme qui a eut une

rappelant que la vie est courte, et qu'il faut se hâter d'en profiter. Vanita vanitarum :vanité des vanités omnia vanitas ; tout n'a pas de sensActivitée 1.Séquence 3 l’écriture a l’épreuve du réel le roman experimental je pense que l’œuvre Thérèse raquin est réaliste car il donne

influence par le romantisme. Sa prémiere oeuvre naturalistique est le roman Thérèse Raquin (1867). L´histoire d´un marriage pas vraiment containte mais pas malheureux de Terez et Camille. Camille presente un jour son ami Lauren a sa femme. Lauren devient l´amante de Tereze apres sertain temps ils deside de toie Camille. Le meurtre est considere comme un accident. Tout devrait ce tourne bien pour les amants mais l´image du meurtre les divise. Ils deviennent fou l´un et l´autre et finissent par se haïr

rien, ni pensées ni intimité (comme Julie d’Étanges qui épouse le vieux M. de Wolmar par dépit de Saint-Preux dans « La nouvelle Héloïse » de Rousseau et Thérèse qui est mariée par convention, sans amour, seule au sein de son couple, étrangère à son mari, Thérèse se sent prisonnière, son horizon est borné et sa vie ne lui appartient pas dans « Thérèse Desqueyroux » de Mauriac). Mais quelques fois le mariage de raison tient car il y a respect mutuel des époux, la confiance, l’attention font qu’une certaine