Théâtre Entre Réel Et Irréel

Le théâtre prend naissance au Vème siècle avant Jésus Christ. Des auteurs antiques comme Aristophane, Euripide, ont contribué au développement de ce tout nouveau genre. Dès lors, le théâtre subit de profondes évolutions. Au moyen Age il quitte la scène théâtral pour être représenté sur le parvis des Eglises. A cette époque, sa fonction est purement religieuse, il est destiné à communiquer au peuple les idées théologiques du pays. Les dramaturges classiques du XVII siècle imposent au théâtre des règles

De tels romans donnent à la fiction une dimension proprement irréelle. Dunes, Frank Herbert = se passe en l’an 10191(Frankenstein ou le Prométhée moderne, Mary Shelley) Avec la science fiction le roman affirme sa fictionnalité et transporte le lecteur dans un univers qui ne ressemble en rien à celui dans lequel il évolue. La rupture avec le réel peut également être symbolique. Le roman permet d’échapper aux imprévus du réel Le genre romanesque abonde de « héros parfaits » et le roman n’est

Naissance du théâtre Dans la représentation, il y a quelque chose qui est d'ordre de lien très fort à la mort. Et c'est le rapport à la mort qui lie l'art à l'Homo Sapiens. On donne donc forme à l'invisible dans l'art c'est-à-dire Dieu. Art des cavernes = pratiques spectaculaires. Le théâtre est présent dès que l'homme est en rapport avec l'invisible : le chamanims, c'est une forme de théâtralité de rituel entre l'invisible et ceux qui regardent (théatrome: celui qui regarde.) Phénomène du

Le théâtre élisabéthain (mouvement) désigne le théâtre anglais sous le règne de la reine Elisabeth I entre la fin du XVIe siècle et le début du XVIIe siècle. Shakespeare, l’un des dramaturges les plus connus au monde, est aussi l’un des plus grands représentants ce mouvement. Son théâtre est original, il n’y a pas de décor, et il mélange les registres et les genres. C’est un véritable modèle du théâtre romantique. Shakespeare a écrit de nombreuses pièces connues dans le monde entier tel que Macbeth

Intro : François Marie Arouet dit Voltaire naît en 1694 et décède en 1778 (84 ans). Issu de la bourgeoisie, il entre à 10 ans chez les Jésuites ; meilleur élève du collège grâce à ses superbes vers, il apprendra très vite à parler aux grands de ce monde. Après un passage en prison, il comprit : il était fait pour écrire. Il commença donc en 1718 avec une première pièce de théâtre Œdipe qui remporta un franc succès. Mais sa plus grande œuvre restera Candide qui a fortement influencé les Lumières

20 ans, après de médiocres études au lycée de Nijyn il part pour Saint-Pétersbourg où il écrit son premier livre : « Les veillées du hameau près de Dikanka » . Son père, décédé en 1825 alors que Nicolas n'a que 16 ans, écrit de petites pièces de théâtre et développe le goût de son fils pour la littérature. Sa mère lui donne une éducation religieuse traditionnelle qui au fil des ans évoluera vers un mysticisme (angoisse du mal et du jugement dernier et de la mort). En 1829, Gogol publie, sous le

modernité au théâtre. On connaît Mademoiselle Julie, Père, Créanciers, La danse de mort, pièces souvent jouées en France. On ignore souvent l’énorme production littéraire de Strindberg : pièces historiques, drames à stations ou jeux de rêve pour qualifier des pièces inclassables comme Le chemin de Damas, pièces " de chambre ", mais aussi récits, essais, articles, correspondance passionnante, entre autres avec Zola ou Nietzsche, réflexions sur le théâtre partiellement recueillies dans " Théâtre cruel

biens. On remarque le champ lexical de l’apparence qui montre l’hypocrisie : « je me jette à corps perdu dans le théâtre » (v.26-27), « et voilà ma comédie flambée » (v.34) > Il y a une opposition entre la naissance qui provoque la vanité (=pensée inefficace) (ex : « Parce que vous êtes un grand seigneur » (v.8), « homme assez ordinaire » (v.12)) et le mérite. Il y a une absence de mérite réel puisqu’on accululation des privilèges : « Noblesse, fortune, un rang, des places » (v.9) De plus, Figaro

L’auteur d’une pièce de théâtre est le créateur même de cette pièce, il écrit les dialogues, créé des personnages,…Alors qu’un metteur en scène n’apparait qu’après. En effet, le metteur en scène, lui, met une certaine forme au texte en donnant ses sentiments, et en donnant vie aux personnages créés par l’auteur. Au final l’acteur et le metteur en scène participe à la création du personnage. La mise en scène en elle-même est avant tout un art, elle porte sur scène un texte en utilisant les ressources

personnages (de rang médiocre ou simples nobles, pas de rois etc.), l’intrigue (avec un noeud), le style (médiocre, pas emphatique). Le rire n’est pas indispensable, plutôt l’émotion, mais le comique est l’attrait principal. Le but est de peindre le réel, d’instruire le spectateur. Mais écarts avec la vraisemblance fréquents et prétentions morales sont bien souvent des précautions prudentes. Bref, une tradition héritée de la comédie latine se transmet au-delà des différences. Le genre s’essouffle