Tirade Orgon Tartuffe

gens est provoqué par un spectacle qu’ils jugent incongru (v. 1). - V. 3. Le narrateur prend implicitement parti en faveur du vieillard : « jouvenceaux ». - V. 4. Discours indirect libre. • V. 5-12 : longue tirade des « jouvenceaux » (8 vers). • V. 13-27 : plus longue tirade du vieillard (15 vers). - V. 13. Vivacité d’esprit du vieillard : répétition quasiment littérale de leur dernière phrase, avec négation -> sens de la répartie. - V. 14. Pause à l’hémistiche, qui augmente l’intensité

sociale, en vers comme Le Misanthrope (1665), Tartuffe (1664-1669), Les Femmes savantes (1672), ou en prose comme Dom Juan (1665). Peintre des mœurs de son temps, surtout de la bourgeoisie dont il dénonce les travers(prétention nobiliaire, place des femmes, mariage d'intérêt...), Molière a créé en même temps des personnages individualisés emblématiques et approfondis dont la liste est longue : Monsieur Jourdain, Harpagon, Alceste et Célimène, Orgon et Tartuffe, Don Juan et son valet Sganarelle, Argan

Faites la « définition » du texte (voir sujet n° 1, p. 24). Extrayez de cette « définition » des questions à se poser sur le texte ou ses centres d’intérêt ; ce seront les idées directrices de votre commentaire. Scène d’exposition comprenant une longue tirade de drame (genre) romantique (mouvement) dramatique (registre) dans laquelle un grand seigneur exhale sa colère (thème) devant ses valets, spectaculaire (adjectif), pour exposer la situation et créer l’atmosphère, et brosser le portrait d’un des protagonistes

destinée. La tragicomédie (ou comédie héroïque) apparaît de façon très pure dans les scènes avec Don Carlos (III, 3-4 ; V, 3). Les relations avec Don Luis se situent tout à fait dans ce registre et il semble même que Molière ait parodié Corneille dans la tirade de l'acte IV). La pastorale de l’acte II évoque des campagnards vivant dans une nature idyllique. La comédie sérieuse marque les rapports entre Don Juan et Sganarelle, mais la farce marque le jeu de celui-ci. Le burlesque est également sans cesse

destinée. La tragicomédie (ou comédie héroïque) apparaît de façon très pure dans les scènes avec Don Carlos (III, 3-4 ; V, 3). Les relations avec Don Luis se situent tout à fait dans ce registre et il semble même que Molière ait parodié Corneille dans la tirade de l'acte IV). La pastorale de l’acte II évoque des campagnards vivant dans une nature idyllique. La comédie sérieuse marque les rapports entre Don Juan et Sganarelle, mais la farce marque le jeu de celui-ci. Le burlesque est également sans cesse

l’Impromptu de Versailles, pièces dans lesquelles il tourne en dérision ses détracteurs (petits marquis, faux vertueux, troupe rivale de l'hôtel de Bourgogne…) 1664 Tartuffe, joué à Versailles, provoque un tollé chez les catholiques. La pièce est interdite à la demande de l’archevêque de Paris. La bataille de Tartuffe durera près de cinq ans. Remaniée, la pièce sera à nouveau interdite en août 1667. Elle sera cependant jouée, en présence du frère du roi, chez le Grand Condé. 1665

Distribuer un extrait de texte sans aucune référence et un questionnaire à chacun des groupes. Idéalement, le genre de l’extrait devrait être différent du genre du résumé sur lequel le groupe avait travaillé. ▪ Extraits proposés o Molière, Tartuffe, Acte i, Scène 1 o Racine, Bérénice, Acte iv, Scène 5 o Corneille, Le Cid, Acte i, Scène v o Marivaux, Le jeu de l’amour et du hasard, Acte iii, Scène 8 o Beaumarchais, Le barbier de Séville, Acte ii, Scène 1 o Alfred de

même quand les didascalies se veulent très précises. Les circuits de la parole Exercice 7* 1. La plus longue réplique du général ressemble à une tirade car elle ne se contente pas de répondre à l’interlocuteur, elle donne une explication qui se transforme en discours : cette théorie du courage s’adresse autant au public qu’à Toto. 2. La tirade est frappante par la façon paradoxale dont elle présente le courage : une fuite en avant. Elle fait briller l’auteur et contribue au plaisir que donne

encore une fois la page présent à son issu.  Le spectateur jouit en effet de cette situation typique mettant en scène un personnage caché, invisible, qui entend des paroles qui ne lui sont pas destinées, comme Orgon dissimulé sous une table assistant à la scène de séduction que joue Tartuffe à sa femme Elmire, dans la pièce de Molière. 3 - ACTE I, scènes 10 et 11 Résumé Figaro investit la scène accompagné d’une foule constituée des vassaux du Comte, pour réclamer devant tous, qu’il renonce

parce qu’elle t’honore ! » La tirade offre un célèbre exemple d’anaphore (répétition d’un mot en début de phrase ou de vers). Ce sera néanmoins la dernière que Camille aura l’occasion de prononcer : son frère, outragé, la poursuivra jusqu’en coulisse pour la tuer. Il reviendra sur scène, ayant lavé l’affront, en proclamant : « Ainsi reçoive un châtiment soudain/Quiconque ose pleurer un ennemi romain. » On joue aujourd’hui fréquemment avec le vers qui ouvre la tirade de Camille pour exprimer de façon