Tirade Sganarelle Tabac

nous surprendre du fait de cette porte originale par une tirade faisant un éloge paradoxal, celui du tabac, il n’en est pas moins que cette première scène peut se lire semblable un scène d’exposition. En effet, cette scène entonner par piquer la curiosité du pick-up par un éloge absurde qui annonce une tonalité comique, elle se remettre la intouchable délibération au milieu de personnages qui se tenir de de présenter la sort et sganarelle fait le semblance de son maître, en cela il présente le héros

acte I : la présentation d'un héros libertin Scène 1 : discussion entre Sganarelle et Guzman (valets). Éloge paradoxale du tabac par Sganarelle ; évocation de l'abandon d'Elvire par Dom Juan ; portrait négatif de Dom Juan par Sganarelle Scène 2 : première apparition du héros éponyme ; éloge de l'infidélité par Dom Juan, qui apprend par la suite à Sganarelle qu'il aime une autre femme. Discussion entre Dom Juan et Sganarelle au sujet de l'immoralité de Dom Juan. Premières allusions au Commandeur

plateau peut nous voir du fait de cette ouverture originale par une tirade faisant un défense paradoxal, celui du tabac, il n’en est pas moins que cette première séquence peut se lire que un scène d’exposition. En effet, cette scène commence par éveiller la espionnage du pick-up par un éloge paradoxal qui annonce une tonalité comique, elle reprend la habituel délibération entre manitou qui se doivent de développer la métier et sganarelle fait le portrait de son maître, en cela il manifeste le héros.

Acte I Scène 1 : Dom Gusman, Sganarelle. Après un éloge burlesque du tabac, Sganarelle, valet de Dom Juan reprend sa conversation avec Gusman, écuyer de Done Elvire. Le spectateur apprend que Dom Juan, après avoir séduit, enlevé Done Elvire du couvent et l’avoir épousée, l’a abandonnée. Dom Gusman s’interroge sur le pourquoi de la fuite de celui-ci. Sganarelle esquisse le portrait d’un maître « grand seigneur méchant homme », « épouseur à toutes mains », « libertin » qui ne craint ni « Ciel

1665. Il est mort le 17 février 1673, alors qu’il jouait sur scène. . Résumé : Dom Juan est un homme riche toujours accompagné de Sganarelle, son fidèle valet. Infidélités, fourberies, avarice, lâcheté, polygamie, hypocrisie, telles sont ses valeurs. Il dit que sa seule croyance est « deux et deux sont quatre et quatre et quatre sont huit ». Cet homme va séduire Done Elvire, Charlotte

tous les informations sont destinés au publique plus qu'au valet lui-même. A) Une intrigue surprenante : → Le rôle informatif de la scène d'exposition (intrigue etc.) n'est pas correctement rempli. Au début, elle présente un éloge paradoxal du tabac. → Le schéma type d’une comédie classique (= deux amoureux qui s’aiment mais sont séparés par leurs parents) n’est pas respecté, puisque les amoureux ne sont pas vraiment amoureux et sont déjà séparés. Cela choque les spectateurs. (Il faut citer

l’analyse du fond de la pièce. Tout d’abord, Molière ne respecte absolument pas les codes aristocratiques. En effet, dans la scène d’exposition, Sganarelle décrit un portrait peu aimable de son maitre. Or, jamais à cette époque un valet ne se risquerait de parler ainsi. Dans la mise en scène de Delcampe, Dom Juan est récepteur additionnel de Sganarelle durant son discours et il ne relève aucunement les propos de son valet, ce qui est improbable à l’époque. Au contraire, dans la mise en scène de Mesguich

Synthèse acte I Une exposition contrastée I) L’entrée en scène du héros Le personnage principal est présenté progressivement au spectateur. Il fait l’objet d’un premier portrait, très négatif, par son valet Sganarelle. Celui-ci cherche surtout par là à se faire valoir auprès de son interlocuteur, Gusman- et Molière entend ainsi préparer le public et piquer sa curiosité. Le libertin fait son apparition à la scène 2 et use devant son valet, comiquement soumis, de toutes les ressources de

prêt à tout pour conquérir une femme : dans la scène d’exposition de cette pièce, Sganarelle le qualifie d’ « épouseurs à toutes mains », dans ces actes, il courtise puis rejette Done Elvire et il courtise également une puis deux paysannes, Charlotte et Mathurine. L’acte trois, l’acte du nœud dévoile ensuite l’aspect athée du libertin, il ne croit pas plus en Dieu qu’à la médecine : dans la scène 1 de cet acte, Sganarelle entame un débat sur la religion auquel Dom Juan répond de manière très sibylline

qui illustre un personnage, le libertin et un comportement : le défi, la transgression. Le mythe de Don Juan et son évolution. Œuvre intégrale. Lectures analytiques (édition au choix des élèves): 1. La scène d’exposition, I, 1 : dernière tirade de Sganarelle, « Je n’ai pas grande peine à le comprendre » à « je dirais hautement que tu aurais menti. » 2. L’éloge de l’inconstance, I, 2 : « Quoi ! Tu veux qu’on se lie » à « pour y pouvoir étendre mes conquêtes amoureuses. » 3. La scène du pauvre