Titus Flaminius

trône, et, par un stratagème, le fait venir du camp où il venait de remporter la victoire. Nicomède et son demi-frère sont amoureux de Laodice, reine d'Arménie, qui vit à la cour de Prusias : seul l'amour du premier est partagé. L'ambassadeur romain Flaminius, ayant achevé une mission dont il était chargé, s’attarde en Bithynie pour comploter avec Arsinoé contre Nicomède dont la gloire et la future grandeur portent ombrage aux Romains, empêcher son mariage avec Laodice, et l’écarter définitivement du

= classe équestre peuvent s’acheter des chevaux ce sont plus des hommes d’affaires.(chevalier) Aetius à perdu son père, à la seconde guerre punique, il hérite de la fortune de son père mais il est sous la tutelle de sa mère et de son nouveau mari (Titus) qui a dilapidé l’argent de son beau-fils. Aetius réclame la fortune. C’est de là que viendrait l’idée d’initié Aetius au culte de Bacchus il doit subir 10 jours de la Castimonia (= être Castus cad une série d’obligation l’abstinence mais aussi alimentairement

conquiert en 283 sur les Senons en Gaule Cisalpine, un vaste territoire distribué entre 60 000 citoyens pauvres (ager gallicus). Elle fonde les colonies de Crémone et de Plaisance. Elle a confié l’organisation et l’administration à son 1er préteur, Flaminius. La 2ème guerre punique ou guerre d’Hannibal (218-201) Les origines du conflit En 219, Hannibal assiège et prend Sagante = cause de la guerre. Les 2 Etats veulent la guerre, Carthage avec l’espoir d’une vengeance, Rome pour agrandir ses possessions

romaines perdues, 15 000 hommes). Les celtes du Pô fournissent des contingents (Sources : 20 000 gaulois). Fin de l’année 218 : les consuls de 217 rencontrent Hannibal. Caius Flaminius va être nommé consul en 217 et l’autre consul se poste au Nord de Rome : un en Etrurie et l’autre Réminy. Au lac Trasimène, le consul Flaminius va être tué ainsi que 3 légions. Les consuls de 218 et 217 sont battus. Rome a recours à la nomination d’un dictateur : Q.Fabius Maximus. Il est d’une grande famille patricienne

Remus, qu'Amulius de fureur aurait jetés dans le Tibre. Les enfants auraient survécu grâce à une louve. Plus tard, ils auraient réinstallé Numitor sur son trône pour fonder leur propre ville, Rome. Romulus semble avoir partagé son règne avec le Sabin Titus Tatius, suivi par Numa Pompilius, Tullius Hostilius et Ancus Marcius; ensuite avec les Étrusques, Tarquin l'Ancien (Priscus), Servius Tullius et Tarquin le Superbe après qui la République fut fondé. Les débuts de la ville furent très modestes: pendant

réduits à l’état de vestiges, ruines que d’autres ruines ont recouvert. Mais le débat a rebondi dans les années 80. En 1985, le professeur Andrea Carandini fut chargé de l’exploration d’une zone située au pied du palatin, sur le forum entre l’arc de Titus et la maison des Vestales, zone jusqu’à maintenant à l’écart des zones traditionnelles de fouilles. On a d’abord trouvé les restes de maisons républicaines (vers le 3e et les 2 e siècles av. notre ère). Dessous, on a trouvé plusieurs grandes demeures

(Celtes) rançonnent le royaume de Lydie et la Phrygie   -229 * mort d’Hamilcar Barca.   -229 * guerre d’Illyrie ; triomphe du consul Cn. Fulvius (228).   -225 à -222 * guerre contre les Gaulois.   -223 * victoire du consul C. Flaminius sur les Gaulois (prise de Milan).   -222 * victoire des consuls M. Claudius Marcellus et Cn. Cornelius Scipion sur les Insubres (prise de Clastidium) ; fondation des colonies de Cremone et de Plaisance.   -221 * mort d’Hasdrubal, Hannibal

journées de marche. Au premier choc, la horde cisalpine perdit 40.000 soldats, près du cap Télamone. L’année suivante (224), deux consuls, chargés de conquérir la Cisalpine, soumirent les Anamans, les Boïens et les Lingons. L’année après (223), Flaminius et Furius, franchissant le Pô, prennent la Transpadane, écrasent les Insubres, et enfin (222), Cornélius et Marcellus battent 30.000 Gaulois, venus des bords du Rhône, — des Gésates, — au secours des Cisalpins, anéantissent les Insubres, confisquent

ils n'ont pas su s'assurer des grands. Sans de telles fautes, on ne perd point des États assez puissants pour mettre une armée en campagne. Philippe de Macédoine, non pas le père d'Alexandre le Grand, mais celui qui fut vaincu par T. Quintus Flaminius, ne possédait qu'un petit État en comparaison de la grandeur de la république romaine et de la Grèce, par qui il fut attaqué ; néanmoins, comme c'était un habile capitaine, et qu'il avait su s'attacher le peuple et s'assurer des grands, il se trouva

amitié, ils n'ont pas su s'assurer des grands. Sans de telles fautes, on ne perd point des États assez puissants pour mettre une armée en campagne. Philippe de Macédoine, non pas le père d'Alexandre le Grand, mais celui qui fut vaincu par T. Quintus Flaminius, ne possédait qu'un petit État en comparaison de la grandeur de la république romaine et de la Grèce, par qui il fut attaqué ; néanmoins, comme c'était un habile capitaine, et qu'il avait su s'attacher le peuple et s'assurer des grands, il se trouva