Titus

départ de Bérénice, offensée par le silence de Titus. Le dépit a succédé en elle au désespoir et à la fureur destructrice. Elle a écrit à l’empereur. Titus, lui, est retenu par le peuple de Rome qui en l’acclamant le lie irrémédiablement. - Avec son habituelle naïveté inquiète, Antiochus aperçoit pour lui un espoir dans ce départ tout en sachant que le sort lui est si obstinément défavorable qu’il risque, une fois encore de subir une infortune. Titus paraît et Antiochus voit ses craintes confirmées

EVALUATION – MAISON : LE COMMENTAIRE DE TEXTE Consigne : A l’aide de l’analyse faite en classe (et de tous les procédés stylistiques évoqués), rédigez le commentaire de ce texte à partir de la problématique : « Comment l’évocation du couronnement de Titus révèle à la fois la passion de Bérénice et son inquiétude quant à leur amour ? ». L’introduction et la conclusion sont déjà faites. Il suffit de faire le développement dans l’ordre qui vous est donné dans le « Plan détaillé ». Utilisez des connecteurs

Scène 5
Bérénice, Titus  || BERENICE, en sortant                Non, laissez-moi, vous dis-je. En vain tous vos conseils me retiennent ici : Il faut que je le voie. Ah, Seigneur ! Vous voici. Hé bien, il est donc vrai que Titus m'abandonne ? Il faut nous séparer. Et c'est lui qui l'ordonne. TITUS N'accablez point, Madame, un prince malheureux. Il ne faut point ici nous attendrir tous deux. Un trouble assez cruel m'agite et me dévore, Sans que des pleurs si chers me déchirent encore

Le personnage Principal : Titus Pomponius Capitolinus. Titus naît en Italie, il appartient à une famille riche et patriarche. Titus a cinq sœurs et découvrira plus tard un frère jumeau qui s’appelle Trifon. A Seize ans, il s’est engagé dans l’armée pour protéger la république et ne pas déshonorer sa famille, mais surtout, il voulait voir un éléphant. Avant de s’engager dans l’armée, il apprit le grec avec un esclave grec chez un ami de son père. Titus est devenu cavalier dans l’armée

Bérénice, Racine Acte 3, scène 3, vers 870 à 918 Introduction : L’acte 3 est l’acte de la révélation de la décision de Titus. Il s’agit d’un acte de retardement du face à face entre Titus et Bérénice. Antiochus est associé à l’action principale en tant que porte parole entre Bérénice et Titus. C’est une scène décisive pour Bérénice qui se retrouve face à la décision de Titus de se séparer d’elle. Elle apprend cela par une personne interposée et met en place une stratégie de défense d’elle-même

tristesse majestueuse » Résumé de Bérénice I) Personnages Titus : Empereur de Rome. Il accède au trône suite à la mort de son père. Il souhaite épouser Bérénice, qu’il aime éperdument mais l’accession au trône change sa vision des choses. Il prend conscience que son amour ne peut pas durer. Bérénice est la reine de Palestine. C’est une reine très humaine qui place son existence dans l’espérance de son mariage et de son amour avec Titus. Elle ne parle que le langage de l’amour sans tenir compte

I, on peut remarquer que l’espace où se trouvent les personnages d’Antiochus et d’Arsace se situe entre les appartements de Titus et de Bérénice : Antiochus est devant une porte qui est « prochaine » de l’appartement de Titus et « cette autre conduit dans celui de la Reine ». Antiochus décris la beauté de ces deux salles . Lorsque Antiochus parle du cabinet de Titus, il souligne son côté plein de grandeur comme suggère l'adjectif « superbe ». D’autre part, Lorsqu'il utilise le terme « secrets

l’acte IV scène 5 de Bérénice, l’empereur de Rome Titus est confronté à un conflit entre le choix de l’amour qu’il porte à Bérénice, sa fiancée étrangère, et le pouvoir qu’il doit respecter pour son peuple. En quoi l’opposition entre l’amour de Bérénice et le choix du pouvoir de Titus rend-elle cette scène tragique ? Ainsi, dans un premier temps, nous analyserons l’amour de Bérénice, puis dans un second temps, nous analyserons le choix du pouvoir par Titus. En effet, dans cette scène Racine

4, Le monologue de Titus. Bérénice= une tragédie en vers de Racine qui connaît un triomphe dès sa première représentation en 1670; elle se caractérise par “cette tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie”(cf Préface), mais aussi par une esthétique radicalement nouvelle défendue par Racine dans cette préface : esthétique reposant sur la simplicité extrême de l’intrigue. Mise en situation du passage: Malgré sa décision annoncée de renvoyer Bérénice, Titus s’est montré jusque

reçoivent, au contraire, de Titus une lumière qui les rehausse (vers 307) ;ainsi, la foule d'assistants "empruntent leur éclat" à l'empereur. Il est comme une lumière fascinante qui attire les regards de tous, au centre de la scène. Cette focalisation est nette : l'énumération de l'assistance, "cette foule de rois, ces consuls, ce sénat", met en valeur par contraste l'unicité de Titus, dont le nom est accentué à l'hémistiche : "confondre sur lui seul leurs avides regards". Titus est présenté comme un pôle