Titus

avec Titus l'empereur de Rome. Elle promet de ne rien dire à ce sujet et Antiochus décide de quitter Rome et de retourner sur ses états. Le peuple de Rome acceptera-t-il l'union de Titus et Bérénice ? Titus demande à son confident, Paulin les réactions possibles du peuple face à son union avec la Reine. Celui-ci déclare que la loi de Rome interdit de lier le sang romain avec le sang étranger. Comme le craignait Titus le peuple risque de refuser Bérénice en tant que reine. Face à Bérénice Titus ne trouve

que l'empereur Titus est un personnage historique, ainsi que Bérénice. C'est l'historien romain Suétone qui évoque très brièvement leur liaison et le déchirement occasionné à tous deux par leur rupture. Questions possibles : En quoi ce monologue exprime-t-il parfaitement le conflit qui tourmente Titus ? Comment s'opposent, dans ce monologue, les raisons du coeur et la raison d'état ? Pourquoi peut-on parler de délibération à propos de ce monologue ? Quelle image du chef d'état Titus donne-t-il

« Bérénice ». Titus, qui vient d’accéder à l’empire, et Bérénice, reine de Palestine sont amoureux. Mais les lois romaines s’opposent à ce mariage car Bérénice est étrangère. Titus doit donc la renvoyer lors d’une scène d’adieux. Le passage que nous allons étudier est un extrait de l’acte IV scène 5 de cette pièce de théâtre et plus précisément de cette scène d’adieux. Dans un premier temps, nous verrons les arguments de Bérénice puis nous nous intéresserons au personnage de Titus et nous verrons

Sujet : Scène 7 Titus, Bérénice, Antiochus TITUS (v.1426) Venez, Prince, venez, je vous ai fait chercher. Soyez ici témoin de toute ma faiblesse ; Voyez si c'est aimer avec peu de tendresse : Jugez-nous. ANTIOCHUS (v.1430) Je crois tout : je vous connais tous deux. Mais connaissez vous-même un prince malheureux. Vous m'avez honoré, Seigneur, de votre estime ; Et moi, je puis ici vous le jurer sans crime, A vos plus chers amis j'ai disputé ce rang : Je l'ai disputé même aux dépens

dépouille sa pièce d’action. En effet, la pièce contient peu de péripéties, aucune scène de violence et le dénouement n’entraîne la mort d’aucun personnage. La scène 3 de l’acte III est le pivot de la pièce : l’annonce de la terrible décision de Titus. C’est Antiochus qui est chargé par l’empereur de lui révéler la vérité. On assiste dans cette scène à l’affrontement entre Bérénice et Antiochus, un messager bien mal choisi. Après voir souligné que cet entretien ressemble à un face à face, nous

Le rideau se lève sur le « cabinet » où Titus et Bérénice ont l’habitude de se retrouver. Toute l’action se déroulera dans cette pièce qui à la fois sépare et réunit les amants ; les personnages viendront s’y confier, pleurer et dire leur souffrance. Le choix du lieu est bien sûr symbolique et donne le ton : "Bérénice" nous parle d’amour secret, « superbe et solitaire » (v.3), à l’image de ce cabinet. Ces adjectifs pourraient d’abord s’appliquer à la passion d’Antiochus pour Bérénice : réduit au

Le grand-père est sénateur, et son petit-fils Titus, âgé de 16 ans, a hâte de pouvoir aller combattre les troupes d’Hannibal. Mais avant son départ, sa mère lui apprend un terrible secret : l’existence d’un jumeau qui a été abandonné suite à un songe néfaste qui annonçait entre les deux enfants une

pièce, même si elle met du temps a rentrer dans son rôle (il faut attendre quelques scènes avant de ressentir les émotions de Bérénice)  Patrick Catalifo n'est absolument pas convaincant. Rares sont les passages ou l'on ressent l'amour que Titus éprouve pour Bérénice. Il n'a rien d'un empereur, et ce n'est pas son costume qui pourrait l'aider a rentrer dans le rôle.  Antiochus, dans la pièce de Racine, est un personnage triste, désespéré. Ici, Hammou Graïa ne cesse de s'énerver et

Bérénice, elle, apprécie le roi de Comagène, mais aime d'un fort amour Titus. Au moment où Antichus déclare son amour à Bérénice et lui annonce son départ, elle lui dit : « Seigneur, je n'ai pas cru que, dans une journée/Qui doit avec César unir ma destinée/[...]/je fais plus : je reçois vos adieux » (259-265). Elle lui fait bien comprendre que bien qu'elle apprécie Antichus, elle ne quittera pas l'homme qu'elle aime, Titus, d'un amour réciproque. « Bérénice me plut. Que ne fait point un coeur/

Tuileries, pour le mariage du Duc de Nevers, et fut publiée en 1671 ; le sujet est inspiré cette fois de Suétone : celui-ci, dans un souci d'hagiographie, mentionnait seulement que Titus avait renvoyé Bérénice, inuitus inuitam, lorsqu'il était devenu empereur, "oubliant" une première rupture imposée cette fois par Vespasien à un Titus encore jeune homme, et débauché... Racine accepte sans discuter cette version d'un couple exemplaire, contraint à la séparation par la Raison d'État. Peut-être peut-on y voir