Titus

dans la pièce. Cette pièce de théâtre est écrite en 5 actes, elle respecte la règle de la vraisemblance ainsi que celle des trois unités. Ce texte met en avant Titus, empereur romain amoureux de Bérénice, princesse de Palestine. Mais cet amour est impossible car le peuple romain refuse l’union de leur souverain avec une étrangère. Titus demande alors à Bérénice de quitter Rome afin de conserver le pouvoir. Lors de l’acte V scène 5, Racine met en scène Bérénice qui s’apprête a quitter la ville. C’est

se lève. Ainsi, dans Bérénice de Racine créée en 1670, Titus, héros incontesté de la Rome antique, se trouve confronté à un dilemme qui d’emblée suscite la terreur chez le lecteur : choisir entre la raison d’état qui refuse qu’une reine étrangère puisse devenir impératrice et Bérénice, reine de Palestine qu’il aime. A la scène 5 de l’acte V, alors qu’on est proche du dénouement, le dilemme tragique ne semble toujours pas tranché. Titus quitte à peine le Sénat et n’a toujours pas pris une décision

En quelle extrémité me jetez-vous tous deux ! Soit que je vous regarde, ou que je l'envisage, Partout du désespoir je rencontre l'image. Je ne vois que des pleurs, et je n'entends parler Que de trouble, d'horreurs, de sang prêt à couler. (à Titus) Mon coeur vous est connu, Seigneur, et je puis dire Qu'on ne l'a jamais vu soupirer pour l'empire. La grandeur des Romains, la pourpre des Césars N'a point, vous le savez, attiré mes regards. J'aimais, Seigneur, j'aimais : je voulais être aimée

Bérénice Acte IV, scène 4 - 1670 (page 282) Titus est empereur de Rome. Amoureux de la reine Bérénice, originaire de Palestine, il se heurte à l'opposition du Sénat et de Rome, qui lui interdisent tout mariage avec une étrangère. Resté seul, il s'interroge une dernière fois avant d'aller annoncer à Bérénice une inévitable séparation. Indices du monologues et termes du dilemme Titus se parle à lui-même à la 3ème et la 2ème personne du singulier Titus et Bérénice s'aime, mais leur amour est rendue

l’époque où Titus vient mettre le siège devant Jérusalem. Celui-ci la voit, l’aime et, lorsqu’il est vainqueur, l’emmène avec lui à Rome dans le dessein de l’épouser. Antiochus suit la reine et continue à la voir sous le voile de l’amitié, espérant toujours que quelque obstacle imprévu viendra traverser les projets de mariage de son rival. Son espoir n’est pas trompé. Le sénat vient faire connaître à l’empereur que les Romains se refusent à accepter une étrangère pour impératrice. Titus se voit donc

Vespasien : né le 17 novembre 9 et mort le 24 janvier 79 Titus : né le 30 décembre 39 et mort le 13 septembre 81 Domitien : né le 24 octobre 51 et mort le 18 septembre 96 Question 2 a) Son nom est Titus Flavius Domitianus puis en 83 Imperator Caesar Domitianus Augustus Germanicus. b) Domitien est le deuxième fils de Vespasien et de Domitilla, frère et successeur de Titus. Son épouse : Domitia Longina 2 enfants : un fils Titus Plavius et une fille ; tous deux sont morts enfants.

l’évolution du texte sans que tu fasses pour autant du ligne à ligne. Chaque début de partie doit présenter très brièvement ce que tu vas tenter d’expliquer. (par exemple: Ce passage de « Bérénice » est particulièrement révélateur du désespoir de Titus qui est dans l’impossibilité d’affronter le regard de celle qu’il aime.) L’introduction Il est judicieux de s’attaquer à l’introduction une fois que l’on connait son plan. Le correcteur va lire ta copie en se mettant dans la peau de quelqu’un

l’héritage d’un père pas encore tout à fait mort et qui vient les punir (Etéocle et Polynice, Néron et Britannicus, Pharnace et Xipharès) * Le fils, déchiré jusqu’à la mort entre la terreur du père et la nécessité de le détruire (Pyrrhus, Néron, Titus, Pharnace, Athalie) L’inceste, la rivalité des frères, le meurtre du père, la subversion des fils, sont les actions fondamentales du théâtre racinien. Le tuf archaïque est tout près, la pureté de la langue, les grâces de l’alexandrin, la précision

puisque là on profite de ce qu'on est sur internet et je vais chercher une image de Titus, un empereur comme ça. On verra quand même de qui étaient alors des images. Voilà. Regardez, c'était lui, Titus : Alors ça va monter son équipe. Tiens, voilà, Ce n'est pas une merveille. Donc comment faisait quand il était plus âgé, quand il était jeune et qu'elle est tombée raide dingue de lui ? Vous voyez ? Le voilà ! Titus, l'empereur romain ? Ah, c'est celui-là ! Non, vous le voyez avec la toge, la toge

de Jean Racine. Cette dernière œuvre a pour thème « la séparation de l'empereur Titus et de la reine de Judée Bérénice, qui sacrifient leur amour « malgré lui et malgré elle » à la raison d'Etat ». Ainsi, l'extrait de la scène 5, de l'ace V « non, je n'écoute rien….et vous me l'ordonnez » (v. 1303 – 2347), dont je ferais le commentaire marque la prise de conscience de Bérénice, qui assume désormais la décision de Titus et qui, dès lors, est prête à s'en aller. L'étude de cet extrait soulignera la