Toile d'araignée

souris vagabondaient dans les feuilles au sol, j'entendais aussi les écureuils dans les branches qui grignotaient leurs noisettes. J'entendais aussi le bruit des sabots des cerfs sur le sol et le vol des différents oiseaux, il y avait plein de toile d'araignée. J'avais l'impression que la forêt essayait de me ralentir, elle ne voulais pas me laisser aller voir le vieux sage. Cela me faisait peur car cela donnait l'impression que la forêt était enchanté. J'étais angoissé, je ne savait pas ce qui pouvait

de la Toile En tant qu’utilisateur de CERNET, le réseau du CERN, le chercheur Tim Berners-Lee conçoit l’idée de naviguer simplement d’un espace à un autre d’Internet à l’aide de liens hypertextes etgrâce à un navigateur. Tim Berners-Lee parle de la création d’une toile, tout internaute pouvant aller d’un contenu à l’autre suivant des voies multiples. Il présentera son projet au CERN en Novembre 1990. Pendant les trois années suivantes, il travaillera à l’apparition du World WideWeb, « toile d’araignée

décentralisé, permettant au réseau de fonctionner malgré la destruction d'une une ou plusieurs machines. Paul Baran est considéré comme un des acteurs principaux de la création d'Internet. Il eu l'idée, en 1964, de créer un réseau sous forme de grande toile. Il avait réalisé qu'un système centralisé était vulnérable car la destruction de son noyau provoquait l'anéantissement des communications. Il mit donc au point un réseau hybride d'architectures étoilées et maillées dans lequel les données se déplaceraient

« esprit errant ». Nous sommes en présence de personnages menaçants avec les termes « peuple muet d’infâmes araignées ». La phrase « Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux » est caractéristique du fantastique : « les filets » connotant la toile d’araignée. On remarque une allégorie avec le terme « Espérance » qui est normalement comparé à un bel oiseau (la colombe par exemple), alors qu’ici, elle est comparée à une Chauve-souris → aspect de tristesse du fantastique. On observe aussi l’oxymore

nuit est pire, la terre devient un cachot humide, l'eau se fait pourriture. - Le climat est de plus en plus menaçant, le poète est hanté par des présences menaçantes, "peuple muet d'infâmes araignées" (vers 11) => son cerveau n'est plus qu'une toile d'araignée. C) L'image de l'enfermement - La prison, d'abord extérieure au poète en proie au spleen, finit par être intérieure. - Le ciel est un couvercle qui enferme l'esprit à la manière d'un cercle . - La pluie dessine une immense prison, vaste

scène. Une très importante est la présence constante d’éléments macabres digne d’une scène d’horreur, de noirceur, de solitude. En faisant le champ lexical de ce qui est macabre et fantastique on retrouve les mots : étrange curiosité, énorme toile d’araignée, tout épaissie par la poussière, tendue à l’angle de la muraille, lugubres souvenirs, coupé, horrible fou, frisson de fièvre, hommes de meurtres et de sang, cimetière, mur noir, hommes étranges, parricide, épouvantables spectres, etc. Ce sont

production de masse. Le textile, secteur clé du début de la révolution industrielle laisse le premier rôle à la diderurgie (fabrication de fonte et d'acier). L’Angleterre profite de sa richesse en charbon. B La révolution des transports 1-Une toile d’araignée ferroviaire La 1ère (1817), les premières lignes de chemin de fer (1830) sont anglaises. La 1ère ligne française est ouverte entre Lyon et Saint-Étienne en 1832. Après 1850 un vaste réseau se constitue en Europe occidentale et aux U.S.A.

phalanges et dans un mouvement de préhension, qui pourrait évoquer de la violence chez la femme, comme une strangulation. Enfin, dans « L’Attente », l’amour semble priver les artistes de liberté. Le dessinateur est prisonnier des les fils de la toile d’araignée, symbole funèbre, évoquant la douleur de l’amour insatisfait. Nous pouvons conclure que la morale de liberté et d’amour traduite dans Les Mains Libres est manifestée par Eluard et Man Ray à travers le thème de la main. Celle-ci évoque aussi

viole : « La Peur » - la main plane au-dessus de la femme nue  « La proie s’affole » La main qui désire : Attente : « Solitaire » (mains de femme) puis « L’attente » (mains d’homme) ; se font écho. Solitaire  mains liées par fils ; L’attente  toile d’araignée. Absence de la femme aimée  maintenir ses mains occupées (1 : « Qui parle / Qui peut vivre seul / Sans toi / Qui » ; 2 : « Je n’ai jamais tenu sa tête dans mes mains ») III) Les cinq sens : Clés indispensables de lecture du recueil : Man

poussière » VIII, 117-151 : vitesse surhumaine, proche des oiseauxHéphestos pour se venger de Cythérée et Arès : « autour de tous les montants du lit, il déploya son réseau ; une grande partie pendait d’en haut, du plafond ; c’était comme une fine toile d’araignée, que personne ne pouvait apercevoir, pas même l’un des dieux bienheureux » VIII, 277-309« Héraclès au cœur de Lion » XI, 257-283« paroles ailées » pour souligner des paroles particulièrement puissantes, qui s’envolent comme des oiseauxye cteapor