Tombeau de Rachel

microcosme : « Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas ». Selon la légende, elle présente l’enseignement de Hermès Trismégiste, fondateur mythique de l'alchimie, et aurait été retrouvée dans son tombeau, gravée sur une tablette d’émeraude. La plus ancienne version connue se trouve en appendice d’un traité arabe du VIe siècle. Traduite en latin au XIIe siècle, elle fut commentée par de nombreux alchimistes au Moyen Âge et surtout à la Renaissance

Abraham a certainement existé comme personnage moral. Le personnage est situé vers -1800, - 1700. - Né à Ur, en Chaldée. Il descendra avec Sarah et les siens à Canaan et s’installera à Hébron où son tombeau est encore toujours supposé. Juifs et musulmans réclament un droit sur ce tombeau. Il vivra pendant tout un temps à Berscheva, ville clé du désert. - Devient l’ancêtre, sinon réel, en tous cas symbolique des hébreux. - Polythéiste, son histoire commence lorsqu’il est âgé de

femmes déclaraient que le bavard indiscret n'était qu'un goujat et qu'un lâche. Duroy fut de leur avis et proclama bien haut qu'un homme a le devoir d'apporter en ces sortes d'affaires, qu'il soit acteur, confident ou simple témoin, un silence de tombeau. Il ajouta : " Comme la vie serait pleine de choses charmantes si nous pouvions compter sur la discrétion absolue les uns des autres. Ce qui arrête souvent, bien souvent, presque toujours les femmes, c'est la peur du secret dévoilé. " Puis

Fiche de Lecture  Chroniques Martiennes de Ray Bradbury (1950) Etude réalisée par Cécile Morin, Lucie Pichelin, Cécile Amphimaque, Rachel Gibert, Christophe Caillette, Laetitia Claver Présentation du livre Titre : Chroniques martiennes [ The Martian Chronicles ] Auteur : Ray Bradbury Editeur : Denoël Collection : Le Livre de Poche Lieu et date d’édition : Paris, 1955 381 pages année d’écriture du livre : 1950, même si le dernier chapitre par exemple a été écrit en 1946.

sa grand-mère Rachel lui a donné le nom de Monda. C'est sa grand-mère qui l'a recueillie quand sa mère l'a abandonnée. Un jour, elles vont à la plage et Monda nage un peu trop loin. Elle arrive au niveau où elle n'a pas pied et commence à se noyer. Un jeune homme la voit et va la secourir. Il la ramène là où elle a pied. Son chien Tinel les rejoint, tout affolé car il a senti qu'elle était en danger. Les deux jeunes gens discutent, le jeune homme la laisse avec sa grand-mère. Rachel et Monda parlent

maigre solution de continuité: une demi-page blanche. 2. Une addition concernant Albertine vient rompre le fil du récit. Mais dans les pages qui suivent, Proust ajoute, dans les marges ou sur papiers collés ("paperoles"), des développements sur Rachel, sur Jupien surtout, mais aussi sur Charlus, sur Morel ("Santois"), pour resserrer l'intrigue de son roman autour du motif de l'homosexualité. 3. Charlie Morel est toujours nommé Bobby Santois dans le manuscrit, sauf dans quelques additions tardives

portèrent le trouble jusqu’au fond de mon âme, et firent changer de visage à Atala. Nos mains unies frémirent l’une dans l’autre. Mais nous fûmes distraits de cette scène, par une scène non moins dangereuse pour nous. Nous passâmes auprès du tombeau d’un enfant, qui servait de limite à deux nations. On l’avait placé au bord du chemin, selon l’usage, afin que les jeunes femmes, en allant à la fontaine, pussent attirer dans leur sein l’âme de l’innocente créature, et la rendre à la patrie. On

hauts», Bel-Ami plante ses jalons dès le premier tiers du roman. Il s'accroche plus ou moins bien et à plus ou moins long terme, alors que progressivement les espaces se rétrécissent vers le haut et que les conquêtes amoureuses, de la prostituée (Rachel) à la vierge (Susanne), se font de plus en plus ambitieuses quoique à peine plus difficiles. La hiérarchie distributionnelle des lieux est conforme à une construction pyramidale. Au départ ces trois salons coexistent, chacun ayant une fonction

inconsciemment, il ose alors la jauger à son tour et son regard est des plus concupiscents : la taille, la poitrine et le duvet de la nuque... Une fois l’admiration passée, Duroy retrouve son instinct d’homme à femmes et la bourgeoise devient comparable à Rachel, la prostituée rencontrée la veille. Il peut maintenant lui adresser la parole et lui dire qu’il veut "pénétrer dans le journalisme". Le choix du verbe n’est sans doute pas innocent. Cette première rencontre entre Georges Duroy et Madeleine Forestier

était donc la culture, puisque même Oriane de Guermantes, plus moderne et audacieuse que les autres membres de son groupe social, en était encore en musique à Chopin, mort depuis plus de trente ans, et ne comprenait rien à Wagner. D’ailleurs, pour Rachel, Saint-Loup serait « de naissance, un ennemi de l’intelligence » (I, page 783). Se voulant évidemment « vieille France », les aristocrates (sauf Mme de Villeparisis ou Saint-Loup) appartenaient à ce que Mme Verdurin appelait « la Réaction », manifestaient