Tomographie sismique

RATIONNEL DU JEUNE EN ACCOMPAGNEMENT DES CHIMIOTHERAPIES 1 – Les bases : Des travaux, réalisés par une équipe de recherche au Cancer Center de Los Angeles (Valter Longo), montrent un effet protecteur d'un jeûne de courte durée (2 à 3 j.) sur les cellules saines vis à vis des effets secondaires des chimiothérapies anti-cancéreuses. Chez l'animal de laboratoire, ces effets sont spectaculaires : voir la vidéo sur mon site : www.docteur-michel-lallement.com : la prise en charge globale - l'accompagnement

circulatoire, inflammatoire ou cancéreuse. Ces produits ont des durées de demi-vie de 6 à 73 heures et sont livrés aux hôpitaux par l’industrie radiopharmaceutique sur une base bihebdomadaire. Depuis le milieu des années 80, une technique proche, la Tomographie par Emission de Positrons ou « TEP », s’est largement implantée dans les grandes institutions de recherche médicale. La spécificité des caméras TEP 2 réside dans leur aptitude à localiser des sources d’émetteurs de positrons. Leur résolution et

nécessitant des opérations parfois longues et complexes. Il existe aujourd'hui plusieurs méthodes d'imagerie médicale, dont les plus répandues sont : Les rayons X, l'imagerie par résonance magnétique (IRM), tomographie par ordinateur (CT scan) , médecine nucléaire, ultrasons, échographie, tomographie par émission de positrons (PET scan) … Bien que toutes ces méthodes se distinguent par le fonctionnement et leurs capacités d'imagerie, elles ont toutes un point en commun: elles produisent des images de

L’événement mental d’intention peut donc être considéré comme précédent les événements neuraux qui se produisent en particulier dans l’aire motrice supplémentaire. De nombreux travaux actuels issus des derniers développements de l'imagerie cérébrale (tomographie par émission de positons et imagerie par résonance magnétique fonctionnelle), ont confirmé le fait qu’imaginer un mouvement consciemment, ou même se le représenter implicitement, 3 4 Bernard d’Espagnat, Traité de physique et de philosophie,

cerveau. L'IRM f repose sur le fait que lorsqu'une zone est activée dans le cerveau, un flux d'hémoglobine se déplace vers cette zone. On peut donc observer de cette façon les modifications de débit sanguin liés à l'activité cérébrale. La TEP (tomographie par émission de positons) ou Pet Scan, la scintigraphie cérébrale sont deux des techniques fonctionnelles encore utilisées aujourd'hui. L'activité cérébrale reposant sur des phénomènes électriques, on peut aussi pour l'étudier en mesurer l'activité

s’écoule lorsqu’il est subit une contrainte. Activité 3: Objectif : Expliquer les anomalies de vitesse par rapport au modèle PREM (Preliminary reference Earth model) 2- La tomographie sismique permet d’identifier des variations localisées de température à l’intérieur du globe à partir des variations de vitesse des ondes sismiques. 3- Cela nous apprend que lorsque les ondes traversent des zones froides, qui sont plus rigides, les ondes sont accélérées tandis que dans les zones chaudes, plus ductiles

Les apports des études sismologiques : A. Quelques caractéristiques des ondes sismiques Quelques caractéristiques des ondes sismiques : Un séisme correspond à la rupture de roches soumises à des tensions qui s’accumulent pendant des années, voire des siècles. L’énergie accumulée est alors libérée brutalement au niveau du foyer du séisme puis transportée sur de très grandes distances par les ondes sismiques émises dans toutes les directions à partir du foyer : • Les ondes de volumes : Les

particulièrement importants dans les zones de frottement, c'est-àdire à la frontière entre la plaque subductée et son environnement (lithosphère subductante, asthénosphère). Tomographie sismique en zone de subduction. La tomographie sismique permet de localiser des anomalies de vitesse de propagation des ondes sismiques. On considère que le manteau est homogène, constitué essentiellement de péridotite. Donc ces anomalies de vitesse ne peuvent être interprétées qu´en termes d'écart de température:

(nucléaire par exemple) il y a émission d’ondes sismiques parmi lesquelles : - les ondes P qui traversent tous les milieux - les ondes S qui traversent les milieux solides et qui ne passent pas dans les liquides. Après chaque seisme, les résultats obtenues concernant les vitesses des ondes P et S en fonction de la profondeur du globe terrestre sont toujours les mêmes. On les exprime sous forme de graphe = courbes des vitesses des ondes sismiques en fonction de la profondeur (fig.1). 1 2

(nucléaire par exemple) il y a émission d’ondes sismiques parmi lesquelles : - les ondes P qui traversent tous les milieux - les ondes S qui traversent les milieux solides et qui ne passent pas dans les liquides. Après chaque seisme, les résultats obtenues concernant les vitesses des ondes P et S en fonction de la profondeur du globe terrestre sont toujours les mêmes. On les exprime sous forme de graphe = courbes des vitesses des ondes sismiques en fonction de la profondeur (fig.1). 2 Fig