Tonnelier

Grandet : Le tonnelier-vigneron de Saumur est redoutable de froideur et d’obstination. Bégayer afin de mieux tromper ses clients, économiser la chandelle, accumuler et passer ses nuits à contempler l’or, manier ses louis, ses doublons et ses ducats, ces traits ne sont mesquins qu’à la fin : ils montrent l’usure accomplie par le temps sur un personnage fort. C’est l’avarice et non l’avare que veut montrer Balzac. L’avarice est un mode d’existence qui détruit tout chez Grandet. Il empêche le mariage

STIRING-WENDEL CEDEX Tel : 03,87,87,96,54 – Fax : 03,87,88,66,38 Mail : secumat2@wanadoo.fr Gérant STEYER Patrick Assistante De Direction VIRCIGLIO Rachel Personnel AtelierPersonnel Intervention RESCIGNO louisKLEIN François KLUCZYK Bernie TONNELIER Bernard 9/9 2 Étude du poste occupé par l'élève : 2-1 Décrire votre travail 1- Situation comportant un risque : Installation d'un moteur FAAC pour porte de garage 2- Description de la situation : Branchement électrique du moteur

blessures lors de la bataille de la Marne en 1914. Albert Camus grandit pauvrement dans un appartement de deux pièces, entre sa mère qui accumule deux travaille (la cartoucherie et des ménages), une grand-mère autoritaire, un oncle infirme, un artisan tonnelier et son frère Lucien. Il garde néanmoins de bon souvenir de cette époque : « J'ai grandi dans les rues poussiéreuses, sur les plages sales. Nous nagions et, un peu plus loin, c'était la mer pure. La vie était dure chez moi, et j'étais profondément

crier, siffler, hurler et parmi les révoltés n’y ayant aucun meneur capable de prendre une décision, ou la direction, on finit par s’acheminer vers les tranchées, non cependant sans maugréer et ronchonner. » Carnets de guerre de Louis Barthas, tonnelier, printemps 1917

et e sait ni lire, ni écrire. Elle comprend un interlocuteur quant lisant sur les lèvres. Avant même le départ de son mari à l’armée elle s’était installée avec ses enfants chez sa mère et ses deux frères, Étienne, sourd-muet, qui travaille comme tonnelier, et Joseph. Ils habitent rue de Lyon à Belcourt, un quartier populaire d’Alger. Elle y connaît une brève liaison à laquelle s’oppose son frère Étienne. Ensuite, il fit ses études à Alger, et à l’age de 10 ans, il fut remarquée par son instituteur

respect de la religion, enseigne aux fidèles et christianise les païens. Les NOBLES protègent la société. Ils règnent sur leurs seigneuries comme sur un petit royaume. Roturiers Les artisans exercent un métier manuel dans un village: menuisier, tonnelier, forgeron, etc. Serfs Ils travaillent la terre sur le domaine du seigneur. Certains sont des serfs (une forme d’esclavagisme) E) La pyramide socialeJuifs Les juifs sont à part. Ils sont libres, mais sont ostracisés. On ne peut pas les maltraiter

de son maître. Elle appartenait à Grandet depuis 35 ans. Au début, il la nourrissait, lui donnait des gages et l'employait sans trop la rudoyer. En se voyant ainsi accueillie, la Grande Nanon pleura secrètement de joie et s'attacha sincèrement au tonnelier qui d'ailleurs l'exploita féodalement. Nanon se révéla bonne et compatissante. Depuis que Grandet l'avait tirée de la misère, elle avait pour lui un attachement de chien fidèle. Le personnage de la grande Nanon qui vit au foyer de Grandet et qui

2 mois de mer au moins. On compte environ 3 litres d'eau par homme et par jour. En admettant un navire de 45 marins et 600 esclaves, c'est un peu plus de 145 000 litres qu'il faut stocker pour 75 jours de mer. On imagine l'importance qu'aura le tonnelier à bord et celle des travaux de manutention journalière. D'autant que l'eau se conserve mal, à bord. Challe le raconte6 : « ...au bout de 2 mois que cette eau est embarquée… elle devient rousse et tellement puante qu'il faut se boucher le nez.

Depuis quelques jours, on parle d’un nouveau mariage pour elle. Eugénie Grandet (analyse détaillée) Après la description d’une rue pittoresque de Saumur, et l’évocation du genre de vie de ses habitants, l’auteur présente le père Grandet, ancien tonnelier que d’habiles spéculations ont fabuleusement enrichi sous la Révolution, mais qui tyrannise sa famille de son avarice méthodique. Le jour de l’anniversaire de sa fille, Eugénie, qui se montre soumise à son despotisme, après le repas du soir à l’occasion

partent au combat dans le même état d’esprit. La comparaison des deux pages est éloquente du haut semblent vouloir réunir les soldats dans un même mouvement. « Le déclencheur, je crois, c'est la lecture des Carnets de guerre de Louis Barthas, tonnelier, journal d'un soldat qui a tout connu de l'horreur. N'oublions pas que c'est une guerre de paysans et de petits artisans, côté français comme côté allemand. Bien sûr, j'avais aussi été marqué par certains films, comme Verdun, visions d'histoire, de