Torse

reconnaît Captain America à sa tenue, son bouclier aux couleurs du drapeau américain. Son visage est masqué ; il porte sur le front la lettre A (Amérique) et de chaque côté de la tête de petites ailes comme le dieu Hermès, messager des dieux, sur le torse une étoile renvoie à la bannière étoilée (drapeau américain) Il tient à bout de bras un soldat russe reconnaissable à la couleur de son uniforme et à la faucille et au marteau (symboles de l’URSS) visibles sur l’épaulette de sa veste, qui semble visiblement

reconnaît Captain America à sa tenue, son bouclier aux couleurs du drapeau américain. Son visage est masqué ; il porte sur le front la lettre A (Amérique) et de chaque côté de la tête de petites ailes comme le dieu Hermès, messager des dieux, sur le torse une étoile renvoie à la bannière étoilée (drapeau américain) Il tient à bout de bras un soldat russe reconnaissable à la couleur de son uniforme et à la faucille et au marteau (symboles de l’URSS) visibles sur l’épaulette de sa veste, qui semble visiblement

musculature. Comme je vous l'ai dit il faut mieux, dans un premier temps nous orienter sur sa taille. Il mesure environ un mètre soixante-quinze, ce qui est plutôt petit pour un jeune homme de son époque, mais le tout est convenablement réparti entre son torse et ses jambes. En tout et pour tout, il pèse un petit peu moins de soixante-neuf kilogrammes, le tout bien évidemment répertorié en masse musculaire plus qu'autre chose. Ses bras et ses jambes in-extenso par rapport au reste de son corps. La taille

fait, le corps est devenu le lieu de l'identité personnelle, on se sent libre d'où la valorisation des vacances Document 2 Texte littéraire ( nécessité une interprétation) Dans cet extrait est raconté l'apparition d'un jeune boxeur de seize en torse nu, qui provoque dans le public une stupeur et le narrateur interprète cette stupeur comme le signe d'une révélation de leur divinité. Document 3 Essais philosophique Dans le paragraphe 1, l'auteur dit que le corps ne désigne plus une machine

dans le noir le plus complet. Le temps passé dans cet pièce me parut une éternité et senti en moi une grande anxiété. Aprés un certain temps, l'on vint me chercher, on m'enleva mon veston et mes bijoux, me dénuda la partie haute et gauche de mon torse ainsi que le bas de ma jambe et l'on me mit un bandeau sur les yeux. À partir de ce moment, je ressenti une immense angoisse m'envahir car je n'étais pas du tout préparé à cela. L'entrée dans la loge fut pour moi un second choc par cette froideur

d'un café de Dresde. Il en a fait aussitôt un dessin préparatoire. Dans la peinture, il a encore accentué le caractère horrifique de la scène : par exemple, il supprime les deux moignons de jambe du personnage de droite dont il ne reste plus que le torse, habillé d'une veste bleue d'où dépasse le pénis. Un des joueurs tient ses cartes dans sa bouche, le deuxième avec son pied, le dernier avec une main mécanique5. Le joueur de droite a une mâchoire inférieure mécanique, formée par un fragment de paquet

le dessein qu’envisagent pour lui ses riches parents. --- En traçant un axe vertical médian (x), il apparaît que la figure d’Erich Lederer est décentrée. En effet, la partie gauche contient la majeure partie du corps, les jambes, le ventre, le torse et surtout l’entier de la tête. La partie droite ne détient en revanche qu’une partie des hanches, une moitié de main et le bras gauche. Le déséquilibre de sa composition confirme la volonté de Schiele de capter les différents états d’âme de l’adolescence

comparaisons semblent, en effet, donner une deuxième personnalité aux personnages. En cela, ils sont des monstres, des êtres composites. Le Pharaon est déshumanisé par le biais de détails qui renvoient à des objets ou des matières, voire des animaux. Son torse est ainsi comparé à du « granit rose travaillé par un ouvrier habile ». Il est également rapproché d’un oiseau puisque ses paupières ressemblent à « celles de l’épervier sacré ». Madame Thénardier apparaît nettement comme un être double, caractérisé

visible sur leur uniforme ou leur casquette. Ils sont régulièrement ridiculisés dans les aventures de Captain America. -Captain América est reconnaissable à son costume aux couleurs du drapeau américain, son « A » sur le front, les étoiles sur le torse et le bouclier ainsi que les ailes du dieu Hermès sur son casque. Electro est le « méchant » de cette aventure. De son vrai nom Ivan Kronov, Electro est le résultat d'une expérience scientifique soviétique. Super-agent de l'URSS, il est doté de pouvoirs

les dieux devaient être respectés, et donc être respectables dans leur représentation. La nudité de la déesse est mise en valeur grâce aux plis et replis du vêtement qui tombe sur ses hanches. Les drapés sont extrêmement travaillés, alors que le torse de Vénus paraît lisse et doux. Ne pas oublier de rappeler aux élèves que la nudité ne revêtait en aucun cas un caractère sexuel, mais qu’il s’agit de l’incarnation d’une théorie classique : la perfection du corps reflète la beauté morale intérieure