Tour de la Lanterne

PRÉHISTOIRE DU CINÉMA – la quête de l’image animée Les ancêtres du cinéma : l’art rupestre (préhistoire) et les spectacles d’ombres (300 av. JC) 2 dispositifs : caméra obscura (capter le réel) et la lanterne magique (projeter des images) Caméra obscura : image projetée à l’inverse (sténopé) Lanterne magique : lumière de l’intérieur, fondu enchainé Les origines du cinéma 2 axes de recherches 1- L’analyse du mouvement, ou décomposer le mouvement : Cliché de mouvement : E. Muybridge – photographe britannique

il faut encore que leurs apparences soient liées à un environnement local qui les encadre et qui leur serve, pour ainsi dire, d´écrin. A ce premier cadre d´autres viendront s´ajouter ou se substituer par la suite. Ainsi l´être proustien paraîtra, à tour de rôle, dans une série de sites ; tout comme ces personnes qui font faire d´elles-mêmes une suite de portraits, où on les voit avec, pour fond, une « vue » toujours différente : par exemple, un jardin à la campagne. Pag 39 Mais si, chez Proust

Comme beaucoup de lecteurs savent, DC .COMICS fête ses 75 ans, et Warner bros est bien décidé à vouloir marquer le coup avec toutes sortes de produits dérivés. Ce qui explique l’apparition de super-héros tel que Batman, Wonder-Woman, ou encore Green Lantern dans nos magasins Celio. Et à vrai dire, leurs collections est assez riche, et ravirons les fans de comics car les t-shirts reprennent des périodes différentes de l’univers DC allant de la plus ancienne (GOLDEN AGE) à la plus récente (PLATINUM AGE)

Pologne sur un magicien nommé Pan Twardowski. D'autres témoignages prouvent qu'il était en activité à l’université d’Erfurt. Quand il enseignait Homère, il faisait apparaître devant ses étudiants sans doute à l'aide de projections provenant d'une lanterne magique les héros de Troie et les monstres de la mythologie, notamment le cyclope Polyphème. Certaines de ces figures d'ombre tentaient de dévorer, avant de disparaître, quelques étudiants épouvantés. C'est à Erfurt que Faust aurait déclaré en

que tant d'autres auraient fait : des plans scrutant l'effet du discours sur les visages des auditeurs. Ce que les paroles produisent, ce que la caméra filme, ce ne sont pas des sentiments, ce sont des actes. A la fin du discours, une main fait le tour de l'assistance pour aller déposer sur le billard, tout près du corps que l'on ne voit pas mais que l'on sent là tout proche, un paquet de billets, bientôt suivie par d'autres mains et d'autres paquets. L'escroquerie ou l'illusion apparaissent alors

vois tour à tour réfléchis sur ton teint La folie et l'horreur, froides et taciturnes. Le succube verdâtre et le rose lutin T'ont-ils versé la peur et l'amour de leurs urnes ? Le cauchemar, d'un poing despotique et mutin, T'a-t-il noyée au fond d'un fabuleux Minturnes ? Je voudrais qu'exhalant l'odeur de la santé Ton sein de pensers forts fût toujours fréquenté, Et que ton sang chrétien coulât à flots rythmiques, Comme les sons nombreux des syllabes antiques, Où règnent tour à tour le père

de telles "chambres noires", où la connaissance vient en dormant ou en rêvant -- chambres de Combray, de Balbec, de Guermantes, de Paris, où un rayon de lune, un rayon de soleil ou un rai de lumière peut faire de chacune une camera oscura ou une lanterne magique. III. Le regard inversé. Connaître, c'est apprendre à maîtriser l'appareillage de la vue et de la vision. C’est pourquoi les personnages de la Recherche possèdent souvent de tels appendices qui nous permettent de comprendre ce qu'ils

toutes sortes de violences et de sévices pour lui apprendre “ce que signifie le mot femme sur la terre”(163). Victime de la société et des circonstances, ce n’est qu’à l’intérieur de son propre foyer que l’homme peut renverser les rôles et devenir à son tour maître, tyran et bourreau – un phénomène que Télumée avait constaté dès son adolescence: “La balance penchait, me semblait-il, en faveur des hommes et dans leur chute même, ils conservaient quelque chose de victorieux. Ils rompaient os, brisaient matrices

dans les catalogues. La devanture est composée de neuf vitrines identiques, de formes rectangulaires, teintées en noires, toutes accueillant une ville mythique. Nous y retrouvons des codes culturels propres à chaque ville, grâce aux monuments (Tour Eiffel pour Paris), aux objets (poupées russes pour Moscou), aux animaux (Westie pour Londres), et aux mobiliers et vaisselles emblématiques. Entre chaque vitrine on nous rappelle grâce au logo la thématique « rêve d’évasion »

général Besenval n'osa pas intervenir avec pourtant 5000 hommes et Paris fut livré à l'émeute. Toute la journée du 13 juillet on assista à des scènes de pillage et d'incendie : l'anarchie s'installait dans la capitale. Les bourgeois s'inquiétaient du tour que prenaient les événements et de l'insécurité croissante. A l'Hôtel de Ville où s'étaient réunis "les électeurs" qui avaient participé aux élections des députés on décida de créer une milice bourgeoise. Restait à l'armer sur décision du maire de