Tout Est Il Matière à Poésie

Les courants artistiques. * La Renaissance ( Prose, Poésie, Peinture ) Fin 15ième -> Italie Début 16ième -> France -Renaissance : retour aux sources -Recherche d’érudits : rassembler et reconstituer le savoir -Renforcement du catholicisme car menacé par le protestantisme -Bible en latin (langue véhiculaire) jusqu’au 15ième -Période marquée par différents courants artistiques 1440 : Gutenberg invente l’imprimerie : * Typographie (assemblage de caractères mobiles)

A – Présentation de l’auteur : Pierre de Marboeuf, 1596-1645. Poète baroque français. Il fait des études au collège de La Flèche, puis s’installe à paris en 1619 où il fait des études de droit aux côtés de Descartes. Il y demeure jusqu’en 1623. Il exercera la charge de maitre des eaux et forêts et il exercera ses talents littéraires dans l’écriture de sonnets baroque. Il publie en 1628 son Recueil de vers En 1633 Portrait de l’homme d’Etat dédié à Richelieu et Le miracle de l’amour . Ses thèmes

Préférant l'imagination et la sensibilité à la raison classique, le romantisme se manifeste tout d'abord par l'épanouissement du lyrisme personnel qu'avait préparé chateaubriand et avant lui le préromantisme du XVIII ème. Ce lyrisme traduit également un large mouvement de communion avec la nature et avec l'humanité toute entière. Enfin, le romantisme poursuit la libération de l'art, le drame rejette les règles de la tragédie classique, tout devient sujet pour la poésie, qui peut s'exprimer en prose comme

Surréalisme. Entré en la matière! Si l'on ouvre le dictionnaire au mot Surréalisme la définition que l'on peut y trouver est: Mouvement littéraire et artistique né en France au lendemain de la première guerre mondiale, qui se dresse contre les conventions logiques, morales, sociales et qui leur oppose les valeurs du rêve, de l'instinct, du désir et de la révolte, dans l'expression du « fonctionnement réel de la pensée ». Nous pouvons compléter cette définition par celle d'André Breton qui est

resplendissant à l’œil de ceux que des méditations graves ont accoutumés à voir dans les choses plus que les choses. » écrit Victor Hugo dans sa préface des Odes, en 1822. Ainsi, le poète serait un voyant, dont le pouvoir rare serait de passer vers d'autres mondes, plus idéaux, et inaccessible au commun des mortels. Le poète, pour exercer son art, dispose de deux outils : d'une part, la langue, qui façonnée, est la matière servant au poète pour devenir le sculpteur des mots, l'artiste. Mais il a aussi en

- Ces images sont d’autant plus grandes qu’il y a un caractère permanent : « toujours » ; « la nature est la même ». Répétition de « même » ; le vers 7 est le lieu d’une antithèse entre « change » et « même » et on remarque une rime entre « toujours » et « jour ». Tout cela produit une insistance sur cette permanence. - On remarque une personnification de la nature : « Plonge toi dans son sein qu’elle t’ouvre toujours ». La nature est assimilée à une personne afin de mieux montrer sa valeur. -

siècle. Son indépendance à l'égard de tout mouvement littéraire et sa liberté vis-à-vis des codes de la poésie lui valurent souvent d'être incompris en son temps, mais il est aujourd'hui reconnu comme l'un des poètes majeurs du siècle dernier. Son ouvrage majeur, "Le Parti pris des choses", est publié en 1942. Ce sont des définitions d'objets du quotidien, sous forme de courts textes poétiques teintés d'irrationnel et jouant avec les mots, que le poète considère comme une matière à travailler. Un article

Premier semestre 2006-2007 Avant propos Sartre insistait à ce que l’on rencontre autrui, on ne le constitue pas. On peut le vérifier par l’exemple des vers qui nous lisent et des poèmes qui nous trouvent en recherche inconsciente d’un idéal, peut-être parce que leur propre sujet avait déjà trouvé en veille pareille leur poète. Ainsi, on commence à croire aux revenants, puisque, selon Derrida, « un signe qui n’aurait lieu qu’une fois ne serait pas un

Le poème est pour le poète à la fois un travail, ce qui le fait vivre, un moyen d’évasion, un moyen d’expression, un espace de liberté mais aussi parfois de contrainte. En effet, même si il est le seul maître de son œuvre il est parfois et même souvent soumis à bon nombre de règle notamment dans la forme de l’écriture. Souvent imposées par les différents mouvements littéraire, ces règle dictes et conditionne l’œuvre qui en devient moins personnelle. Nous allons donc nous intéresser au sujet suivant

toute l’étendue et en exprime toutes les tendances, il le forme à son image. I) L’enfance et les premiers succès. Père : Léopold Hugo, officier. Ses parents divorcent : il vit avec sa mère à Paris. Mère : royaliste (V .Hugo est royaliste au début de sa carrière). Il est très vite attiré par la poésie. Très rapidement, il est célébré par le monde littéraire comme un prodige. Il fonde avec ses deux frères en 1819 un journal, le Conservateur littéraire, dont il écrit à lui seul plus de la moitié