Toute La Lyre Hugo

Une Charogne Alors, ô ma beauté! dites à la vermineQui vous mangera de baisers,Que j'ai gardé la forme et l'essence divineDe mes amours décomposés! ==> Musicalité , Beauté La beauté du monde (de Peace)Voir la beauté du monde, malgré toute sa misèreContempler ses forces plutôt que ses nombreux reversMoment imprenable d’un coucher de soleil sur le fleuveCœurs vaillants aujourd’hui de bonne volonté Ô la splendeur de notre joie de Émile VERHAEREN Ô la splendeur de notre joieTissée en

Victor Hugo Victor Hugo est né le 26 février 1802 à Besançon. Il est le troisième fils d’un général d’Empire, père brutal, souvent absent, et de Sophie Trébuchet, distinguée et raffinée qui élève seule ses enfants. Victor Hugo vit heureux à Paris, entre 1809 et 1812. Enfant surdoué, il sait déjà lire à son entrée à l’école. Il apprend en trois mois l’espagnol pour accompagner son père promu gouverneur en Espagne mais où ses parents se séparent. De retour en France, Victor Hugo se met à l’écriture

comme l’expression d’un sujet singulier qui tend à métamorphoser, voire à sublimer le contenu de son expérience et de sa vie affective, dans une parole mélodieuse et rythmée ayant la musique pour modèle.  La poésie lyrique doit en effet son nom à la lyre qui, dans l’Antiquité, accompagnait ses chants. Symbole d’unité et d’harmonie, cet instrument apollinien prend dans le mythe d’Orphée une valeur pacificatrice. Capable de suspendre les supplices des Enfers, il devient le modèle des pouvoirs de la poésie

jouant sur les sonorités, le rythme, la musicalité, les assonances, la poésie est un art du langage qui en explore toutes les ressources et qui vise à exprimer ou suggérer un sentiment, une idée. A l'origine, la poésie était chantée accompagnée d'une lyre : le lyrisme est ainsi une tonalité majeure de la poésie, et se retrouve partout, du Moyen Age où les troubadours chantaient l'amour, jusqu'au XXème siècle avec des poètes tels qu'Aragon ou Eluard. La poésie lyrique a pour caractéristique sa fonction

un amour déçu comme en témoigne Louise Labé dans Sonnet après que l’homme qu’elle aimait l’ait abandonnée « Prierai la Mort noircir mon plus clair jour » : son désespoir est tel qu’elle souhaite mourir, après que sa tristesse l’ait épuisée. Victor Hugo, quant à lui, rend hommage à sa fille disparue, Léopoldine, et cristallise son chagrin dans plusieurs de ses poèmes comme « Demain dès l’aube » et « Novembre 1846, jour des morts » extraits des Contemplations : « Et dire qu’elle est morte ! hélas

distingue de l’énumération en ce qu’elle suppose un certain désordre et qu’elle donne l’impression de ne jamais se finir. Ex : « troncs, rameaux, feuilles, fibres, touffes, vrilles, sarments, épines, s’étaient mêlés, traversés, mariés, confondus. » V. Hugo ( n.f.) : Figure d’analogie. Représentation sous une forme figurée, concrète (ce peut être une image, une scène ou une personnification), d’idées ou de notions abstraites. Ex : la mort représentée par un squelette portant une faux. Ex : « Sois sage

RECEUIL DE POEMES Sommaire : Poèmes du 17ème siècle : - Evariste de PARNY : Élégie

 Poèmes du 19ème siècles : - Charles Baudelaire : L’invitation au voyage. - Victor Hugo : Printemps - François COPPÉE : Un rêve de bonheur qui Souvent m’accompagne * - Alfred de MUSSET : A ma mere.

Les contemplations de Victor Hugo  Sommaire 1. Biographie de V. Hugo 2. A la découverte de l’œuvre (thèmes , structure, nombres de poèmes …) 3. la poésie engagée (poésie de V.H qui relate l’engagement) 4. photographie 5. la poésie lyrique 6. le romantisme et le lyrisme 7. Romance sans parole de Paule Verlaine (lecture cursive ) 8. Notion sur la poésie La poésie est l’un des genres littéraires les plus anciens, utilisé déjà dans l’Antiquité grecque, par les orateurs

Française, André Chénier écrit ce poème peu avant sa mort. La conscience du poète de sa fin imminente est tout à fait touchante. Comme un dernier rayon, comme un dernier zéphyre Anime la fin d'un beau jour, Au pied de l'échafaud j'essaye encor ma lyre. Peut-être est-ce bientôt mon tour ; Peut-être avant que l'heure en cercle promenée Ait posé sur l'émail brillant, Dans les soixante pas où sa route est bornée, Son pied sonore et vigilant, Le sommeil du tombeau pressera ma paupière ! Avant

on peut trouver ses plus grand chef-d’œuvre alors qu'au XIXème siècle par exemple internet n’existant pas si l'on voulait lire un recueil de poème il fallait le vouloir et acheter la version papier. Là est toute la différence car aujourd'hui même si nous pouvons facilement avoir accès à toute sorte de poèmes les gens n'ont pas la volonté de lire ses poèmes. Reste à ce demander pourquoi lire des poèmes ne les intéresse en rien, la solution peut se trouver dans la diversité des lectures qui nous sont