Trafic d'armes

le braconnage. Vous allez peut-être penser qu'évoquer le braconnage et la chasse des animaux protégés dans les pays africains est facile, détrompez-vous ! Saviez-vous que le braconnage est l'un des plus important trafic illégal au monde avec, entre autre, le trafic de drogue et d'arme ? Les braconniers ont tué près de 2.400 rhinocéros en Afrique depuis 2006, et ce, pour leurs cornes. Il ne reste plus qu'environ 20.000 rhinocéros en liberté en Afrique du Sud. Depuis le début 2013, un rhinocéros

et intelligence économique) près de 90% des ressources d’AQMI. A coté de cette source majeure, divers trafics permettent d’augmenter les ressources de ces organisations : le trafic d’armes via les bandes armées descendant de Lybie et les mercenaires du Front Polisario dans le Sahara, le trafic de drogue dures, principalement de l’héroïne dans l’est et de la cocaïne dans l’ouest, ou même le trafic d’esclaves (dans le cas de Boko Haram) et la prise d’intérêts dans les réseaux de passeurs clandestins

La mission de protection La mission de protection La mission de protection La protection de la santé publique La lutte contre le trafic des produits stupéfiants Le contrôle de l'importation des médicaments Le contrôle des produits anabolisants Les contrôles sanitaires et phytosanitaires La mission de protection LUTTE CONTRE LES PRODUITS STUPEFIANTS L’année 2009 a été marquée par une nette progression des saisies de cocaïne (5,1 tonne). En 2009, les services douaniers ont effectué

manque d’affection des enfants et des épouses, mettent les détenus dans des situations psychologiques difficiles. Il en résulte alors parfois un désordre interne bien plus important qui se manifeste bien souvent par la mise en place de différents trafics et de violence. Photo : Bretagne B.Le désordre interne 1.Des conditions de vie précaires Comme nous venons de le montrer, la distance vis-à-vis de la famille est très souvent bien difficile à gérer pour le détenu qui ne sait plus vraiment vers

considéré comme un réservoir naturel pour les dix états le partageant. Loin d’être un espace en marge, le Sahara entre de plain pied dans la mondialisation. A l’échelle internationale, les conflits parfois anciens, les migrations clandestines, les trafics ainsi que le terrorisme placent la région au cœur de la sécurité internationale. Le Sahara rencontre aussi des contraintes géographiques dues au fait que c’est un désert où se mêle des contraintes physiques comme l’aridité et la distance. C’est un

l’on aborde l’instrumentalisation du trafic. Il en est ainsi des causes et des enjeux de la réorganisation de la production et du trafic de la coca, matière première dont est extraite la cocaïne, entre les trois grands pays producteurs sud-américains. Cette réorganisation est à la base d’une situation particulièrement complexe en Colombie, marquée par la présence de nombreux acteurs locaux et étrangers, formels et informels, instrumentalisant les étapes du trafic en poursuivant des objectifs opposés

manufacturés Transfers d’argents des migrants vers leurs familles restées au Sud Plaque tournante de divers trafics A cause de la porosité des frontière et de la faiblesse des Etats Trafic de drogues : 15% du trafic de cocaine transite par le sahara vers l’Europe Trafic d’armes : dispersion des armes de la crise lybienne – montée en puissance du terrorisme - ++ zones de guerres en Afrique Trafic de contrebandes : cigarettes – voiture – essence… Espace majeur de migration Espace de transit pour les

insurrection contre le gouvernement. Partie I 21 Mars 1927. Tchen, partisan de l’insurrection, tue un trafiquant d’armes puis il rejoint ses compagnons, Kyo et Katow, à la boutique d’Hemmelrich. Là ils écoutent des disques, et discutent de l’insurrection prévue le lendemain. Au Black Cat, un club de Jazz, Kyo rencontre Clappique. Kyo exhorte cet occidental spécialiste en commerce d’armes à récupérer les armes du trafiquant tué dans la soirée. Quand il rentre chez lui, Kyo, apprend de sa femme, May

mythique pour se noyer dans les loges d’une triste réalité. Ainsi, peuvent être tenues pour gage de la multiplicité de ces armes, des considérations d’ordre interne et externe au continent africain. De cette décharge inconditionnelle et endémique d’armes sur l’Afrique découlent les atrocités, le barbarisme, bref une violence et une misère ahurissantes qui accueillent ce début du 21éme siècle et ne cessent d’endeuiller l’humanité toute entière. Devant la densité de ce calvaire inqualifiable, résultant

fait des risques de représailles et de l’effet de l’analphabétisme. Ce que les Etats doivent faire, en Afrique, c’est d’assoir un plan d’action qui, dans son essence motive les citoyens à dénoncer toutes les actions sombres ou des cas de détention d’armes illégales ou massive par un numéros vert. Cette motivation doit oser des récompenses à des sommes colossales (proportion donnée à l’impact de l’information), aussi colossale pour faire rêver quelqu’un qui est prêt à se jeter dans une foule musulmane