Tragédie lyrique

cette scène, Phèdre fait l’aveu de son amour à Hyppolyte. Cet aveu est contre nature puisqu’il s’adresse à son beau -fils, le propre fils du mari de Phèdre, Thésée dont on ne connait pas le sort. Selon Aristote, un évènement doit avoir lieu dans la tragédie. Et cet évènement doit procurer à la fois la terreur chez le spectateur mais aussi la pitié pour le personnage victime de cet évènement. Ici, ils sont deux à être victimes : Phèdre à la fois coupable mais innocente car dominée par la fatalité mais

une vie de plaisirs et de raffinement. Il prend ses distances avec ses maîtres de Port Royal, peu favorables à ses projets, et assez mal vus à l'époque. Cet éloignement ne constitue cependant pas une rupture. Après quelques poèmes et une première tragédie, La Thébaïde, jouée par Molière sans beaucoup de succès, il emporte une première victoire en 1665 avec Alexandre, pièce à la gloire de Louis XIV. A cette occasion, il se brouille avec Molière en confiant l'exécution de sa pièce à une autre troupe

la mort de Rosette Problématique : En quoi peut-on parler ici de dénouement ? Pourquoi peut-on parler de dénouement tragique à propos de cette 8ème scène ? I- Un bonheur (illusoire). 1) L’image de l’Union et du bonheur (registre lyrique). - Les deux premières didascalies marquent le lien amoureux entre Camille et Perdican: « Il la prend dans ses bras », « l’embrasse ». - L’union entre ces deux êtres est marquée par l’emploi du pronom personnel «nous », ex : « insensés que nous

l’infante ANALYSE DE L’ŒUVRE Les 3 Unités : « Qu’en un lieu, qu’en un jour, un seul fait accompli Tienne jusqu’à la fin le théâtre rempli » Boileau, Art Poétique ← Action : Principale : L’amour menacée de Chimène et Rodrigues Secondaire : Tragédie de l’Infante ← Lieu : Séville : La place publique, le palais du roi, la maison de Chimène. Corneille a dévié la règle qui préconise le choix d’un lieu unique. En effet il n’aurait pas été plausible que les duels ou que le soufflet se passe

l’échange (tac au tac). Le monologue le monologue : tirade longue d'un personnage seul sur scène. Il se parle à lui-même, ou à quelqu’un d’absent ; exprime trouble ou dilemme. Public connaît ainsi les pensées du personnage. Les stances : monologue lyrique => strophes avec des vers libres (inégaux) à rimes embrassées ou croisées, par opposition aux alexandrins à rimes plates qui composent le reste de la pièce. L’aparté l'aparté : paroles adressées au public (que les autres personnages sur scène ne sont

Madame de La Fayette, La princesse de Clèves, Tome IV, 1678 http://www.tv5.org/TV5Site/publication/publi-314-le_Jeu_de_l_amour_et_du_hasard__de_Marivaux.htm Objectifs didactiques: Se familiariser avec le théâtre du XVII, passage du baroque à la tragédie racinienne. Comprendre l’évolution du genre théâtral du XVII au XVIII siècles Analyser l’évolution des formes et des thèmes romanesques de l’époque baroque à l’âge classique : le roman classique Travailler sur différents genres autour d’un même

lexical de l'amour ( v 8,9, 11). Mais Rome est plus présent que l'amour. B Le personnage de Titus (sévère vis a vis de lui même) déchiré; #registre lyrique ==> conflits des sentiments # registre tragique (+ champ lexicaux) #sarcasme et ironie Il se fait des illusions, et joue sur les hypothèses. INTRO: Bérénice est une tragédie écrit en 1670, par Jean Racine. Jean Racine est un écrivain appartenant au classicisme. S'inspirant de l'histoire antique, il met en scène l'empereur romain

| | |Présenter l’oeuvre | Auteur, titre de la pièce, nombre d'actes, date de parution, édition, collection, genre de la pièce | | |/2 |(tragédie, comédie, tragi-comédie, drame romantique...). | | | |

un coup, ne précipitons rien. ». Ce texte est avant tout un moment important de cette tragédie classique. Cette seconde tragédie romaine de Racine met en œuvre la gravité d'un dilemme qui oppose l'amour et la gloire inscrit dans un monologue délibératif qui suit une construction bien précise. Ce monologue qui à bel et bien une fonction délibérative, n'aurais t'il pas aussi une fonction lyrique ?

Gentilhomme et Le Malade Imaginaire. La plupart des pièces de théâtre du XVIIe siècle (tragédies comme comédies) sont écrites en vers (et plus précisément en alexandrins), généralement avec des rimes plates. Elles utilisent donc de nombreux procédés stylistiques de la poésie : exploitation des hémistiches (rythme binaire), figures de style, allitération, assonance, etc. C) La Comédie et la Tragédie -La tragédie : La tragédie au XVIIe siècle se définit alors d'abord par son sujet et ses personnages. Une