Tragédie Divertissement

dénonciation des horreurs de notre temps? Plan I/ fonction première de l'art → esthétique 1)esthétique: * Art pour Art (Gautier) → apparence et luxe *Renaissance et retour à l'expression de la beauté et les canons antiques. 2)Évasion et divertissement: *opéra= voyage, vie (Verdi) *OuLiPo (Queneau) 3)expression de soi: * autobiographies *romantisme II/ art → dénoncer 1)les auteurs engagés: *Zola et sa critique *Orwell 2)les témoignages qui dénoncent: *Primolévi *Aragon 3)les

siècles les premiers casinos font leur apparition,(Venise 1638)( États-Unis saloons) b) le changement d'opinion sur le jeu l’opinion de la société sur le jeu a récemment connu un virage spectaculaire. Le jeu représente maintenant un simple divertissement pour adultes, et la plupart des gens peuvent facilement s’y adonner mais cela n'a pas toujours été le cas . Tout au long de son existence le jeu a subit des interdictions. A une certaine époque, la société voyait le jeu comme une manifestation

le combat contre le géant par exemple (éléments comiques). Jeux d’écart dans les descriptions du merveilleux (jeu de focalisation vilain/Yvain/Calogrénant pour la fontaine, l’anneau merveilleux…) Le conte de la fontaine par Calogrénant est un divertissement d’après-dîner, avec sommeil du roi, réflexion de Keu: atmosphère de comédie (récit qui n’a aucune portée didactique) traitement de l’amour courtois Le badinage, Yvain exalté amoureux transi ridicule. Écart entre la posture de CDT de moraliste

Exercices guerriers et survie 2) La citoyenneté en jeu : religion, politique et activités physiques B) L'accomplissement de soi : le corps en jeu et les divertissements 1) Une « expérience du corps » (M.BOUET, Les motivations des sportifs, 1969) 2) Le grand siècle et l'activité physique : rejet du sport et adoption du divertissement II) Le sport comme facteur d'accomplissement de soi par rapport à l'autre dans la compétition, la victoire : le sport moderne A) La révolution sportive

but de divertir, on peut aussi y ajouter la farce, comme la Farce de maître Pathelin   de Molière où les péripéties ne serve qu’a faire rire les spectateur et non de les instruire sur quelconque sujet.Le théâtre n’est pas seulement un lieu de divertissement, certains apprennent beaucoup par le biais du rire.L’apprentissage se fait plus facilement en se divertissant. Au Moyen-Âge, le théâtre est obligatoire et permet d’éduquer les gens car étant oral même les analphabètes peuvent s’y instruire. Pour

comment peut-elle être utilisée à des fins morales ? Pour résoudre ce problème , nous aborderons l'utilisation de la fiction sous plusieurs angles : à travers le divertissement qu'elle apporte, les sentiments qu'elle touche puis les institutions qu'elle propose. Dans un premier temps nous, la fiction est un outil ou service du divertissement. D'une part, la fiction permet de donner vie à une idée, une véritée. En effet les leçons ( en général la morale) ne sont qu'un principe c'est à dire une

est primordial de bien les percevoir. Un besoin mal analysé rendra l’efficacité du marketing amoindrie. Différence entre besoin, désir, demande : Les besoins = éléments nécessaires à la survie (nourriture, air, eau, abri, vêtements, éducation, divertissement). Les désirs = besoins spécifiques, façonnés par la société (ex : pour se divertir par la danse, un brésilien sera plus dirigé vers la samba, un tahitien vers le tamouré…) La demande = lorsque le désir veut être et peut être assouvi par l’achat

Analyse d'une entrevue Pour débuter, une question revient souvent, soit dans les articles de journaux, lors d'entrevue à la télévision ou à la radio ou simplement lors d'une discussion entre amis, « qu'est-ce qu'on fait de notre temps lorsqu'on a le temps de prendre du temps? ». Nous sommes, en 2010, plus que bien ancré dans une société qui favorise les loisirs. Pourtant, l'idée du temps libre est souvent bien partagée. Les gens travaillent de plus en plus et oublient parfois de s'amuser et de

Victor Hugo par exemple dans ; Le Dernier jour d’un Condamné . Cependant, l'écrivain est capable de satisfaire aussi le plaisir du lecteur. On pourrait maintenant se demander si l’écrivain écrit juste pour divertir le lecteur ou, si derrière ce divertissement il y a un autre but qui est de ne pas penser à la mort comme dans Les Pensées de Blaise Pascal.

double : `a la fois homme de coeur, et homme de raison. Lorsqu’il pointe avec g´enie les contradictions qui habitent l’homme (superbe fragment 130 ), c’est au fond de lui-mˆeme qu’il s’engouffre ; lorsqu’il diss`eque avec lucidit´e la notion de divertissement (magnifique fragment 136 ), c’est `a sa p´eriode mondaine qu’il pense, p´eriode domin´ee par les sciences : (( Curiosit´e n’est que vanit´e le plus souvent ; on ne veut savoir que pour en parler ))(fr. 77) ; on ne parle le plus souvent que