Train de nuit

« Nuit et Brouillard » L’artiste choisi est Jean Ferrat, pour la chanson « Nuit et brouillard », sortie en Décembre 1963.  Ma présentation comportera les parties suivantes : I) Présentation de l’auteur et de l’œuvre a) Biographie de l’auteur b) Présentation de l’œuvre II) Analyse de la chanson. a) Les paroles b) Les paramètres du son  III) Lien avec l’histoire La seconde guerre mondiale I. Présentation de l’auteur et de l’œuvre a) Biographie de l’auteur Jean Ferrat, sous son vrai nom : Jean

voie, et le train qu’ils conduisaient, chargé de soldats partant au front, roule maintenant à toute allure affolant sur son passage les spectateurs impuissants à l’arrêter. Force dramatique  du passage réside dans la façon dont sont rendus la vitesse effrayante du train et l’effroi des hommes devant l’inévitable issue. Réalisme d’une catastrophe ferroviaire qui se mue en vision fantastique d’un train fantôme fonçant vers la destruction. Fin symbolique aussi très pessimiste : le train symbole du progrès

suis en train de tirer sur l’ennemi qui occupe une tranchée à deux cents mètres de moi, je suis atteint d’une balle au côté gauche, je ressens une grande douleur, comme si l’on me brisait les os. La balle m’a traversé dans toute ma longueur en passant par le bassin et s’est logée au-dessus du genou. Aussitôt je ressens une grande souffrance et une fièvre brûlante. Les balles continuent à pleuvoir autour de moi, je risque d’être de nouveau atteint ; je fais donc tout mon possible pour me traîner dans

 « Nuit et Brouillard  », Jean Ferrat Ils étaient vingt et cent, ils étaient des milliers Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombés Qui déchiraient la nuit de leurs ongles battants Ils étaient des milliers, ils étaient vingt et cent Ils se croyaient des hommes, n'étaient plus que des nombres Depuis longtemps leurs dés avaient été jetés Dès que la main retombe il ne reste qu'une ombre Ils ne devaient jamais plus revoir un été La fuite

Train de vie L’action est située dans un petit village du centre de l’Europe en 1941. Face aux déportations massives de Juifs vers les champs de concentration, une communauté entièrement Juive décide de prendre parti. Le fou du village, Schlomo (interprété par Lionel Abelanski) confirma la situation que vivaient les communautés voisines: la déportation était de plus en plus proche. Ainsi, les savants se réunissent pour essayer de trouver une solution pour échapper à l’horreur nazie. Schlomo propose

l’ignore. Le soir même leur père annonce à ses deux fils cadets qu’ils doivent partir rejoindre leurs deux grands frères en zone libre à Menton dans le Sud de la France pour fuir les Nazis. Après un dernier repas en famille, ils prennent le train gare d’Austerlitz. Le train est bondé et ils s’assoient à côté d’un vieille dame à qui ils disent qu’ils vont voir leur mère malade et que leur nom de famille est MARTIN. A Dax, il y a un contrôle d’identité par les allemands. Ils s’assoient à côté d’un prêtre qui

Nuit et brouillard [pic] Jean Ferrat 1963 Ils étaient vingt et cent, ils étaient des milliers Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombés Qui déchiraient la nuit de leurs ongles battants Ils étaient des milliers, ils étaient vingt et cent Ils se croyaient des hommes, n’étaient plus que des nombres Depuis longtemps leurs dés avaient été jetés Dès que la main retombe il ne reste qu’une ombre Ils ne devaient jamais plus revoir un été La fuite monotone et sans hâte du temps

 Besoins essentiels Ressources/difficultés/habitudes Aides adaptées DORMIR -sonne tôt le matin. -pas de repère dans le temps -à le sommeil léger. -le soir , lui mettre la sonnette à disposition. -les veilleurs de nuit doivent faire un minimum de bruit en passant devant sa porte. SE VETIR/ DEVETIR -souille souvent ses vêtements -ne les changes pas. -se déshabille et s’habille seule. - vérifier ses vêtements. -les changer si nécessaire. BOIRE ET MANGER Bois régulièrement

Roubaud  |Jalousie | | |L’appartement des Pecqueux|De 3 heures A.M. à 18 |Jalousie de R. ; Découverte de|Mensonges et aveux | | |(à proximité de la gare |h., départ du train |la liaison de Séverine avec |Vengeance | | |St-Lazare) | |Grandmorin ; menace de meurtre|Violences conjugales et | | | |

atSuite :’’le veston ensorcelé’’ Deux jours après, par une nuit orageuse, pendant que j’étais en train de me laver, j’entendis quelqu’un frapper à la porte. Un frisson me parcourus le corps, j’avais si peur de l’ouvrir que je faillis m’évanouir. Alors je pris mon courage à deux mains et j’allai ouvrir cette maudite porte. Je mis ma main sur la poignée, l’ouvrit délicatement en frissonnant et c’était bien lui : le tailleur de malheur. Il était Vêtu d’un ensemble noir comme pour les enterrements