Traité de Saint-Clair-sur-Epte

établissements ecclésiastiques exercent un pouvoir seigneurial sur des terres qu’ils administrent. Surtout l’Eglise se situe au cœur des stratégies politiques locales (siège d’évêque, prébende canoniale, oblation). Dans les royaumes de l’Est (Bourgogne, Saint-Empire, Provence), l’Eglise est étroitement associée à l’établissement d’un pouvoir royale hiérarchisé. HISTORIOGRAPHIE La question s’est longtemps réduite à la description d’une Eglise tombée entre les mains des laïcs, ce que démontraient la

était déjà couramment employé pour désigner un territoire plus ou moins bien défini, comme on le voit à la lecture de la Chanson de Roland, écrite un siècle plus tôt. Ce terme de « France » fait suite à celui de « Francie occidentale », officialisé au traité de Verdun en 843 pour désigner la partie occidentale de l'empire carolingien, suite à son morcellement. Dès juin 1205, le territoire est désigné dans les chartes sous le nom de regnum Franciæ, c’est-à-dire royaume de France[2],[3]. L'occupation

à balustrade de pierre. Par-dessus les murs du parc et au-delà du plateau que soutiennent les hautes falaises normandes, on aperçoit, entre les villages de Sainte-Marguerite et de Varangeville, la ligne bleue de la mer. Là vivait le comte de Gesvres avec sa fille Suzanne, jolie et frêle créature aux cheveux blonds, et sa nièce Raymonde de Saint-Véran, qu’il avait recueillie deux ans auparavant lorsque la mort simultanée de son père et de sa mère laissa Raymonde orpheline. L’existence était calme et

des ermites retirés des villes afin de pouvoir se recueillir. Mais peu à peu les moines quittent se mode de vie solitaire pour vivre en communauté. Des règles de vie sont alors organisées et chaque ordre a la sienne propre. Par exemple la règle de Saint Benoît au vie siècle a donné les bénédictins. L’Église dans son ensemble acquiert des privilèges accorder par l’État et qui perdurent jusqu’à la fin de l’Ancien Régime. D’abord on lui reconnaît la capacité patrimoniale, c’est-à-dire la capacité

avec les Pays-Bas est une collectivité d’Outre-Mer avec l’ile de Saint-Martin. Saint-Martin est divisé en deux avec au Nord, une partie française et au sud une partie Irlandaise depuis le Traité de Concordia du 23 mars 1648. Saint-Marin est un territoire en Italie près de la côte Nord-Est de l’Italie. C’est une plaine et au milieu de cette plaine, il y a une montagne et au sommet de cette montagne, il y a la république de Saint-Marin, il y a 30 000 habitants. C’est une République très ancienne

empereurs étaient tenus de respecter la volonté commune. Ainsi, ils n’avaient pas le droit de faire incarcérer, déporter ou exécuter un individu sans respecter une loi déjà existante (c’est le principe de légalité en droit pénal). Par ces différents traits, la conception romaine du pouvoir n’a plus d’application pratique en France jusqu’au xiie siècle. Nous verrons d’abord l'échec de la tentative de rétablir la Res Publica sous les deux premières dynasties (Section 1), et nous envisagerons ensuite

de l'état carolingien se sont effondrées. Le point fort des carolingiens est la pratique du sacre (initié par Pépin le Bref en 751). Il modifie la nature de l'autorité royale. Ce rite est très prestigieux : le roi carolingien reçoit l'onction des saintes huiles = il est roi par la grâce de dieu. L'autorité royale doit donc être mise au service de la justice et de la paix. Cette théocratie a pour but de faire régner le message chrétien sur un territoire et des populations aussi nombreux que possible

était déjà couramment employé pour désigner un territoire plus ou moins bien défini, comme on le voit à la lecture de la Chanson de Roland, écrite un siècle plus tôt. Ce terme de « France » fait suite à celui de « Francie occidentale », officialisé au traité de Verdun en 843 pour désigner la partie occidentale de l'empire carolingien, suite à son morcellement. Dès juin 1205, le territoire est désigné dans les chartes sous le nom de regnum Franciæ, c’est-à-dire royaume de France[2],[3]. L'occupation humaine

théorique et pratique. La ville de Rouen s’inscrit dans ce contexte : une croissance rapide au sein d’un environnement géographique complexe, une reconstruction d’après guerre dans l’urgence et enfin une absorption de l’exode rural mal pensée. Cette étude traite donc de ces trois sujets au travers de l’urbanisme et aborde donc les impacts socio-économiques qui en découlent. Une première partie abordera l’aspect historique de la construction de Rouen et son agglomération, la deuxième étudiera la phase de reconstruction

jusqu’au Sud des Vosges, en passant par les plateaux bourguignons, cette ligne de hauteurs coupée de rares passages, sert de zone de partage des eaux entre la Mer du Nord, la Manche, l’Atlantique d’une part, la Méditerranée de l’autre. C’est un des traits les plus visibles de la structure du sol français. La France s’étend du 42e au 51e degré de latitude nord. Elle se trouve au milieu de la zone tempérée. Deux types nettement tranchés s’opposent: le climat océanique et le climat méditerranéen. La majeure