Transgression

les différents arts, permet d'imposer de nouvelles formes et restrictions qui vont permettre la beauté des œuvres littéraires, mais également des créations architecturales et picturales. Les règles permettent la beauté de l’œuvre, cependant, la transgression des règles peut également donner la beauté à une œuvre. La beauté d'une ne se définie pas seulement par son respect des règles formelles. Les écrivains partisans du mouvement baroque au XVIIème siècle, vont rapidement s'opposer aux règles et

essentielles que sont la destrcutivité et la sexualité: « Tu ne tueras point » et « tu ne commettras pas d’inceste ». Il s’agit d’un point de vue psychanalyste des fondements de l’organisation psychique et de la culture. On voit bien qu’une transgression de l’un de ces principes conduit le sujet à se mettre en danger, lui et le groupe dont la folie et la mort en sont les sanctions. -La seconde est sa fonction de protection, comme évoqué plus haut, les interdits protègent l’enfant contre des

de conduite et il est en accord avec lui-même. Il existe plusieurs définitions du mot « déviant » : * La définition statistique du concept de déviance n’est pas adapté l’idée scientifique de la question. Elle s’éloigne trop de l’idée de transgression. * La 2ème définition se base sur l’analogie médicale. La déviance relèverait d’une maladie ou pathologie qui se définirait par la présence d’un « mal ». Les homosexuels ou les toxicomanes seraient alors animé par une maladie mentale, ce serait

esprits cartésiens ne sont pas à l'aise ; c'est une autre "réalité" qui s'impose, celle du Diable, des revenants, des voyages métaphysiques et de toute une mythologie trop hâtivement rangée parmi les fables. Un récit fantastique repose sur une transgression des lois naturelles par l'intrusion d'éléments surnaturels ; l'explication en reste incertaine et provoque le doute voir le malaise chez le lecteur. C'est la mise en scène de l'étonnante et effrayante irruption du surnaturel dans le quotidien.

d’appliquer la loi par la prévention ou la punition. Elle est incarnée à travers l’allégorie d’une femme aux yeux bandés portant une balance et un glaive. ! ! Dans ce cadre, la justice qui vise à la fois à prévenir et punir (empêcher la transgression de la loi, réprimée lorsqu’elle à eu lieu) reconnaît que les hommes ne possèdent pas en eux-même le sens du respect et de la loi et qu’aucunes sociétés ne peut exister si la loi ne s’applique pas. Autrement dis, le sentiment de l’impunité est

l’idée. Nous sommes devant l’interdit, devant le divin, c’est une transgression (étymologiquement aller au-delà) du véritable interdit, le dernier avertissement est donné par Guibulum, les autres prononce Ein-Sof concept kabbaliste : nous sommes dans l’inconnaissable on est dans l’hypothèse du Tsim Tsoum (contraction sans perdre de consistance, concentration en soi-même de l’essence divine qui seule peut représenter. Cette transgression intuitive nous permettra finalement de repousser les limites et

SOMMAIRE INTRODUCTION………………………………………………………………..p.2 I) L’excès………………………………………………………………………..p.4 A)Penser : « ce qui excède la possibilité de penser »…………………p.4 B)La mise à nu……………………………………………………………………..p.5 C)Erotisme et transgression……………………………………………………p.7 II) L’érotisme……………………………………………………………….p.8 A)Erotisme et sacrifice : le sacré et la mort………………………………p.8 B)Une langue hybride……………………………………………………………p.11 C)Une jouissance polymorphe………………………………………………..p.11

pq ils se disputent. Un peuple arrivé à maturité va savoir qu'il faut re-contextualiser l'acte. 3)La dialectique de l'interdit et de la transgression. L'homme est l'être de la transgression. Ce qui caractéristique l'homme c'est son « insociable sociabilité ». On peut pas se passer d'interdit mais tous les interdits ne sont pas légitimes. La transgression peut être à la fois de l'expression d'une faute majeurs (comme rejet de la prohibition de l'inceste) + expression de la liberté humaine. C'est

prendre tour à tour et à le garder tant qu’elles pourront »). Il se cache derrière une générosité hypocrite pour justifier son infidélité. II) Le regard de Dom Juan sur la mort Pendant toute la pièce Dom Juan va de plus en plus loin dans la transgression et le blasphème. Après avoir fait l’éloge de l’infidélité, il s’en prend dans cette scène à la mort elle-même. Il commence tout d’abord par se moquer de deux façons du tombeau de l’homme qu’il a tué six mois auparavant. Tout d’abord, Dom Juan

30 ans, je deviens propriétaire du bien. La plupart des règles juridiques sont empruntées à la morale mais il y a des différences : La sanction : trangression de la norme juridique, on encourt une sanction extérieure (prononcée par un juge). Transgression d’une règle morale : une sanction intérieure (problème de conscience) La source de la règle : la règle juridique est écrite, publiée et codifiée. La règle morale n’est pas écrite puisqu’elle est libre et dépend de chaque individu. Le but : celui