Trapps du Deccan

constituants de la chaîne alimentaire. B) Des indices en faveur d’un phénomène géologique interne à la terre. q1 Les extinctions débutent bien avant et se poursuivent encore après la limite. q2 Importantes éruptions volcaniques autour de- 65 Ma.: trapps du Deccan. q3 Le volcanisme responsable (point chaud) émet aussi de l’iridium/ quartz choqués/sphérules -Durée des éruptions (5000000ans qui couvre toutes les extinctions et en accord avec les extinctions successives). Les conséquences : Þ projection

forte est associée au passage du Permien au Trias. Ces crises sont expliquées par une conjoncture de multiples phénomènes comme la chute d’une énorme météorite ainsi que des épanchements magmatiques de grande ampleur (à l’origine des Trapps du Deccan ou des Trapps de Sibérie par exemple). ------------------------------------------------- Bilan : ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- -------------------------------------------------

séparés par un temps mort dans l’activité mantellique (tecto eustatisme négatif, effondrement du plancher océanique), +6% de volume de bassin océanique. Augmentation de la surface des continents, donc élévation du CO2. Trapps de sibérie : pendant 1ma à la limite PT. Trapp du Deccan : 800000ma max Volcanisme de subduction Conséquence du volcanisme : Cendres obscurcissent le ciel donc refroidissement de la planète à court terme + SO2 donc pluies acides + CO2 donc effet de serre et à long terme

bélemnites, et bien d’autres espèces. On évoque plusieurs causes pour l’expliquer : - variation du niveau des océans ( eustatisme ) - phase intense de volcanisme (trapps du Deccan épanchés à la limite KT sur 2400 m d’épaisseur) pendant 600 000 ans ; ce volcanisme serait celui d’un point chaud, encore actuellement actif à la Réunion - chute de météorite gigantesque (10 km

dans l’atmosphère d’énormes quantités de poussières. La théorie de la chute d’un astéroïde est rendue plausible par la présence d’une quantité anormale d’iridium dans les roches de cette époque, ainsi que par la trace d’un grand cratère. Les Trapps du Deccan sont le témoignage d’une intense activité volcanique passé. Enfin, la baisse du niveau des océans et le changement climatique ont été « enregistrés » dans les roches sédimentaires. 2 Les fossiles vivants n’existent pas Ce dossier s’intéresse

différentes étapes de l'évolution de l'océan Indien est subdivisé en unités chronologiques (horizontales dans la légende) et en trois grands domaines géodynamiques (verticaux dans la légende) : Volcanisme de rift et/ou de point chaud bien défini. Les trapps du Deccan qui se sont épanchés à l'extrême fin du Crétacé (vers 65 Ma), correspondent à la tête d'un puissant point chaud qui opère actuellement, avec un débit beaucoup moins puissant, sous l'île de la Réunion. On trouve en Inde deux autres témoins d'un

latitudinal) ;  Baisse du niveau marin de 250m (activité réduite des dorsales, collisions) , entraînant une diminution des surfaces épicontinentales et des plateaux continentaux.  2 événements volcaniques majeurs en quelques millions d’années : les trapps d’Emeishan puis de Sibérie qui induisent des modifications du climat, renforcées par le volcanisme de subduction (formation de la Pangée)  Baisse importante de la salinité marine au permien supérieur : dépôts d’évaporites épais prélevant ainsi des

étapes de l'évolution de l'océan Indien est subdivisé en unités chronologiques (horizontales dans la légende) et en trois grands domaines géodynamiques (verticaux dans la légende) : • Volcanisme de rift et/ou de point chaud bien défini. Les trapps du Deccan qui se sont épanchés à l'extrême fin du Crétacé (vers 65 Ma), correspondent à la tête d'un puissant point chaud qui opère actuellement, avec un débit beaucoup moins puissant, sous l'île de la Réunion. On trouve en Inde deux autres témoins d'un

l'obscurité des « grottes basaltiques » et du « soir » (vers 4). Il faut savoir que le basalte est une roche volcanique noire issue d'un magma refroidi rapidement au contact de l'eau ou de l'air. Les plus grands épanchements basaltiques sont les trapps du Deccan en Inde, ce qui nous donne déjà un indice quant à la localisation géographique de ce lieu. Le quatrième vers opposé au reste de la première strophe constitue par conséquent une antithèse, étant donné qu'il établit une opposition entre deux idées

chauds semble donc indépendante des frontières de plaques : on en trouve au milieu des plaques océaniques (Hawai) et des plaques continentales (les trapps de Sibérie, qui datent de 250 millions d’années). Cependant, on trouve aussi de nombreux points chauds en bordure des continents, là où s’est faite la rupture avant le formation de l’Océan : les trapps volcaniques du Karoo en Afrique du sud préfigure 10 l’ouverture de l’Océan indien, ceux de Parana-Etendeka (au Brésil et en Namibie) celle de