Travelling

 Publicité « Invictus » La publicité commence avec un plan général d'un stade de rugby en plongée. Nous avons ensuite un plan américain et un travelling arrière pour nous montrer l'arrivé du rugbyman dans le stade avec des photographes qui l'entourent pour montrer qu'il est adulé. Ils continuent son entrée entouré de deux déesses qui montre que même les femmes mythologiques ne sont pas indifférentes à son charme. S'en suit un plan moyen en contre-plongé, pour nous montrer son pouvoir qui

de montrer la douleur de la perte d’un être cher. Le début de la scène, du côté de l’obsèque du jeune noir, est constituée d’une vue en plongée suivie d’un travelling avant afin de montrer les personnes touchées par le deuil de ce jeune enfant. Tandis que du côté des funérailles du copain de Lucy on commence en plan fixe est on fait un travelling vers la droite afin de pouvoir s’approcher du chemin et aussi afin de montrer la douleur de Lucy devant cette épreuve. On retourne ensuite dans l’église

août 1889 et mort le 29 avril 1980, connu de tous pour être le maître du suspense au cinéma. Il est également producteur et scénariste. Il réalise cinquante-trois longs métrages. C'est le pionnier de nombreuses techniques dans le genre du thriller (travelling compenssé, Vertigo), Hitchcock est considéré comme l'un des réalisateurs les plus influents sur le plan stylistique, installant les notions de suspense dans l'univers cinématographique. Il réalisa d'autre films comme La mort aux trousses ou Psychose

jeu et embrassant les gens présents. L'action se recentre sur les personnages hors du rêve. Le rêve reprend et nous nous retrouvons dans le corps de « John Brown » assis à une table face à un homme barbu et jouant aux cartes. La caméra amorce un travelling avant sur le barbu qui annonce qu'il a gagné, alors qu'ils jouent avec des cartes en blanc, puis passe sur le propriétaire masqué. L'action se recentre encore une fois sur les personnages hors du rêve. Le plan suivant s'ouvre sur une sorte de

énorme embouteillage. Son : Klaxons, bruits de moteurs, et gens qui crient. Plan 2: Plan large sur une jeune femme de CSP B, habillée en tailleur, debout près du feu rouge. Elle a une allure perturbée ( main sur la hanche et tapant du pied ) Plan 3: travelling avant et gros plan sur la tête de la jeune femme, elle se bouche les oreilles avec ses deux doigts, en arborant une grimace de désappointement. Plan 4: très gros plan sur ses yeux qui se serrent très fort ( on les voit trembler ) Plan 5: Plan détail

pour les maisons quʼil visite ainsi que pour leurs propriétaires et pour Sun Hwa qui décide de le suivre. 1 Le découpage technique dʼune scène : Plan 1 2 Durée 7s 9s Cadrage, mouvement de caméra, angle de vue Plan rapproché Plan dʼensemble travelling latéral Gros plan Plan américain Descriptif Tae Suk pénetre chez Sun Hwa par lʼarrière Tae Suk est dans le jardin et entre dans la maison Tae Suk découvre la maison Tae Suk fait ses premiers pas dans la maison Tae Suk explore la maison Tae Suk ouvre

esthétique particulière. D'une part, la subjectivité suppose une esthétique et un monde du mouvement. En effet, la caméra est toujours dans une sorte de ballet. D’un côté, un ballet réduit à une marche progressive du personnage, que les travellings d’accompagnement avant et arrière symbolisent et mettent le plus souvent en image. Ce type de technique est utilisé fréquemment dans C’est arrivé près de chez vous lorsque Benoît Poelvoorde s’adresse à la caméra pour dire ce qu’il pense. Le plus

production : le réglage de l’éclairage qui mènera au final shot. Cette introduction présente beaucoup de mouvements : tout d’abord, grâce à une grue, elle commence avec un léger panoramique vertical pour glisser vers un travelling droite qui dévie par la suite en travelling avant pour arriver enfin à un plan totalement synthétisé sur la fabrication des balles. Ces plans donnant un mouvement de suivi très fluide font penser à une sonde endoscopique, comme si nous pénétrions dans un corps humain

fille. PARTIE III Critique personnelle de la globalité du film L'image Dans l'ensemble, Almodovar utilise le plus fréquemment des plans d'ensemble, des plan poitrine et des gros plans. Les plans longs sont aussi beaucoup présent ainsi que les travellings et la vue est souvent en plongé ou parallèle au sol. Ce film se compose de flash back, comme à partir de la deuxième scène, on retourne à l'époque où Rebecca était enfant. Becky et Rebecca, des femmes soignés sont, la plupart du temps, voir toujours

comme limites, l'entrée de Marion sous la douche et sa mort, la marque de ce motif. Le premier plan est une contre-plongée sur l'eau qui quitte le pommeau de douche et le dernier est un gros plan sur son oeil ouvert et inerte, effectué avec un travelling arrière et un mouvement de rotation,.L'image du cercle se propage donc comme un écho dans cette scène qui remplace la mort de Marion Crane à celui d'un martyr.  L'habitacle de la douche compose lui-même un cercle qui enferme l'héroïne dans un