Travertin

laisse apparaître les défauts de ses matériaux (texture irrégulière, scories…) et crée de forts contrastes entre eux. Le Salk institute oppose le bois au béton brut, la bibliothèque d'Exeter le bois à la brique, le Kimbell art museum le béton brut au travertin, etc. Enfin, Louis Kahn est un maître de la lumière. Venant souvent du haut par des percements géométriques, la lumière ajoute à la monumentalité des espaces. L'éclairage zénithal du Kimbell art museum est exemplaire de ce point de vue : deux demis-berceaux

L’édifice était alors de forme rectangulaire avec un pronaos (partie antérieure du temple) orienté vers le sud, et une cella (partie intérieure et fermée du temple) transversale plus large (environ 40 mètres) que longue. Il était construit en blocs de travertin et revêtu de plaques de marbre. Selon l’usage, il était entouré d’un espace libre, aujourd’hui en partie occupé par le temple d’Hadrien. Le grand incendie de Rome de l’année 80 détruisit plusieurs temples, dont le temple d’Agrippa. L’empereur

la ville d’hier, puis à travers les siècles et enfin dans la ville d’aujourd’hui et de demain. 1- Le Colisée dans la ville d’hier Tout d’abord, les travaux du Colisée durèrent 10 ans pour les structures en travertin et en briques et 2ans pour les finitions sous le règne des 2 derniers empereurs. La conception, la perfection des calculs et les moyens techniques utilisés en font le plus grand monument de l’époque romaine. Le Colisée comporte 4 étages. Au sommet

Extérieur Le Colisée a la forme d’une ellipse, sa longueur est de 189m de long et de 156m de large, sa hauteur est de 48m et sa circonférence est de 545m. La superficie est de 6 hectares. La paroi extérieur est estimée à plus de 100 000 m cube de travertin ( pierre calcaire blanche quand elle est pure ) monté sans mortier mais est solidifié grâce à 300 tonnes d’agrafes de fer. Aujourd’hui ce qui reste de l’extérieur du colisée est le mur d’origine de l’intérieur . 240 mats étaient dressés autour du

à la santé. p.59 cécité : état d’une personne privée de la vue. p.71 idéogramme : signe graphique minimal qui, dans certaines formes d’écritures, constitue un morphème, un mot ou une notion. p.163 diluvienne : qui a rapport au déluge. p.163 travertin : roche calcaire déposée en lit irréguliers avec des petites cavités inégalement réparties. p.163 rainure : entaille longue et étroite. p.163 nosographie : description et classification méthodique des maladies. p.163 antécédent : antérieure logiquement

combat. Les souterrains se composent de 5 couloirs concentriques munis de voûtes en berceau et reposant sur de puissantes tuiles de travertin. Lors de la construction du Colisée, le bassin artificiel fut vidé de son eau ce qui permit une réduction au minimum du creusement des fondations et permis la création d’un 5eme étage souterrain. Il était composé de piles de travertins, reposant sur une immense dalle annulaire de blocage. Les murs à partir du rez-de-chaussée (en bloc de tuf) et du 1er étage (en

cette roche s’est formée par des processus biologique et clastique. D’autres calcaires et les dolomies résultent de la précipitation directe de carbonates (origine chimique) : dolomies primaires, stalactites, stalagmites, calcaires lithographiques, travertins. Pour faire la différence entre calcaires et dolomies, on utilise le test de l’acide. Les calcaires font effervescences à l’acide (HCl), alors que les dolomies ne le font pas. En général, les dolomies contiennent toujours un certain pourcentage

paille rendaient le lit confortable. - On trouvait aussi un bureau, un salon et une cour appelée atrium dans la maison romaine. LA CONSTRUCTION : Les matériaux servant à la construction étaient très divers, principalement le calcaire (travertin), la pierre volcanique (tuf) et de la brique cuite. Le mortier était fait avec du sable volcanique (la pouzzolane). Les éléments d’ornementation utilisaient le marbre, le granit et le porphyre. Les toits étaient comme aujourd’hui réalisés avec une

l’espace en le délimitant. Le tout donne une structure claire qui rend possible une cohérence d'ensemble entre les différents espaces. Les matériaux utilisés sont à tendances luxueuses. Le socle et le U fermant le grand bassin aux galets sont en travertin. L’autre U fermant le petit bassin et une cloison sont en marbre de Tinos. La cloison « centrale » est en onyx doré (qui représentait à elle seule un quart du budget du pavillon). Les poteaux sont recouverts de chromes et les châssis des baies vitrées

le noyau est fait en pierres de taille et demande un personnel hautement qualifié par rapport au travail de maçon. Leur aspect a changé selon les époques permettant aux archéologues de dater les murs qu’il découvre. Les Romains ont fait usage du travertin, pierre dure et résistante au feu qui provient de la région de Trivoli mais ils ont surtout utilisé la brique qui permet de l’arc de décharge. C’était un matériau bon marché, facile à préparer et à mettre en œuvre. Le Parthénon et sa coupole et né