Treuil

La pièce essentielle est un bras se déplaçant dans un plan vertical mu par des ressorts de bois entourés de corde. Ce bras était monté sur un chariot de bois et se terminait par une cuiller recevant le projectile. On armait ce bras au moyen d'un treuil afin de l'amener en position horizontale. Lorsque ce bras était relâché, il était violemment ramené à la position verticale et arrêté par une forte traverse. La pierre contenu dans la cuiller était ainsi projetée avec force.

secours civils. Prix : 7,8 millions d’euros. Pour chaque intervention, à l’avant de l’hélicoptère : un pilote et un mécanicien. A l’arrière, deux secouristes et un médecin urgentiste. L’hélicoptère est équipé d’un radar météo à l’avant et d’un treuil sous l’hélicoptère de 90m de hauteur. Le litre par heure coûte 3 500 euros. L’hélicoptère est utilisé à 90% pour les secours en montagnes et le reste pour les autres types d’interventions (mer, situations délicates en ville, en forêt…). Mais il ne

« si on y allait » et je me suis mis à courir. Le camion nous a dépassés et nous nous sommes lancés à sa poursuite. J'étais noyé dans le bruit et la poussière. Je ne voyais plus rien et ne sentais que cet élan désordonné de la course, au milieu des treuils et des machines, des mats qui dansaient sur l'horizon et des coques que nous longions. J'ai pris appui le premier et j'ai sauté au vol. Puis j'ai aidé Emmanuel à s'asseoir. Nous étions hors de souffle, le camion sautait sur les pavés inégaux du quai

mine , puis à la  dynamite . C'est le plus exposé à la  silicose . · Boutefeu : chargé des tirs de mine, c'est-à-dire de l'utilisation des explosifs.· Freinteur : constructeur des treuils· Receveur : placé à la « recette » (porte de l’ascenseur), il est chargé de la circulation verticale. · Palefrenier  : pour le soin aux chevaux. Ils y avaient aussi différents noms pour le travail des mineurs

un système de rotation pour permettre au trépan de forer et un système de circulation pour évacuer les déblais de forage. -Système de levage : On installe tout d'abord un derrick. Il s'agit d'une tour métallique de 30 mètres de hauteur. Un treuil est une pièce maitresse de l’appareil de forage, il est constitué d’un tambour sur lequel est enfilé le câble de forage. Le câble de forage passe par les moufles fixes et mobiles. Le moufle fixe est un assemblage de poulie au sommet de la tour

d’arrêt dans quelque chose de difficile, de pénible. - claudiquer : Etre atteint de claudication ; boiter. - passe : Ouvrage permettant la remontée des poissons en amont d’un barrage de rivière. - errer : Aller ça et là, à l’aventure, sans but. - treuil : Appareil dont l’élément essentiel est un cylindre horizontal appelé tambour, sur lequel s’enroule une corde, un câble, une chaîne et qui sert à élever des fardeaux. - mât : Longue pièce de bois ou de métal, de section généralement circulaire, dressée

| |6. Machines et matériels des travaux publics et de bâtiment (bulldozer, bétonnière, foreuse, camions dumper, pervibrateur, treuil, polisseuse, compacteur...) | |20% | |

encore là. Pierre ayant déroulé le câble se glissa sous la calandre pour le fixer au treuil. Puis il partit un peu à l’aventure avec l’autre bout du câble à la recherche d’un point d’amarrage. Il hésita devant un arbre, puis un autre, et se décida finalement pour un crucifix6 ancien qui se dressait à la croisée d’un chemin de terre. Il entoura la base du socle avec le câble et regagna la cabine. Le moteur du treuil ronronna et on vit le câble lentement ramené se tordre sur les pierres de la chaussée

de parcage automatique de voitures. 7. Travaux de maintenance sur installations à très haute ou très basse température. 8. Travaux comportant le recours à des ponts roulants ou des grues ou transstockeurs. 9. Travaux comportant le recours aux treuils et appareils assimilés mus à la main, installés temporairement au-dessus d'une zone de travail ou de circulation. 10. Travaux exposant au contact avec des pièces nues sous tension supérieure à la TBT. 11. Travaux nécessitant l'utilisation d'équipements

pouvait pas être cassé en même temps au risque de mettre en péril le bâtiment. Des coffrages en aluminium et bois de 1 m de large par 0,50 m de haut ont été assemblés par clavette sur une hauteur d’étage. Ils étaient ensuite déplacés d’un bloc par treuil électrique pour l’étage suivant. Aux endroits les plus chargés, l’armature de ces voiles devait être raccrochée à l’acier du noyau existant. Celui-ci a été mis à nu par un jet d’eau à 2 000 bars de pression et ressoudé avec de l’acier neuf Le