Tripitaka

échec. Le symbole de la voûte étoilée qui est utilisé dans nos loges est infiniment plus adapté à l'évocation du Grand Architecte de l’Univers. Le volume de la loi sacrée peut aussi être l'un des volumes suivants : les Veda, hindouiste ; le Tripitaka, bouddhiste ; le Coran, musulman ; le Tao të king, taoïste ; les Quartes livres de Confucius ; le Zend Avesta du Zoroastrisme. Parmi ces six ouvrages trois ne revendiquent pas une origine divine : le Tripikata , les Tao të king et les Quartes livres

604 AV- JC LAO-TZE Le Tao Chine TAO TEH KING 55 Millions Jaïnisme 599 AV- JC VARDHAMAN A Aucun ou Fondateur Inde ANGAS 4 Millions Bouddhisme 560 AV- JC BOUDDHA Aucun ou Fondateur L'Est TRIPITAKA 280 Millions Confucianisme 551 AV- JC CONFUCIUS Ancêtres ou fondateur Chine Classiques 370 Millions Islam 570 AV- JC MAHOMET ALLAH (DIEU) Monde Coran 900 Millions Sikhs 1469 NANAK Le vrai

av. J.-C. Ses enseignements, perpétrés par la tradition orale dans un premier temps, ont finalement été écrits (en pali, un dialecte disparu aujourd’hui). Les textes fondamentaux du bouddhisme sont de trois ordres, réunis dans un corpus nommé Tripitaka ou « Trois Corbeilles » : un premier ensemble (pitaka ou « corbeille »), Vinaya Pitaka, recueille les écrits instaurant les règles de la communauté ; un deuxième, Sutta Pitaka, désigne les paroles du Bouddha à proprement parler et un troisième

souvent considérées comme des sources de la diffusion orale, on donne un échantillon de deux versions orales européennes et cinq versions orales africaines. I. Deux versions littéraires anciennes 1. Le Roi qui parle le langage des animaux Conte du Tripitaka Un roi qui a délivré la fille d'un nâga (roi-dragon), reçoit de ce dernier le don de comprendre le langage des animaux ; mais il ne doit révéler à personne, sous peine de mort, ce qu'il entendra. Sa femme le presse de dire son secret, et menace

un arbre jusqu’au jour où il atteint l’éveil. Il commence alors à prêcher et a de nombreux disciples. Après sa mort, beaucoup de textes sont écrits sur la philosophie de bouddha (dharma, ou hô 法 en Japonais). On y trouve les canons bouddhiques (tripitaka, sanzô 三蔵), les règles de la vie monastique (vinaya, ritsu 律) et les commentaires sur les enseignements (abidatsuma). Cette philosophie s’appuie sur le fait que l’homme souffre de l’impermanence de son existence. Les actes de l’homme (karma 業) tirent

monacale), 6) des efforts justes (une bonne direction des énergies), 7) une attention juste (la méditation), 8) une concentration juste (se focaliser sur ce qui compte vraiment). Les enseignements du Bouddha ont été recueillis dans le Tripitaka, ou « trois corbeilles ». Derrière ces enseignements spécifiques, on retrouve les enseignements communs avec l’hindouisme, notamment la réincarnation, le karma, la Maya et une tendance à concevoir la réalité sous un angle panthéiste. Le bouddhisme

une dame de la Cour du Japon qui laissa une sorte de journal intime sur la vie de la Cour "Notes de chevet" (Makura no soshi), qui peut être considéré comme le premier documentaire social (cf. Genre littéraire. • 972 Impression d'une version du "Tripitaka", un écrit bouddhiste, assez bien conservé et qui comprenait plus de 130 000 pages. • Vers 1000 Le plus ancien roman dont l’auteur est connu : Murasaki Shikibu (978-1014), une dame de la Cour du Japon de l’Impératrice Akiko. Son livre "Le Dit du

s’être retiré plus tard dans un cloître boud­dhique. C’est également sous son règne que fut fondée la secte bouddhique Tch’an (Dhyana), qui prit plus tard une grande importance dans la vie artistique et que fut constituée la première collection du Tripitaka chinois (517). Durant la der­nière des cinq petites dynasties, sous les Empereurs des Souei (581‑618), le bouddhisme était devenu la religion dominante et le but de l’orientation spirituelle à tel point que l’on trouvait mille livres bouddhiques