Triplice

diplomatique et le militaire n’est pas aussi automatique ni aussi simple qu’on veut bien le croire : « en 1914, l’économie italienne était pratiquement un prolongement de l’économie allemande, or, malgré l’existence d’un traité de défense commune, la Triplice, l’Italie, pour des raisons nationalistes, en de récupérer toutes les terres Italiennes, se rangea dans le camp allié contre l’Allemagne. D’importance moindre, la Bulgarie dont une partie du développement était financée par l’épargne française qui

1884 avec le retour des catholiques au pouvoir. La situation internationale Au début du XXème siècle, les grandes puissances européennes sont divisées en deux camps antagonistes : * la Triple Entente : France, Grande Bretagne, Russie * la Triplice : Allemagne, Italie, Autriche Il est donc difficile pour la Belgique de conserver sa neutralité car ses garants sont opposés. Il apparaît de plus en plus clairement qu’en cas de conflit le pays risque d’être envahi. C’est dans ce contexte que sera

entente germano-russe, consacrée au sein de l’alliance des trois empereurs d’octobre 1873, qui lie l’Allemagne, la Russie et l’Autriche Hongrie. Lorsque l’alliance principale de l’Allemagne devient en 79 la duplice germano autrichienne et en 82 la triplice germano austro italienne, Bismarck trouve une forme de compromis : le traité de réassurance, moyen de garder un lien avec la Russie. Mais les deux sont incompatible, puisque dans le premier, l’Allemagne promet à Vienne son soutien militaire contre

dizaines de loges s’expriment dans le même sens et demandent aussi une réforme urgente de l’armée : quelques rares maçons antidreyfusards les quitteront alors. Au tournant des années 1900, la maçonnerie est devenue l’un des trois piliers de la « triplice dreyfusarde » stigmatisée par ses adversaires : « La Synagogue, le Temple et la Loge », préfigurant les « quatre États confédérés de l’anti-France » que dénoncera bientôt Charles Maurras dans l’Action française (« le juif, le protestant, le maçon

essencialmente européia, entre a tríplice aliança de França, GrãBretanha e Rússia, de um lado, e as chamadasPotências Centrais, Alemanha e AustriaHungria, do outro, com a Sérvia e a Bélgica sendo imediatamente arrastadas para um dos lados devido ao ataque austríaco (que na verdade detonou a guerra) à primeira e o ataque alemão à segunda (como parte da estràtégia de guerra da Alemanha). A Turquia e a Bulgária logo se juntaram às Potências Centrais, enquanto do outro lado a Tríplice Aliança se avolumava numa

dizaines de loges s’expriment dans le même sens et demandent aussi une réforme urgente de l’armée : quelques rares maçons antidreyfusards les quitteront alors. Au tournant des années 1900, la maçonnerie est devenue l’un des trois piliers de la « triplice dreyfusarde » stigmatisée par ses adversaires : « La Synagogue, le Temple et la Loge », préfigurant les « quatre États confédérés de l’anti-France » que dénoncera bientôt Charles Maurras dans l’Action française (« le juif, le protestant, le maçon

changement lorsque, loin de Vienne ou mieux, loin de l'Autriche allemande, on arrivait dans les provinces slaves de l'Empire ! Il suffisait de jeter un coup d'œil sur les journaux de Prague pour savoir comment on jugeait là-bas toute cette comédie de la Triplice. Il n'y avait pour ce « chef-d'œuvre de diplomatie n que dérision et sanglante ironie. En pleine paix, alors même que les deux empereurs échangeaient le baiser d'amitié, on ne dissimulait nullement que l'alliance serait dénoncée le jour où l'on chercherait

nationaliste parmi les Serbes. Très vite, après l’assassinat, les choses dégénèrent. L’Autriche-Hongrie lance un ultimatum le 23 juillet 1914 à la Serbie, ultimatum inacceptable pour les Serbes qui le refusent. L’Europe est divisée par 2 alliances : Triplice (Allemagne – Italie – AutricheHongrie) et la Triple Entente (France- Angleterre – Russie). La Russie est la protectrice de tous les Slaves donc de la Serbie. Elle entre en guerre contre l’AutricheHongrie entraînant dans son sillage la France et l’Angleterre

fronts Front européen : 3 phases de durée inégale 1°) guerre de mouvement : (août 1914-novembre 1914) : mise en place et échec des plans Forces en présence : relatif équilibre des forces. {Entente : 170 divisions (10 à 12 000 Hommes par division) {Triplice : 150 divisions Frce : nombreux canons mais manque artillerie et mitrailleuses, uniforme rouge garance trop voyants (d’où adoption du « bleu horizon »). All : Plan Schlieffen (écraser la France en 6 semaines par la Belgique). Frce : Plan XVII qui

changement lorsque, loin de Vienne ou mieux, loin de l'Autriche allemande, on arrivait dans les provinces slaves de l'Empire ! Il suffisait de jeter un coup d'œil sur les journaux de Prague pour savoir comment on jugeait là-bas toute cette comédie de la Triplice. Il n'y avait pour ce « chef-d'œuvre de diplomatie » que dérision et sanglante ironie. En pleine paix, alors même que les deux empereurs échangeaient le baiser d'amitié, on ne dissimulait nullement que l'alliance serait dénoncée le jour où l'on chercherait