Tritium

Fusion entre Deutérium et tritium => noyau d’Hélium, neutron et production d’énergie. Pour que la réaction ait lieu il faut qu’elle ait lieu dans un plasma à haute température=> difficulté technique est là. Le plasma est confiné grâce à des champs magnétiques puissants et chauffer par des ondes électromagntiques. Pas de déchets toxiques, pas de GES et des ressources en grandes quantités (on trouve le deutérium dans l’air, l’eau et les matières organiques, le tritium existe aussi à l’Etat naturel

l'alimentation des grandes eaux de Versailles, à Fontenay-aux-Roses, des égouts de l'agglomération parisienne, à Grenoble, de la rivière Isère, à Marcoule, du Rhône. » De fait, on retrouve du plutonium jusqu'en Camargue. De même, des déchets et résidus de tritium (substance nécessaire à l'entretien des bombes) sont localisés un peu partout sur le territoire.** * ** Notamment par la Russie, cf. reportage Naufrages en eaux troubles, Thalassa, France 3, 1998. Autre exemple : le site de l'entreprise Oceanic

particulièrement incertain pour des raisons techniques. Le relais souhaitable de l'énergie de fission des éléments lourds devrait être assuré par l'énergie de fusion des éléments légers (hydrogène, deutérium, tritium, hélium) et, plus particulièrement, par la réaction de fusion du deutérium et du tritium. Mais, malgré des travaux incessants sur des prototypes de recherches très élaborés, il s'avère difficile de confiner les fluides réagissant à une température voisine de 100 millions de °C, et les espoirs

radionucléides passent dans le sang après avoir été avalés ou inhalés. Il s’agit des radionucléides les plus solubles comme le tritium, l’iode ou le carbone. Tous les atomes radioactifs ne se répartissent pas de la même manière dans l’organisme exposé. En fonction de leurs propriétés chimiques, certains radionucléides se répartissent de manière homogène dans l’ensemble de l’organisme (tritium, césium). À l’inverse, d’autres se concentrent de préférence dans un ou plusieurs organes de rétention (organes cibles)

technique employée, Q uellerépulsion lafusion nucléaire reste la problé-: matique de la la même vaincre la des noyaux de deux éléments légers nucléaire la moins difficile à réaliser est celle qui peut intervenir entre le deutérium (D) et le tritium (T), deux isotopes de l’hydrogène. Elle donne naissance à un noyau d’hélium 4 (particule alpha) doué d’une énergie de 3,52 MeV et à un neutron de 14,06 MeV. afin qu’ils mettent en commun leurs nucléons pour constituer un élément plus lourd

soleil et réaliser la fusion nucléaire. Personne n’est capable de dire aujourd’hui quand la fusion du deutérium et du tritium sera maîtrisée pour produire de l’énergie : 50 ans ? 100 ans ? Jamais ? La fusion de ces deux isotopes de l’hydrogène produit de l’hélium, des neutrons et de l’énergie. Le deutérium est abondant, puisque 1 m3 d’eau contient 35 g de deutérium. Le tritium, lui, est obtenu à partir du lithium. Pour réaliser la fusion, il faut porter le mélange, alors appelé plasma, à 100 millions

qui diffère d'un isotope à l'autre. On nomme un isotope par son nombre de masse A : le carbone 12, le carbone 14, etc.Exemples : Les isotopes de l'hydrogène : l'hydrogène léger (ou hydrogène - tout court), le deutérium (ou hydrogène lourd) et le tritium ; présentent tous un proton et un électron et respectivement zéro, un ou deux neutrons. Les isotopes du carbone comportent tous 6 électrons et 6 protons : carbone 12 (6 neutrons), carbone 13 (7 neutrons) et carbone 14 (8 neutrons). Les isotopes de

serait alors autonome sur un plan énergétique. Au-delà de ce seuil, tout surplus de combustible produirait un surplus d'énergie au bénéfice de l'exploitant. Les Avantages : • Grande quantité de ≪ carburant ≫ fusible disponible : deutérium et tritium. • Production d'éléments radioactifs à vie courte : combustible est faiblement radioactif.

plusieurs formes cristallines. Proton est un nucléon dont la masse vaut une unité de masse atomique (1u ou plus précisément 1,00727663u), elle correspond approximativement à celle de l’atome d’hydrogène. Il est 1836 fois plus lourd que l’électron. Tritium est le nom donné à l’isotope n°3 de l’hydrogène. Volume molaire d’un gaz est le volume d’une mole de gaz, il s’exprime en (litre par mole), la pression et la température, devant tjrs être précisées lorsqu’on en donne sa valeur. |

d’accidents dans les centrales nucléaires. 7) Les principaux axes de recherches en termes de progrès pour l’avenir sont : - Développer l’exploitation des sources d’énergie renouvelables ; - Maitriser la fusion nucléaire utilisant le deutérium et le tritium : pas de déchets radioactifs et pas de problème de réserves puisque ces deux isotopes de l’hydrogène sont présents dans l’eau. 8) Les inconvénients liés à l’utilisation des ressources renouvelables sont : - Impact environnemental : dénaturation