Troie

contrecarrer les plans des prétendants de sa mère Pénélope - les chants V à XII correspondent au récit de son périple par Ulysse lui-même ; recueilli par le roi Alcinoos après un naufrage, il raconte ses aventures précédentes depuis son départ de Troie - les chants XIII à XXIV racontent la vengeance d'Ulysse qui se fait reconnaître de ses proches et massacre les prétendants. Au cours du long périple qui le ramène chez lui, Ulysse doit de nouveau faire preuve de ruse et d’astuce pour surmonter

coup par ce sentiment d’orgueil et d’arrogance, Hermione souhaite maintenant voir « l’ingrat » périr pour ne pas l’avoir aimée, elle, reine et fille de Ménélas et d’Hélène. Elle souhaite sa mort pour avoir ignoré la décision des honorables héros de Troie, qui les avaient destinés au mariage, pour avoir trahit son père Achille et tous les Grecs en épousant la veuve de l’ennemi, Hector, contre qui de nombreux Grecs ont péris dans les vers suivants « ce prince, dont mon cœur se faisait autrefois, avant

positive de la formule d’incipit du sonnet : « Heureux qui ». L’adjectif « beau » ajoute une touche qualitative. Le poète désigne les deux héros à travers deux comparaisons ; la première, « comme Ulysse », rappelle le désir proverbial du destructeur de Troie de rentrer dans son île d’Ithaque, après dix ans d’adversité. Mais au bout de ses souffrances, Ulysse trouve le bonheur du retour au pays natal. Même destin favorable pour Jason, désigné par la périphrase caractéristique du personnage : « comme celui-là

car ne supporte pas qu’il ait une nuit de noce avec Andromaque. Oreste ne comprend pas mais accepte. Pyrrhus revient voir Hermione (alors que sa décision est prise) : elle l’insulte, lui rappelle qu’il est un monstre en évoquant ce qu’il a fait à Troie (not. le meurtre de Priam). Pyrrhus lui dit qu’il en est conscient, il est inutile de lui rappeler. Il lui dit qu’elle ne l’aimait pas donc lui dit de partir. Elle répond « JE ne t’ai pas aimé, cruel ? Qu’ai-je donc fait ? » : elle se livre toute entière

arrête ton navire afin d'écouter notre voix ! Jamais aucun navire noir n'est passé là sans écouter de notre bouche de doux chants. Puis on repart, charmé, lourd d'un plus lourd trésor de science. Nous savons en effet tout ce qu'en la plaine de Troie les Grecs et les Troyens ont souffert par ordre des dieux, nous savons tout ce qui advient sur la terre féconde..." Ulysse était, comme tout autre homme passant par là, conquis par le chant de ces Sirènes mais ses compagnons le chargèrent de plus

L’Odyssée d’Homère relate les aventures d’Ulysse l’Inventif, qui, des plages de Troie aux rivages d’Ithaque, son royaume, errera dix années durant. Ayant combattu les Cicones, échappé au Cyclope, aux Lestrygons, aux tempêtes déchainées par l’Ebranleur des Terres, Ulysse échoue au Chant VII en Phéacie, terre des armateurs. Abattu et brisé par son périple, Ulysse est cependant accueilli par la princesse Nausicaa, fille du roi Alcinoos, qui le nourrit et l’instruit de la manière d’aborder son père

résistance. -Un conflit générationnel. Créon= monde des adultes (compromis) Antigone= adolescents (révolte) Partie 3 : Mise en relation A son époque Anouilh n’est pas le seul a avoir recoure au mythe. Giraudoux écrit en 1935 La Guerre de Troie n’aura pas lieux. Il y a aussi J-P Sartre en 1943 qui écrite Les Mouches. L'adaptation de Jean Anouilh ne transforme pas le texte d'origine écrit par Sophocle.

de tous côtés qu'on menace Pyrrhus ; Toute la Grèce éclate en murmures confus ; On se plaint qu'oubliant son sang et sa promesse Il élève en sa cour l'ennemi de la Grèce, Astyanax, d'Hector jeune et malheureux fils, Reste de tant de rois sous Troie ensevelis. J'apprends que pour ravir son enfance au supplice Andromaque trompa l'ingénieux Ulysse, Tandis qu'un autre enfant, arraché de ses bras, Sous le nom de son fils fut conduit au trépas. On dit que peu sensible aux charmes d'Hermione Mon

Avec lui dans la tombe elle s'est refermée." Cepandant,il lui reste tout de meme un fils, non seulement le seul bien qu'il lui reste d'Hector mais aussi l' unique descendant du pouvoir troyen : Astyanax. "Le seul bien qui me reste et d’Hector et de Troie" Au début de la pièce, Andromaque désire plus que tout se consacrer au culte du souvenir de son mari, elle refuse

plaisir en le lisant ; mais cette répétition continuelle de combats qui se ressemblent tous, ces dieux qui agissent toujours pour ne rien faire de décisif, cette Hélène qui est le sujet de la guerre, et qui à peine est une actrice de la pièce ; cette Troie qu’on assiège et qu’on ne prend point ; tout cela me causait le plus mortel ennui. J’ai demandé quelquefois à des savants s’ils s’ennuyaient autant que moi à cette lecture : tous les gens sincères m’ont avoué que le livre leur tombait des mains, mais