Trois camarades

croyance solide de la hiérarchie sociale. Par exemple, les passagers de la diligence partagent leur angoisse de la souffrance de la guerre et condamnent les morts inutiles des soldats français, et pourtant montrent de l’ingratitude de leur propre camarade, Boule de Suif, à cause de sa profession. Lorsque tout le monde est contre la guerre, ils le sont à cause des raisons complètement différentes, et c’est dans ces différences qu’on peut noter les fissures dans l’échelle sociale. Par exemple, Cornudet

peine 20 ans. A cause du « bourrage de crâne » exercé par l’un de ses professeurs, il s’engage dans l’armée allemande alors que la première guerre mondiale commence à peine. Il combat sous le drapeau allemand depuis deux ans. Avec lui, quelques camarades de classe et deux amis chers : Kropp et Kat. Nous sommes en 1917, la guerre bat son plein. Dans les tranchées, les hommes vivent au milieu des bombardements, tenaillés par la peur de la mort. Les recrues tombent comme des mouches. Paul raconte ces

est traité avec humour et dérision. Cette partie se clos par une boutade des prisonniers, sur Pintar, à un de leur camarade, Demolier, un passionné des volumes anciens. La scène qui suit est courte et est une transition avec la seconde partie. Dans ce court plan séquence, Rosenthal et Marechal prépare leur prochaine évasion, et occupés il ne prête pas attention à l’un de leur camarade noir de chambre. La dernière partie débute avec un gros plan d’une corde que réalise Maréchal, en prévision de leurs

qui montre son territoire. Cadavre avec les jambes en l'air et les bras tendus comme le christ Retable d'Issenheim en a l'envers comme s'il commence a entamé sa descente vers les enfers. C.soldat sûrement représentation de Otto Dix qui portent un camarade blessé a la tete, ils sont tout blanc comme s'ils étaient des esprits, ils n'ont plus d'équipement il ne se met pas a couvert comme s'il savait qu'il allait survivre car il vient de sortir de l'enfer ( couleur vive fumée, feu qui émane derrière eux)

soigner. De la page 203 à 220 : Paul et Albert, guéris, retournent au front et revoient leurs amis. VI) Le dénouement Une fois sortis de l’hôpital catholique, Paul et Albert Kropp retournent au front. Au cours d’une grande offensive, les camarades de Paul se font tuer un à un. En octobre 1918, lors d’un accrochage, Paul est tué. L’armée note seulement ce jour là « Rien de nouveau sur le front de l’Ouest ». Le visage de Paul affiche une expression calme. VII) Les réflexions sur la guerre

étranger, face à ceux qui n’ont pas vécu le front ------------------------------------------------- Introduction Définitions : Camaraderie : Bonne entente, solidarité entre camarades Camarade : Compagnon avec lequel on partage une activité commune. Exemples : études, loisirs… Nous allons présenter une œuvre d’Erich Maria Remarque dont le thème est la vie courante d’un soldat du front pendant la première guerre mondiale. Nous

trouver l’ami fidèle. Mais, comment l’amitié se constitue-t-elle entre les gens? Je pense que la camaraderie est une phase très importante pour bâtir une vraie amitié car en camaraderie, on peut tester beaucoup de choses : sincérité, fidélité…Un camarade qui vous incite à faire du mal n'est pas un ami. Il faut bien le négliger immédiatement. Si vous rencontrez un copain qui vous aide à progresser vers le bien, il faut le considérer comme un vrai ami. Personnellement, je trouve que l’amitié a beaucoup

bien connue. Les cousins et cousines de Nicolas Ce sont Éloi, Roch et Lambert ainsi qu’Elvire6 et Clarisse7. Les sœurs de Maman Elles se nomment : Pulchérie8, Eulogie9, Clarisse10 et la redoutable tante Mathilde au sans-gêne proverbial. Les camarades de Nicolas[modifier | modifier le code] Alceste C'est le meilleur ami de Nicolas. Il est très gros car il mange tout le temps. Les dessins le représentent presque toujours en train de mettre quelque chose dans sa bouche. Sa nourriture rend aussi

Thélis qui incarne le mieux ces valeurs. Effectivement, on lit au chapitre 2 de la première partie que « ce garçon de vingt-quatre ans est […] la vie de l’escadrille. Sa joie, son courage, sa jeunesse ! […] six palmes comme pilote […]. Et quel camarade, vous verrez ! » Autrement dit, ces aviateurs sont évoqués par Kessel comme de véritables chevaliers. Le rapprochement avec ces figures médiévales sont rendus possibles par leur côté élitiste. Contrairement aux fantassins issus des classes populaires

l'histoire d'un jeune garçon sans père qui subit des moqueries de la part de ses camarades de classe. Alors qu’il décide de mettre fin à ces jours,  il fait la rencontre d’un forgeron qui va l’aider et viendra à épouser sa mère. Dès ce moment, ces camarades jaloux, vont alors cesser de le tourmenter. Il y a ici comme toute histoire ce finissant bien un élément perturbateur qui sont les moqueries incessantes de ces camarade car il n'a pas de père ; et une résolution du problème qui est l'arrivé du forgeron