Trot

bancs à deux roues, vieux cabriolets sans capote, tapissières à rideaux de cuir, et les jeunes gens des villages les plus voisins dans des charrettes où ils se tenaient debout, en rang, les mains appuyées sur les ridelles pour ne pas tomber, allant au trot et secoués dur. Il en vint dix lieues loin, de Goderville, de Normanville et de Cany. On avait invité tous les parents des deux familles, on s'était raccommodé avec les amis brouillés, on avait écrit à des connaissances perdues de vue depuis longtemps

grande connaisance mais qu’il soit capable de les expliquer à ses élèves.Une métaphore filé equestre l9 à 20 illustre la méthode que doit suivre le maitre pour conduire l’élève vers la connaissance l12 «  a le mettre sur la monte » ; «  le faire trotter devant lui pour juger de son train » . Le maitre doit donc évaluer le niveau de l’élève qui lui aie confié ainsi que sa rapidité de compréhension afin de savoir a qui il a faitre «  la porté de l’ame qu’il a en main »l19. Il va laisser son élève soulevé

bien m’élever quand même. Et ce serait un secret de Polichinelle si je vous avoue que sans cela, bien des pages auraient pu rester blanches. La vérité si je mens! Les lignes qui suivent ne font pas vraiment exception. Je les consacre à un truc qui me trotte par la tête depuis belle lurette. Pour aujourd’hui, ce sera l’histoire des déceptions de l’homme occidental. Ne m’en voulez pas à moi. C’est Freud qui a trouvé le truc et je ne fais que le reprendre ici en mes mots et à ma manière. Pour aller au vif

cosy, il prit un journal qu'il parcourut d'un air distrait. Il alluma un cigarillo qu'il fuma jusqu'au bout quoiqu'il trouvât son parfum irritant. Il toussa. Il mit la radio : un air afro-cubain fut suivi d'un boston, puis un tango, puis un fox-trot, puis un cotillon mis au goût du jour. Dutronc chanta du Lanzmann, Barbara un madrigal d'Aragon, Stich-Randall un air d' Aida. Il dut s'assoupir un instant, car il sursauta soudain. La radio annonçait : « Voici nos Informations ». Il n'y avait

l’information qu’ils reprennent. Si l’information est composée de plusieurs mots, souligne-les. 1) C’est quoi l’art ? Pas facile de répondre à cette question ! On pourrait dire que l’art est une idée mise en forme. Une idée est une chose invisible qui trotte dans la tête. Pour communiquer cette idée, on lui donne une forme. Mais quelle forme ? C’est à l’artiste de la choisir. 2) Pulls pour manchots Dans l’ile de Tasmanie (près de l’Australie), les amis des animaux ont sorti leurs aiguilles

L’imparfait marque un évènement, qui dure, qui n’est pas achevé, donc qui est imparfait, ou dont les limites ne sont pas prises en compte : « La famille y était_ établie depuis plusieurs siècles »_ (chapitre 1), « Et nous voilà partis au petit trot, tandis que sur la crête des collines la moitié d’un grand soleil rouge nous regardait_ à travers les pins »_ (chapitre 3). L’imparfait est le temps de la description d’un tableau, d’une scène. Il pose le décor : « Lorsque je l’ai connu, il portait_

qui l’avait frappé avec son bourdon, il l’accrocha par la braguette ; toutefois ce fut une grande chance pour lui, car il lui perça un chancre qui le martyrisait depuis qu’ils avaient passé Ancenys. Ainsi les pelerins dénichés s’enfuirent à beau trot à travers la vigne nouvellement plantée, et la douleur s’apaisa.

Franck Wedekind Ecrivain allemand, né à Hanovre en 1864, mort Munich 1918 Enfance et milieu : Père médecin, globe trotter, 10 ans en Turquie, 15 en Californie, épouse une jeune actrice d’origine hongroise., Franck = 2ème enfant. 1872, s’installe en Suisse Etudes, influence du père : Etudie Lausanne puis droit à Munich. Et s’intéresse aussi à littérature, gynécologie et s’intéresse au journalisme. > son père lui coupe les vivres > travail, 1886 devient directeur de l’agence publicitaire

portais toutes trois sans mal. Je ne ressentais aucune fatigue. Peu après le pont, j’ai aperçu à une cinquantaine de mètres de moi l’Ohnmeist. Il paraissait m’attendre, comme 15 s’il voulait me montrer le chemin. Il s’est mis en route, d’un petit trot, et m’a précédé ainsi pendant plus d’une heure. Nous sommes montés par le sentier en direction plateau du Haneck. Nous avons traversé les grands bois de résineux. Il y avait de bonnes odeurs de mousse et d’épines. De la neige formait au pied des

comprendre que les chevaux croient qu’Olivier et Chabrand sont leurs sauveur. Car ces équidés sont pris au piège. Plus loin, il y a une relation entre la jument nue, son poulain et Olivier «Elle vient, devant La Poule, baller de la tête, rire et trotter dans son pas. Le poulain danse de biais contre Olivier». Cette approche va considérablement renforcer les liaisons entre l’homme et l’animal alors que les animaux sont le plus souvent domptés, apprivoisés ou même persécutés. Mais en ce temps de guerre