Trottoir

contre la guerre mais là aussi le dépasse. En même temps, il renvoie aux Allemands le reflet de leur époque. Une époque d’après-guerre où, dans les vitrines de la rue la plus animée de Dresde, se mêlent accessoires de modes de prothèses ; sur les trottoirs, les mutilés mendient ou vont fièrement sur leur chariot de fortune alors que le monde des biens portants, au dessus d’eux, les ignore. Une époque où l’extrême droite menace avec son refus de la démocratie et son anti-sémitisme étalés dans les tracts

stationnement des Taxis-villes prenait de l’ampleur au fil du temps. Il en est ressorti que les conducteurs de taxis stationnent, d’une manière générale, vraiment mal. Comme exemple : - le stationnement de certains conducteurs de manière abusive sur le trottoir ; - stationnent à des endroits interdits (non respect du code de la route) ; - stationnement sur la chaussée pour prendre ou descendre un client ; - stationnement de masse près des espaces vert en vue de se créer une gare. 2/ LES CAUSES

la même hauteur des voitures et que les gens ne respectent pas le passage piéton, ils peuvent ne pas s’arreter pour nous laisser passer ou alors s’arreter pile sur le passage piéton lors du feu rouge. Des endroits n’ont pas d’abaissement sur le trottoir ce qui nous oblige à faire une manœuvre difficile et risquée, car on pourrait basculer, pour déscendre. Sans compter que nous n’avons pas dû prendre le bus, mais je ne peux qu’imaginer à quel point ça doit être compliqué à moins qu’il ne s’agit

particuliers. Les ménages n’ayant pas toujours les moyens de payer ces particuliers ou pré-collecteurs d’ordures, leurs ordures leur restent sous les bras et se retrouvent nuitamment (pour les moins courageux et les plus scrupuleux) sur la voie, le trottoir ou dans le caniveau ou encore sur la première aire libre rencontrée. Parfois, ce sont les pré-collecteurs eux-mêmes, qui à bout de force pour continuer de tirer leur charrette (Wôttrô) remplie d’ordures « pré-collectées », déversent leur cargaison

à l'encoignure de la rue de la Michodière et de la rue Neuve-Saint-Augustin, un magasin de nouveautés dont les étalages éclataient en notes vives, dans la douce et pâle journée d'octobre. Huit heures sonnaient à Saint-Roch, il n'y avait sur les trottoirs que le Paris matinal,les employés filant à leur à bureaux et les ménagères courant les boutiques. Devant la porte, deux commis, montés sur une échelle double, finissaient de pendre des lainages, tandis que, dans une vitrine de la rue Neuve-Saint-Augustin

et la Région. Histoire : Alors qu’à Paris, les « passages » remontent à la fin du XVIIIe siècle et connaissent une mode sous la Restauration. Ils représentent un confort considérable pour le piéton, qui doit à l'époque affronter des rues sans trottoir, exposées aux intempéries. À Nantes, le premier passage date seulement de 1827 : il s'agit du passage d’Orléans, toujours existant, d'une longueur modeste de 20 m environ, reliant la rue d'Orléans à la place Félix-Fournier. Creation : Dans la

découpés en plusieurs zones : - c h a u s s ées, trottoir - t e r r e-plein, - pistes cyclables, - des circulations en site propre/spécifique (bus tramway)… ESPACE PUBLIC - INTRODUCTION L’espace urbain est le support de nombreux flux. En dehors de celui visible des voitures, cycles, piétons, le soussol regorge de tous les réseaux (eau, électricité, gaz, téléphone, câbles,…, assainissement). Ils sont généralement placés sous les trottoirs ou pour les plus gros (assainissement) sous la rue

BETON 2.50 MPa CONTRAINTE D'ADHERENCE VIS-A-VIS DE L'ANCRAGE DES ACIERS 2.84 MPa CALCUL DES CHARGES POIDS DES SUPERSTRUCTURES SURFACE / NBR POIDS VOL/LIN FRACTION MAX FRACTION MIN QMAX QMIN CORNICHE 0.123 m2 2.500 t/m3 1.05 0.95 0.323 0.292 TROTTOIR 0.080 m2 2.300 t/m3 1.05 0.95 0.193 0.175 LONGRINES 0.304 m2 2.500 t/m3 1.05 0.95 0.798 0.722 GLISSIERE 2 0.020 t/m 1.05 0.95 0.042 0.038 GARDE CORPS 1 0.024 t/m 1.05 0.95 0.025 0.023 ETANCHEITE 0.435 m2 2.200 t/m3 1.2 0.8 1.148 0.766 ROULEMENT

à l’encoignure de la rue de la Michodière et de la rue Neuve-Saint-Augustin, un magasin de nouveautés dont les étalages éclataient en notes vives, dans la douce et pâle journée d’octobre. Huit heures sonnaient à Saint-Roch, il n’y avait sur les trottoirs que le Paris matinal, les employés filant à leurs bureaux et les ménagères courant les boutiques. Devant la porte, deux commis, montés sur une échelle double, finissaient de pendre des lainages, tandis que, dans une vitrine de la rue Neuve-Saint-Augustin

à l'encoignure de la rue de la Michodière et de la rue Neuve-Saint-Augustin, un magasin de nouveautés dont les étalages éclataient en notes vives, dans la douce et pâle journée d'octobre. Huit heures sonnaient à Saint-Roch, il n'y avait sur les trottoirs que le Paris matinal, les employés filant à leurs bureaux et les ménagères courant les boutiques. Devant la porte, deux commis, montés sur une échelle double, finissaient –3– de pendre des lainages, tandis que, dans une vitrine de la rue Neuve-Saint-Augustin