Tutsis

de la partie agressive de l’espèce humaine et du bonobo comme la partie douce et emphatique de celui-ci. Il décrit l’homme comme un singe bipolaire. On à vu aussi avec l’exemple du village rwandais de Rubona où il y a eu le génocide sur le peuple Tutsi un peuple qui été voisin, camarades de classe et parfois de la même famille avec ceux qui devinrent leurs assassins. On a là un exemple de comportements qui ne peuvent être qualifiés autrement que d’animal de sauvage. S’acharné et découpé son voisin

d'une situation de non-droit et climat de terreur : conflit guidé par une volonté meurtrière ; touche durement les pop. Civiles (prises d'otage, victimes de pillage, privées de nourriture, objets de massacres, épurations ethniques, voire génocides (Tutsis au Rwanda en 1994) 1-2 – Le nveau visage du terrorisme intern. - le terrorisme intern. prend une dimension mdiale à partir de la fin des années 90. - mobiles variés : politiques (représailles, moyen de pression) mais aussi criminels voire religieux

(association d'état pour gérer la paix internationale) met fin à la guerre et au siège de Sarajevo. L'Afrique est aussi secouée par de nombreux conflits dans les années 2000, Somalie, Liberia, Séria-Leone, Ruanda où il y a une opposition entre les Tutsis et les Hutus qui débouchent sur un génocide de plus de 800 000 morts devant les forces de l'ONU qui restent impuissantes. Aujourd'hui encore on en parle car on trouve encore des charniers (fausse commune où on enterrait les morts, les vivants) avec

violences criminelles sont plus nombreuses qu'auparavant. Ce n'est plus l'armée officielle qui entre au combat mais des bandes armées menée par des chefs. Ils s'attaquent aux populations civiles qui sont victimes de massacre, comme lors du génocide des Tutsi au Rwanda en 1994. Le terrorisme prend une dimension mondiale depuis la fin des années 1990. Les groupes de terroristes s'attaquent aux civils et ont pour but de faire le maximum de victimes. Leurs motivations sont diverses: représailles, moyen de

imprescriptibles par la Convention sur l’imprescriptibilité des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité, adoptée par les Nations unies en 1968 et ces notions ont été utilisées postérieurement dans d'autres contextes (génocide arménien, génocide des Tutsi, etc.) Le droit international humanitaire a également été enrichi avec l’adoption des Conventions de Genève de 1949, qui protègent la population civile en temps de guerre, les précédentes conventions de Genève (de 1929), en vigueur durant la Seconde

d'extermination. L'horreur de ce « crime de masse »6 a conduit, après-guerre, à l'élaboration des notions juridiques de « crime contre l'humanité »7 et de « génocide »8, utilisées postérieurement dans d'autres contextes (génocide arménien, génocide des Tutsi, etc.). Le droit international humanitaire a également été enrichi avec l'adoption des Conventions de Genève de 1949, qui protègent la population civile en temps de guerre9. L'extermination des Juifs durant la Seconde Guerre mondiale se distingue

d'Afrique de l'Est. Il fut commis dans le cadre d'une guerre civile opposant le gouvernement rwandais, qui s'était auto-proclamé Hutu Power avant le génocide, et le Front patriotique rwandais (FPR), accusé par les autorités d'être essentiellement « tutsi ». D'une durée de cent jours, ce fut le génocide le plus rapide de l'histoire et celui de plus grande ampleur en termes de nombre de morts par jour. DÉROULEMENT : • Le 6 avril 1994, le président du Rwanda Juvénal Habyarimana est assassiné. Pendant

sécurité à l'être humain, l'impression d'avoir acquit un certain confort et donc il voudra garder ce confort et n'acceptera pas la différence. De même, nous savons tous que les Chites ne supportent pas les Sunites, que les Utus ne supportent pas les Tutsis. Dans le passé, il y a aussi eu des guerres de religions entre les catholiques et les protestants. Les différences religieuses ou culturelles engendrent la haine et celle ci mène au conflit, elle peut mener à des massacres, à des tortures, des executions

Après les attentats du 11 septembre 2001 42. Semer la terreur chez lui afin de le démoraliser et de l’amener à capituler 43. Pacifiquement avec d’autres pays et mettre en œuvre la politique étrangère adoptée par son gouvernement 44. Hutus et Tutsis 45. 800 000 morts 46. 300 000 enfants 47. Conflit qui se déroule dans un État (gouvernement vs. Citoyens) 48. Le droit d’intervenir militairement 49. Signature du pacte Briand-Kellogg 50. -30% 51. Un État peut intervenir dans

l'homme ougandaise publié en 2002 a proposé une version sensiblement différente de celle rapportée par la presse en ce qui concerne les circonstances de la création du mouvement : en 1988, Mwerinde, peut-être sous l'influence de réfugiés rwandais Tutsi originaires de Kibeho où se serait produit une apparition mariale5, aurait rejoint un mouvement fondé par Blandina Buzigye, une femme prétendant elle-aussi avoir vu la Vierge Marie à Nyabugoto Rock, dans le district de Rukungiri. Blandina Buzigye affirmait