Tutsis

(Somalie, Bosnie-Herzégovine) (2). Certains ont estimé que ces opérations consacraient le droit d’ingérence.Une interprétation rejetée par la sous-commission des droits de l’homme de l’ONU en 1999.Toutefois, les massacres de Srebrenica et le génocide des Tutsis du Rwanda ont incité le secrétaire général de l’ONU Kofi Annan à appeler, en 2000, à l’instauration d’« une exigence morale faite au Conseil de sécurité d’agir au nom de la communauté internationale contre les crimes contre l’humanité (3) ». Selon

trouvaient face à face dans une guerre civile. Voici l’effet du jeu de ballon dans les pays pauvres. Prenez Rayon Sports, le club de football le plus connu au Rwanda. On est Octobre ’96, bien 2 ans après la génocide qui a couté la vie aux 800.000 Tutsis et Hutus modérés. La compétition nationale vient de se reprendre de nouveau et les entraînements se font dans un village de montagne. Des dizaines des habitants des villages sont curieux de voir les exercices de réchauffement et les entraînements

entre Etats ou des guerres civiles après la décolonisation. • Les européens ont parfois utilisé les rivalités entre clans ou ethnies pour asseoir leur domination, ce qui a ensuite généré des tensions à la décolonisation. EX : Rwanda (entre Hutus et Tutsis). II. Construction de l’Etat-nation et impératif de développement ETUDE DE CAS (partie B) : L’Inde Doc 4 p. 85 : L’Inde est une démocratie (rare parmi les pays décolonisés). 1. Une transition politique difficile • Bcp d’Etats nouvellement

ennoblit. Bel exemple de schizophrénie raisonnante, qui conduira de nombreux auteurs à inventer la catégorie anthropologique abracadantesque, désignée d’un oxymoron, de « Blanc à peau noire », pour qualifier Egyptiens, Nubiens, Abyssins et même les Tutsis du Burundi et du Rwanda jusqu’aux Massaïs du Kenya. Ces blancs à peau noire sont subsumés sous le concept générique de « Chamite » ou « Kamite » ou encore « Hamite », affecté d’un coefficient mélioratif. De telles affirmations dans leur aberration

selon ses origines et ses manifestations l’extermination des juifs est un véritable génocide indéniable. En d’autres termes, les origines du génocide au Rwanda en 1994 qui a vu le massacre programmé de centaines de milliers de civils principalement tutsis par des miliciens hutus, sont à chercher dans des oppositions politiques et dans des discordances ethniques pluriséculaires. Les génocides les plus récents et les plus destructeurs que l’espèce humaine ait jamais connus, à savoir l’Holocauste ou

par l'historiographie, par la mémoire collective et par la culture populaire en général. Son nom et sa personne font généralement figure de symboles répulsifs -Le génocide rwandais a eu lieu lors d'un conflit opposant notamment les ethnies Hutu et Tutsi. La guerre ethnique la plus longue est celle qui sévit en Somalie depuis 1994 à nos jours entre les tribus Darroodes et Ogadennes. En 2003 et pendant plusieurs années, la guerre civile au Darfour est l'occasion d'un conflit ethnique entre Fours et

citoyens des cités appelaient « barbares » ceux qui vivaient en dehors des limites du monde grec. Le racisme en lui-même a plusieurs formes, l’extrémisme, prenons l’exemple de la Shoah de la Seconde Guerre mondiale (antisémitisme) et le génocide des Tutsi et des Hutu modérés au Rwanda en 1994. Il y a aussi le racisme « modéré » des personnes uniquement hostiles ou gênées sans vraiment agir. Ce fléau a été combattu par de nombreux grands hommes comme Albert Einstein ou aussi Nelson Mandela mais il a

accords de Dayton en 1995. Il y a eu d’autres conflits, surtout des guerres civiles dont les causes sont nombreuses : revendications ethniques, nationalistes… Par exemple le conflit Israélo-palestiniens ou encore le génocide au Rwanda en 1994 ou 800 000 Tutsis furent massacrés par des Hutus. A partir de 2001, de nouvelles menaces firent surface. Il y a tout d’abord la menace islamiste. L’islamisme s’est impose lors de la révolution iranienne en 1979 conduite par Khomeiny qui était une figure du chiisme

d'extermination. L'horreur de ce « crime de masse » a conduit, après-guerre, à l'élaboration des notions juridiques de « crime contre l'humanité » et de « génocide », utilisé postérieurement dans d'autres contextes (génocide arménien, génocide des Tutsi, etc.). Une très grave lacune du droit international humanitaire a également été complétée avec l'adoption des Conventions de Genève de 1949, qui protègent la population civile en temps de guerre. L'extermination des Juifs durant la Seconde Guerre

collective" remplaçait la conscience individuelle ordinaire, les images, les symboles, remplacent les mots et les pensées logiques (par exemple on transforme ainsi des clandestins en « sans-papiers », de même que le processus de victimisation des Tutsis au Rwanda permet d’orienter l’interprétation des faits) ; la tendance à transformer immédiatement en actes les idées ainsi suggérées : l’individu n’est plus lui-même, mais un automate guidé par l’émotion, l’ambiance, au lieu de sa volonté (ainsi