UKIP

modérés. La victoire de Syriza fut vivement soutenue par Podemos le mouvement allié espagnol d’extrême gauche et le front de gaude parti Francais. Mais les mouvements d’extrêmes droites eux aussi progressent aussi comme par exemple en Angleterre avec UKIP en France avec le FN et Pegida en Allemagne … L’ascension des extrêmes partage l’union européenne entre la peur et l’espoir, et Syriza l’illustre bien, car sa réussite ou sont échec dans la réhabilitation économique de la Grèce sera déterminante pour

question la libre circulation des citoyens dans l’Union Européenne, oppose une politique d’immigration « juste »  avec un contrôle des frontières respectant les droits fondamentaux. Ainsi les partis populistes et xénophobes européens, le FN français, le UKIP anglais’l’AFD allemand, ou encore le PVV des Pays-Bas, sont en mesure de préparer un discours adressé à l’Afrique, au Moyen-Orient mais aussi à l’Europe de l’Est. D’après LeMonde.fr Rama Yade, ancienne secrétaire d'Etat  a jugé, dimanche sur RCJ, "totalement

des mêmes ressources financières, associatives et de plus ne représente pas l’opinion publique. Un des facteurs qui contribue à cette uniformisation des conservateurs sur la question européenne est la montée du « Union Kingdom Independent Party » (UKIP) qui obtient la deuxième place aux élections européennes de juin 2009. C’est un parti d’extrême droite qui demande le retrait du Royaume-Uni de l’Union Européenne. Sa forte progression n’est pas étrangère au besoin des conservateurs de former une unité

Slogan : « Les Finlandais d'abord » 3. Suède :note :6/10SD Démocrates suédois Président :Jimmie Åkesson Adhérent :12 000 Idéologie :Eurosceptique, néoconservateur, islamophobe. Slogan : « Sécurité et tradition » 4. Royaume-Uni :note :6/10 UKIP Parti de l'indépendance du Royaume-Uni Président :Nigel Farage Adhérent :34 000 Idéologie :Anti-européen, libertarien, pour une immigration très contrôlée. Slogan : « Aimez la Grande-Bretagne » 5. France :note :6/10 FN Front national Président :Marine

du Front National qui est d’ailleurs arrivé en tête aux élections cantonales partielles d’hier à Brignoles avec 40,4%. En Grèce également à cause de la crise, le parti Aube Dorée a remporté des places au parlement. De plus, en Angleterre, le parti UKIP ( parti pour l’indépendance du Royaume-Uni ) « amis » du Front National, a notamment talonné les Tories avec un score de 23% à des élections locales partielles. Leur leader, Nigel Farage, se proclame « antipolitique », ainsi que Beppe Grillo en Italie

de légitimité des élus car nbre de voix inférieur aux abstentionnistes => désaffection à l’égard de l’Europe. Défiance envers l’Europe se traduit par la poussée à chaque élection euro des partis souverainistes ou populistes (Vlaams Block Belgique, UKIP au RU, Alliance nationale Italie). -participation au vote encore plus faible chez les nvx adhérents (abstention 74% chez les 10 nvx adhérents, avec 84% Slovaquie, 80% Pologne =>impression que les quelques députés qui seront envoyés au Parlement ne

plus pro-européen et internationaliste du pays. Il est également traditionnellement le parti le plus anti-nucléaire et le refuge des partisans d’un désarmement unilatéral. Face à la montée du vote protestataire en faveur du parti pour l’indépendance UKIP (12% des intentions de vote), le parti conservateur a durci sa politique, en particulier sur les questions migratoires, de libre circulation et de versement des prestations sociales aux étrangers, qui polarisent le débat interne. La fin de la période

1/3 des électeurs appelés à désigner plus de 6 000 conseillers des 166 comtés ou districts. 10 juin 2004 : les élections européennes sont marquées par un recul important des deux principaux partis britanniques et le succès du parti anti-européen UKIP (Parti de l'indépendance du Royaume-Uni). Avec 27,4% des voix, soit 25 sièges sur 78, le Parti conservateur arrive en tête des élections, suivi par le Parti travailliste qui recueille 22,3% des suffrages, soit 17 sièges. Partisan du retrait de la Grande-Bretagne

 nationalisme pro-étatique des élites (→élites conservatrices réclament reprise de contrôle sur le territoire, présenté comme abandonné à l’UE) • −  nationalisme ethnique et populaire (→peur de l’immigration alimentée par un nouveau mouvement politique : UKIP • −  soutien puissant des médias de masse (→la presse « tabloïd ») Page sur 1 11Léa SachotLéa SachotLéa SachotLéa Sachot• −  manipulation habile de la réaction émotionnelle (→différence culturelle, protection de l’identité) à la froide rationalité

l’intégralité de leur souveraineté.- Seul un Etat-nation a quitté l’UE depuis sa création : le Royaume-Uni. L’argument principal de l’UKIP (parti souverainiste) était que l’UE tendait à être un super-Etat menaçant la souveraineté de l’Etat-nation britannique. UKIP dénonce poids exorbitant de la commission européenne, excès de réglementation européenne, contraintes commerciales, mauvaise gestion des frontières extérieures (migrants). Le RU est néanmoins un cas à part en Europe : il a adhéré seulement en 1973