Ultraviolet

affectent les cellules non sexuelles (dites somatiques), la mutation ne se transmet pas par hérédité et n’affectera donc que la personne les ayant subie directement. Les dégâts des rayons gamma sont similaires à ceux produits par les rayons X ou les ultraviolets, les conséquences les plus fréquentes dues aux irradiations sont la leucémie, le cancer du poumon, du foie, du squelette et d'autres cancers solides. A côté de l'irradiation, les rayons gamma produisent également des brûlures thermiques et ont

- la destruction de la couche d’ozone : la couche d’ozone est une partie de la stratosphère qui contient de l’ozone (O3). Située entre 30 et 40 km de la surface terrestre, la couche d’ozone permet d’absorber une partie importante du rayonnement ultraviolet (UV) du soleil qui est dangereux pour les organismes vivants. Sans couche d’ozone, la vie sur Terre ne serait pas possible. Mais depuis le milieu des années 1980, les scientifiques ont mesuré une forte baisse de l’ozone dans la stratosphère au-dessus

fonction pulmonaire notamment chez les enfants et les personnes âgées (toux, gênes respiratoires, etc), les personnes asthmatiques sont très sensibles. L'Ozone, dans la haute atmosphère, il protège les êtres vivants en absorbant une partie des ultraviolets, mais il devient nuisible lorsque sa concentration augmente dans la basse atmosphère. C'est le cas notamment lorsque les gaz des pots d'échappement se transforment en ozone sous l'effet de la chaleur et du rayonnement solaire. La pollution à l'ozone

une catastrophe écologique énorme par rapport aux organismes anaérobies existantes précoce. Comme l'oxygène dans l'atmosphère a augmenté, le CO2 a diminué. Haut dans l'atmosphère, de l'oxygène (O2) des molécules d'énergie absorbée par les rayons ultraviolets du soleil (UV) des rayons et divisée pour former des atomes individuels d'oxygène. Ces atomes se combinant avec l'oxygène restant (O2) pour former l'ozone (O3) des molécules, qui sont très efficaces pour absorber les rayons UV. La mince couche

complémentaires  migrent  vers  la  cathode  selon  leurs  longueurs,  les  plus  court  descendant  plus  bas.  Enfin,  la  séquence  de  nucléotides  du  brin  complémentaire  3’­5’  se  lit de la cathode  vers  l’anode  à  l’aide  de  lumière  ultraviolette  ou de rayons X. Par conséquent, la séquence du  brin  matrice  (5’­3’)  se lit de la cathode vers l’anode en utilisant les nucléotides correspondants  (T­A et C­G).            Sources :    ● Cold Spring Harbor Laboratory (CSH), «Early DNA Sequencing»

variations moyennes de l’intensité lumineuse, ils accroissent donc la sensibilité des yeux composés. La libellule a trois types de photorécepteurs, sensibles au vert et au bleue et contrairement aux êtres humains elle peut aussi percevoir les ultraviolets (environ 350 nm). La libellule ne perçoit en revanche pas le rouge. Sa perception du monde est donc différente de celle de l’Humain. La libellule a donc une structure visuelle particulière et extrêmement intéressante. La vue d’une libellule

lumière visible, créée lorsque les rayons ultra-violets entrent dans un objet ; cette lumière est immédiatement transmise. Elle se distingue également de la phosphorescence qui est un état continu de fluorescence, même après l’arrêt d’apport en ultraviolets. La bioluminescence n'a de raison d'exister que lorsque l'obscurité totale règne. Aussi peut-on l'observer la nuit, dans certaines grottes, ainsi que dans les abysses. Les réactions mises en jeu dans ce mode de production de la lumière, dite

feux à évolution lente produisant beaucoup de fumée. Détecteur de flamme infrarouge ou ultraviolet -Particulièrement adapté pour les feux à développement rapide (produits inflammables). -Détection par mesure de l’opacité des fumées blanches ou noires qui traversent le faisceau laser -Détection des émis par le boitier et renvoyé rayonnements infrarouges par le réflecteur. ou ultraviolets émis par les flammes. -Couverture de grandes distances évitant ainsi -surface maximale

d'hier. En effet la 1er g�n�ration d'imprimante 3D a vu le jour en 1983 gr�ce a Charkes Hull la technologique utilis�e etait celle de la technologie Inkjet et l�utilisation de photopolym�res(des mat�riaux qui durcissent au contact de la lumi�re ultraviolette ) : la St�r�olytographie En 1990 l'impression couche par couche fait ses d�but et est encore avec la technologie de la St�r�olytographie mais est cependant plus pr�cise depuis l'imprimante a �volue et a permis a certain patient de b�n�ficie

 rayonnement  émis  correspondant  à   cette  transition.   e. Après  avoir  rappelé  les  limites,  en  longueurs  d’onde,  du  spectre  du  visible,  dire  dans  quel   domaine,  ultraviolet  (UV),  visible  ou  infrarouge  (IR)  se  situe  cette  radiation  de  longueur   d’onde  λ1-­‐0.       0,5     0,5             1   1   1,5