Un Autre Monde Est Il Possible

apparences démocratiques, une société qui rend tabou le sujet de la viviparité, met en avant le bonheur et rejette la solitude et la différence.  Dans ce monde parfait tel que le décrit Aldous Huxley, il est intéressant de se demander si la liberté existe. Etre heureux et débarrassé de tout sentiment violent ou négatif, est ce possible et est-ce meilleur pour l’homme ? Enfin, il est question dans ce roman de plusieurs thèmes, le clonage et la génétique, le contrôle des esprits par le conditionnement

c’est de voir quelqu’un être l’objet de la haine, non pas des autres, mais de soi. Pascal l’avait justifiée dans ses Pensées. Il écrivait : « Le moi est haïssable (…) – Point, car en agissant, comme nous faisons, obligeammant pour tout le monde, on n’a plus sujet de nous haïr. – Cela est vrai, si on ne haïssait dans le moi que le déplaisir qui nous en revient. Mais si je le hais parce qu’il est injuste, qu’il se fait le centre de tout, je le haïrai toujours » Dans ce court dialogue

dans son ouvrage intitulé l'Être et le Néant, définit la notion de l'autre. En effet, nous, les êtres humains, sommes tous de la même espèce. De ce fait, un lien nous unit. Nous pouvons alors y voir une sorte de similitude entre cet autre et moi . Cependant, cet autre est tout à la fois différent. Ainsi, il existe une grande diversité au sein même des êtres humains, des différences de caractères physiques sont des témoins de cette diversité. Mais, dans cette différence physique et psychique qui nous

l'avènement d'un Moi au-delà de l'auto-érotisme, mais encore de rendre compte de la pluralité unifiée de ses formes. Car si le Moi se conçoit comme le résultat d'une identification, une oscillation continue du mouvement centripète/centrifuge devient possible. L'identification peut avoir lieu à chaque fois que le sujet reconnaît la similarité d'une personne et du Moi (SA IX, p.100). En résumé, les déterminations du Moi chez Freud de la manière suivante : le Moi est une instance psychique qui, dans

philosophies et de courants de pensées qui vont transformer monde (occidental en tout cas). Grands nb de philosophes des Lumières : nombreux s’attachent confection de L’Encyclopédie (Diderot et d’Alembert, Voltaire…) Idée encyclopédique traduit à elle seule l’esprit des Lumières (idée = réunir la totalité de tous les savoirs scientifiques dans un même livre dans l’espoir de donner du savoir une image globale pour montrer unité possible de toutes les sciences [avec planches techniques de Diderot,

œuvre, l’artiste crée un autre monde ? » Dans son texte cosmologique : « Le Timée », Platon présente la figure du Démiurge, un dieu capable de créer de l’être, en contemplant les « Formes » du monde intelligible. L’artiste produit, également, des œuvres, mais est incapable de « créer », (au sens théologique du terme, c’est-à-dire : faire surgir de l’être ex-nihilo) comme ce Démiurge. Ainsi, à la question : « peut-on affirmer que par son œuvre, l’artiste crée un autre monde ? », il semble évident

(peste, guerre, famine), l’Europe renoue au XVème avec la stabilité et la prospérité. Dès lors, l’Humanisme et la Renaissance, deux mouvements culturels voient le jour : la Renaissance renouvelle la pensée et l’Humanisme place l’homme au centre du monde. Mais le renouvellement ne se limite pas qu’aux lettres et aux arts : = Cette époque se traduit par des changements majeurs, dont peu de gens ont conscience. Etude de cas : « Léonard de Vinci, homme emblématique de l’Humanisme et de la Renaissance

Dissertation de philosophie Peut-on reprocher aux artistes d'être inutiles ? Ici, il s'agit de s'interroger sur la question du possible, de la légitimité. Est-il possible, est-il légitime de reprocher aux artistes d'être inutiles ? Un artiste est une personne qui crée ou interprète des oeuvres d'arts. C'est une personne qui produit des œuvres suscitant une émotion ou un sentiment invitant à la réflexion. Elle exerce un savoir faire, un art ou une technique. On s'interroge donc sur l'utilité

essentielles que pose tout système sémiotique sont, premièrement, son rapport avec ce qui n’est pas le système, avec le monde extérieur, et, deuxièmement, les relations entre les aspects statiques et les aspects dynamiques. Il ne définit donc pas, pour commencer, les conditions d’existence du « culturel », mais celles du « sémiotique », caractérisé comme « système », pour l’opposer au « monde extérieur ». Le sémiotique se définit à la fois par ses règles internes (les relations entre les aspects statiques

se révéler et ceux-ci se positionnent différemment, par exemple, Saint-Augustin, Descartes, Kant, Marx, Husserl et les noms continuent à se rajouter à cette liste infinie. La grande question qui fut défendue par certains de ces philosophes: Est-il possible de parvenir à la vérité? La vérité est étroitement liée à toutes les questions philosophies. La vérité est le caractère de conformité de son expression avec la réalité correspondante. Les pages qui suivent résument une analyse des positions philosophiques