Un Beau Ténébreux

verse un froid ténébreux Aux pâles habitants du voisin cimetière Et la mortalité sur les faubourgs brumeux. Mon chat sur le carreau cherchant une litière Agite sans repos son corps maigre et galeux ; L'âme d'un vieux poète erre dans la gouttière Avec la triste voix d'un fantôme frileux. Le bourdon se lamente, et la bûche enfumée Accompagne en fausset la pendule enrhumée, Cependant qu'en un jeu plein de sales parfums, Héritage fatal d'une vieille hydropique, Le beau valet de coeur

Alceste, qui lui demande de quitter le monde. C’est alors lui qui s’en va. ANALYSE : La structure de la pièce fait apparaître trois groupes de personnages. D’une part, ceux qui, avec Célimène, les marquis et Oronte, donnent dans le jeu social du beau langage, du bel esprit, et surtout de l’affectation ; de l’autre, ceux qui condamnent absolument le monde, ses licences et ses extravagances, comme Arsinoe et Alceste surtout. Entre les deux, Eliante et Philinte tentent de garder un juste milieu. Comme

peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à coté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule! Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid! L'un agace son bec avec un brûle-gueule, L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait! Le Poête est semblable au prince des nuées Qui hante la tempête et se rit de l'archer; Exilé sur le sol au milieu des huées

la mort : ◦ atmosphère mystérieuse : nuit et masques + ombre (didascalies « masques et de musiciens, à demi éclairées. » et « clair de lune. ») ◦ champ lexical de la mort → (« horribles », « sinistre », « mystérieux », « ténébreuse », « hommes ténébreux », « lugubre ») ◦ récit enchassé (grande tirade de Jeppo) → « cadavre », « mort », « à l'eau » = un crime caché ◦ omniprésence de la mort entre deux personnages → Maffio et Gennaro → deux personnages liés par la vie (« Tu m’as sauvé la vie à Rimini

une jeunesse difficile car sa mère se remarie avec le général Aupick qui représente pour Baudelaire une entrave à tout ce qu'il aime, plus particulièrement sa mère. Il mène une vie en opposition aux valeurs bourgeoises incarnées par sa mère et son beau-père. Sens général du poème : Le poème est construit sur une métaphore filée entre la vie et les saisons, par laquelle le poète rapporte, dans un déroulement chronologique, les épisodes de sa vie. Les épisodes de sa vie sont représentés symboliquement

distribuait quelques claques retentissantes SHABAM pour les punir de troubler son repos. Pourtant, ses parents étaient si doux qu’on se demandait d’où elle tenait cette méchanceté. Elément déclencheur Maxime Or, non loin de ce château vivait un mage ténébreux qui, lui, préférait les grillades. Il aimait transformer les gens en animaux et les dévorer ensuite, cuits à point grâce au feu de son dragon personnel. S’il était si cruel, c’était parce qu’il n’avait pas eu beaucoup de chance à la naissance : sa

rafraichissantes ténèbres » · Réalité de la vie, sujets impactent tout le monde « l’ennemi » , défaite de l’homme face à son ultime ennemi : la fuite du temps qui l’étreint , et de sa jeunesse qui est passée trop vite « Ma jeunesse ne fut qu’un ténébreux orage » Description· Poème « Une charogne », « les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride » description crue qui laisse très peu place à l’imaginaire, décrire la mort physique qui attend chaque être humain sans artifices , tout est tourné vers

Baudelaire ne l’acceptera jamais car ils possèdent tous les deux des valeurs différentes. Charles se fait rapidement remarquer à cause de son caractère rebelle dans le lycée Louis Le Grand. En 1839 malgré son exclusion il obtient son baccalauréat. Le beau père de Baudelaire lui ordonne d’embarquer à bord d’un bateau en direction des Indes en 1841. En 1842 alors qu’il est revenu dans sa ville natale il rencontre Jeanne Duval qui devient par la suite sa maîtresse. Il dépense sans réfléchir l’héritage

s'ouvraient et se fermaient, les craquements de l'escalier… Je me recroquevillais encore plus. Puis plus rien. Le silence. Au bout de quelques minutes, je sortis de mon trou. La porte de la cave où je m'étais caché était fermée. Ou coincée. J'avais beau tirer, pousser, tourner la poignée, impossible de l'ouvrir ! J'étais prisonnier ! Je n'étais pas trop inquiet. On finirait bien par s'apercevoir de ma disparition et on me chercherait. Je m'assis sur le sol et me mis à regarder le ciel à travers le

Charles Baudelaire en 1857, la mort et la fuite du temps sont les deux sujets principaux. Le temps est personnifié et représenté comme celui qui «  mange la vie » (v.12) et est donc le symbole de la mort. L’ennemie Ma jeunesse ne fut qu’un ténébreux orage, Traversé çà et là par de brillants soleils ; Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage, Qu’il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils . Voilà que j’ai touché l’automne des idées, Et qu’il faut employer la pelle et le râteaux