Un coup de dés jamais n'abolira le hasard

tout puissant, ce n’est pas ce que le surréalisme appellera l’écriture automatique. Mallarmé veut au contraire éliminer le hasard. Il est le disciple de Poe et de Baudelaire, qui tous deux insistaient beaucoup sur la conscience du poète, et sur la lucidité dans le travail verbal. “Il y a dans le mot, dans le verbe, quelque chose de sacré, qui nous défend d’en faire un jeu de hasard. Manier savamment une langue, c‘est pratiquer une sorte de sorcellerie évocatoire” (Baudelaire). Il s’agit de reconnaître

analyser avec précision le mécanisme de son esprit, alla vers l’air raréfié du raisonnement abstrait, se retirant, et cela allait durer une vingtaine d'années, dans le «cloître de l'intellect». À l’exemple d’Edgar Poe, pour lequel son admiration ne cessa jamais, qu’il considéra comme un « ingénieur des lettres », dont la vie ne l'intéressa pas et dont il occulta l'essentielle dimension imaginaire, il orienta définitivement ses recherches vers la lucidité et vers la conscience de soi ; il mit en formules

En général, ils ont tous raison." [ Henry Ford ] "L'ennui avec la ponctualité, c'est que personne n'est jamais là pour l'apprécier." [ Harold Rome ] "J'ai passe une excellente soirée... mais ça n'était pas celle-ci." [ Groucho Marx ] "La vérité n'est jamais amusante sinon tout le monde la dirait." [ Michel Audiard ] "Un bienfait n'est jamais perdu. C'est peut-être pour ça qu'on n'en trouve jamais !" [ Pierre-Jean Vaillard ] "La vie, c'est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre

En général, ils ont tous raison." [ Henry Ford ] "L'ennui avec la ponctualité, c'est que personne n'est jamais là pour l'apprécier." [ Harold Rome ] "J'ai passe une excellente soirée... mais ça n'était pas celle-ci." [ Groucho Marx ] "La vérité n'est jamais amusante sinon tout le monde la dirait." [ Michel Audiard ] "Un bienfait n'est jamais perdu. C'est peut-être pour ça qu'on n'en trouve jamais !" [ Pierre-Jean Vaillard ] "La vie, c'est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre

pas de faire un bon usage. La ballade des pendus  (ou l’épitaphe Villon) : La pluye nous a buez et lavez, Et le soleil dessechiéz et noircis ; Pies corbeaulx, nous ont les yeux cavez, Et arrachiéz la barbe et les soucis Jamais nul temps nous ne sommes assis ; Puis çà puis là, comme le vent varie A son plaisir sans cesser nous charie, Plus becquetez d’oyseaulx que dez a coudre. Ne soiez donc de nostre confrairie Mais priez Dieu que tous nous vueille

charmant, volontiers cynique à la manière d'un libertin du XVIIIe siècle, avide de plaire, d'aimer et d'être aimé, confiant en ses dons, mais sensible au moindre revers, et si fragile, au moral comme au physique : un adolescent perpétuel, qui ne parvint jamais à assumer sa condition d'homme. Dans les salons, il s'initia aux plus subtiles manifestations de l'amour romantique, un jeu social où les moins doués se brûlent les ailes. Il pouvait faire valser deux jeunes filles amoureuses de lui, brouillant les

chant de la création, mais assume une véritable rupture ontologique en prenant pour sujet un monde façonné par l’homme. Corollairement, l’abandon de l’éternelle nature conduit à un nouveau rapport au temps, marqué par la finitude. Ce n’est pas un hasard si, pour le « peintre de la vie moderne » qu’était Baudelaire étudiant Constantin Guys, « le monde va finir » : puisant dans un Paris renouvelé et donc détruit par les travaux, le poète rompt avec des phénomènes naturels et cherche à « tirer l’éternel

André Chénier (le grand nom de la poésie française de la fin du XVIII° siècle, guillotiné en 1794), dont l’œuvre poétique ne sera publiée qu’en 1820 par Henri de la Touche. C’est alors un coup de tonnerre poétique. Les romantiques vont lire Chénier, s’inspirant de lui ou allant contre lui. Victor Hugo n’emploie jamais le mot « élégie », mais il est le plus grand élégiaque du XIX° siècle. Lamartine évite aussi le mot pour ses Méditations, mais il l’emploiera plus tard. Chez Hugo, il y a une maîtrise

charmant, volontiers cynique à la manière d'un libertin du XVIIIe siècle, avide de plaire, d'aimer et d'être aimé, confiant en ses dons, mais sensible au moindre revers, et si fragile, au moral comme au physique : un adolescent perpétuel, qui ne parvint jamais à assumer sa condition d'homme. Dans les salons, il s'initia aux plus subtiles manifestations de l'amour romantique, un jeu social où les moins doués se brûlent les ailes. Il pouvait faire valser deux jeunes filles amoureuses de lui, brouillant les

charge sémantique qui appelle des techniques de décodage spécifiques, par leur pouvoir suggestif ,nous introduisent dans le beau et le merveilleux en débloquant notre imagination et en mettant en ébullition tous nos sens. - le conte écrit, fixé à jamais parvient à conserver le charme que le conte véhicule à travers l’expression de la mémoire historique, symbolique et culturelle commune. Dans notre recherche nous nous proposons donc, à partir du binôme saussurien langue/parole, c’est-à-dire, par