Un ennemi du peuple

règlementaire autonome - MAIS projet prévoit des limites au pouvoir de l’assemblée : - 1 - pouvoir constituant appartient au peuple (il peut réformer constit en provoquant une nouvelle convention) - 2 - ministres ne sont pas responsables devant corps législatif MAIS devant jury national élu par le peuple - 3 - procédure complexe prévue permettant au peuple de proposer l’adoption d’une loi ou réforme d’une loi = car Girondins veulent éviter les révoltes

viennent ces mots : le caractère de la divinité est empreint sur son visage, etc... 26. La puissance des rois est fondée sur la raison et sur la folie du peuple, et bien plus sur la folie. La plus grande et importante chose du monde a pour fondement la faiblesse. Et ce fondement est admirablement sûr, car il n’y a rien de plus que cela, que le peuple sera faible. Ce qui est fondé sur la saine raison est bien mal fondé, comme l’estime de la sagesse. 27. La nature de l’homme n’est pas d’aller toujours

l'horreur n'avait pas de fin. - Par une métaphore biblique particulièrement frappante, le peuple est comparé au Christ descendu de la croix, et Hugo invite les députés à venir voir la misère du peuple, comme les apôtres ont touché les plaies du Christ: « nous vous ferons voir de vos yeux, toucher de vos mains, les plaies, les plaies saignantes de ce Christ qu’on appelle le peuple ! » (ligne 20) La souffrance du peuple est donc comparée au supplice du Christ sur la croix, cela insiste sur le pathétique

légion avaient été placés sur les deux flancs ainsi que les archers et les frondeurs pour les renforcer contre les éléphants. La cavalerie et l’infanterie légère avaient été mélangés. Les hommes de César partirent spontanément à l’assaut des lignes ennemies et César les suivis. Les cavaliers Maures de Scipion prirent la fuite, entrainant avec eux les éléphants. Les habitants de Thapsus qui étaient du côté des pompéiens tentèrent une sortie pour aider Scipion mais sans succès. Les légionnaires de Scipion

De plus, je me suis inspiré des mythes del'époque de l'antiquité tel que le mythe des frères ennemis. L'historie de ce dernier est celui des frères Jacob et Esaü qui se battaient pour l'ordre de naissance, et cette haine donnera naissance à deux peuples différents conduits par chacun d'entre eux . C'est une des ressemblance avec les deux fils du roi Tsongor , donc Sako et Danga . Ces derniers veulent la succesion du royaume pour déterminer qui est le premier né et qui est le second . De plus, ces

qu’elles devront suivre, et dont vous r´glerez ` propos toutes les marches. e e a Vous ne commencerez ni ne terminerez jamais la campagne hors de saison. Vous connaˆ ıtrez le fort et le faible, tant de ceux qu’on aura confi´s ` vos soins que des e a ennemis que vous aurez ` combattre. Vous saurez en quelle quantit´ et dans quel a e ´tat se trouveront les munitions de guerre et de bouche des deux arm´es, vous dise e tribuerez les r´compenses avec lib´ralit´, mais avec choix, et vous n’´pargnerez pas e

Descartes par rapport les critiques qu’il vient de faire. La deuxième grande partie (dés « On doit aussi distinguer », jusqu'à la fin) propose encore une distinction (qui est supposé pas claire chez Machiavel) entre les sujets, les amis ou alliés et les ennemis. A-travers la définition de la relation entre le prince et chacun de tels types des individués, on voit émerger la différentiation voulu par l’auteur. On verra, a-travers une analyse des remarques des Descartes sur Le Prince, et Le Prince même

L’arme liturgique Au Moyen-âge le souci de l’église est souvent associée au pouvoir politique, de lutter contre les ennemis et les infidèles. On peut voir ici un corpus de trois textes qui nous est présenté. Le document 1 qui est le Liber tramitis aevi Odilonis abbatis, est un rite depuis le IXème siècle et il est présent dans le célèbre Livre du Chemin, coutumier clunisien des années 1030 où l’on a consigné les prescriptions par lesquelles les moines complètent la règle de saint Benoit

les mayas. Dans le même temps, Cortés fit la connaissance d’une jeune esclave d’origine aztèque appelée Malinche. Elle deviendra sa maîtresse et sa plus fidèle conseillère pour la suite de son expédition. Elle connaît son pays et la mentalité de son peuple. Le trio Cortés-Aguilar-Malinche fut un élément essentiel pour parvenir à la victoire des Espagnols. Cortés apprit l'existence d'un pays à l'ouest que les Mayas appellent Mexico. Il reçu la visite des ambassadeurs de l'empereur Aztèque, Moctezuma

factions girondine, hébertiste et dantoniste. Envoyé aux armées comme représentant du peuple, il contribue aux victoires en Alsace et en Belgique. Lié avec Robespierre, il est arrêté et guillotiné avec lui. Hébert, Jacques-René (1757-1794) Journaliste, auteur du journal populaire « Le Père Duchesne », membre de la Commune de Paris. Il accuse le gouvernement révolutionnaire d’être trop indulgent envers des ennemis du peuple. Devenu trop dangereux pour le Comité de salut public, il est arrêté et guillotiné