Un fauteuil pour deux

Plan de l’atelier : Chapitre 3 : rapport d’activités : Compte rendu de toutes les activités : 1ere semaine : Matin Après-midi lundi Sanglé deux chaise louis 14. Sanglé une chaise louis 14, et une bergère. mardi J’ai dégarnie, ciré, lustré deux chaises. J’ai fait les pelotes et recouvert de toile les dossiers de chaises louis 14. Jeudi J’ai fait le gabarit d’une chaise et d’une bergère, puis je les ai découpés en mousse. J’ai posé des

était inondée. Ensuite, deux transferts étaient obligatoires : le premier, du lit du patient à son fauteuil roulant puisque le lit douche ne pouvait rentrer dans la chambre de ce Monsieur et le deuxième du fauteuil roulant au lit douche. Il y a beaucoup de manipulation pour ce soin. Cela n’aide pas à mettre en confiance le patient puisque ces transferts ne sont pas forcement agréables pour lui, mais cela n’est pas facile non plus pour les soignants qui doivent faire deux fois plus attention à la

liée à un trouble temporaire de la mobilité et/ou de la conscience ; - l’escarre « neurologique », conséquence d’une pathologie chronique motrice et/ou sensitive ; - l’escarre « plurifactorielle » du sujet polypathologique, confiné au lit et/ou au fauteuil. L’escarre entraîne principalement douleur et infection. Elle peut générer chez le patient un sentiment d'humiliation. Elle est responsable d’une consommation accrue de soins et de ressources. Sa fréquence est mal connue aujourd’hui et varie selon

situation de Chérubin. • Chérubin arrive en courant « Chérubin, accourant ». Cela caractérise autant la jeunesse du personnage que son émotion, après qu’on l’ait chassé. • Il vient voir Suzanne pour chercher de l’aide. Indice de temps « deux heures » • « Depuis deux heure, j’épie le moment de te trouver seule »  suggère un hors scène. • La scène nous apprend que Suzanne n’est qu’un recours pour approcher sa maîtresse. « Mais que tu es heureuse ! À tous moments la voir, lui habiller, lui parler… »

accident le cloue sur un fauteuil roulant . On lui annonce qu’il restera probablement paralysé à vie... Après un an passé en centre de rééducation, c’est « debout » qu’il regagnera le monde des vivants. Bien des années après, devenu le talentueux slameur Grand Corps Malade, il fait un retour en prose vers le passé et au fil d’une narration à la folle humanité, au-delà de sa propre expérience, il rend un vibrant hommage à tous ses potes d’alors qui aujourd’hui encore dans leur fauteuil roulant ne se lèveront

qu’il est particulièrement profond il est impossible de savoir jusqu’où il est creusé. À cause de cela elle a totalement perdue son autonomie.Lors de notre tournée de toilettes, nous avions décidé avec une aide-soignante de lui faire sa toilette à deux cars seuls cette dernière est difficile à réaliser à cause du poids de Madame F. La communication est très complexe avec madame F car elle ne peut plus parler mais elle répète tout le temps la même phrase c’est une séquelle à la suite d’un AVC. C’est

potentiels)(E) Lié à …(S) Se manifestant par … | Objectifs | actions | Evaluation / Réajustements | | | | | Rôle propre | Rôle prescrit | | Se mouvoir | Se mobilise dans le lit et pour les transferts fauteuil/lit | Mobilité physique réduiteLié à son hémiparésieSe manifestant par les déplacements en fauteuil roulantRisque de chute ou d’accidentLié à son hémiparésie, et son altération de la mobilité | * Monsieur F. récupérera de manière maximale l’usage de son membre inférieur gauche au cours de l’hospitalisation

Joconde est le portrait d'une jeune femme, sur fond d'un paysage montagneux aux horizons lointains et brumeux. Le portrait occupe toute la largeur du tableau. Nous distinguons deux plans, au premier plan : les mains et le visage de la Joconde qui représente les trois quart du tableau et   à l'arrière plan nous voyons deux paysages : un paysage réel aux éléments reconnaissables: pont, chemin, rivière, rochers; et un paysage imaginaire sans vie apparente: ciel, montagnes, étendue d'eau; qui n'est pas

permet la liberté, source de bonheur pour le Survenant. Sous-argument 1 : Le nomadisme permet au Survenant la libre expression de penser et de parole. Preuves : « Pour ben faire, faudrait toucher à rien dans cette maison icitte : le père a son fauteuil, le garçon, sa berçante, et v’là que la petite mère a sa tasse » (Pg:35 l.21-23). « Il y a peut-être pas d’ouvrage pour toi, Amable, mais il y en a encore pour moi. Quant à avoir tous les vices, il s’en faut. Tout de même je m’en accorde quelques-uns

le début de la pièce ; avec une précision du détail propre à lui-même, Beckett nous dépeint un décors dépouillé et irréaliste dégageant une atmosphère sinistre : « Intérieur sans meubles. », « A l’avant-scène à gauche, recouvertes d’un vieux drap, deux poubelles l’une contre l’autre. », « Lumière grisâtre. » (p.11). Il s’attache même à décrire l’extérieur de la maison qui paradoxalement, ne nous apporte rien car tout est « mortibus » (p.44), il n’y a « rien » (p.100). Aucune indication sur un quelconque