Un Homme Sans Souvenir Est Un Homme Perdu

le plus taillé, quelle est sa couleur préféré et même pour choisir les couleurs c’était facile. On attribuait toujours le rose aux filles et le bleu aux garçons. Il ya des temps ou tout est si difficile , si compliqué ou on croit que l’on a tout perdu ,on dirai qu’un gros nuage gris s’est élevé dans le ciel, ne voulant pas bouger , disparaître , céder sa place au soleil, comme un avion qui passe par des zones de turbulences, comme un nourrisson qui émet des cris en voulant avoir son biberon, comme

“Livre premier” (1712-1728) Un “Avertissement” précise les intentions de Rousseau : «Je forme une entreprise qui n'eut jamais d'exemple, et dont l'exécution n'aura point d'imitateur. Je veux montrer à mes semblables un homme dans toute la vérité de sa nature et cet homme ce sera moi. Moi seul. Je sens mon cœur et je connais les hommes. Je ne suis fait comme aucun de ceux que j'ai vus ; j’ose croire n'être fait comme aucun de ceux qui existent. Si je ne vaux pas mieux, au moins je suis autre

Lamartine : Le Lac Alphonse Marie Louis de Prat de Lamartine dit Alphonse de Lamartine, né à Mâcon en 1790 et mort à Paris en 1869, est un poète, romancier, dramaturge et prosateur en même temps qu'un homme politique français. Il fut l'âme de la révolution de février 1848 et proclama la Deuxième République. Il est l'une des plus grandes figures du romantisme en France. Le lyrisme associé à une expression harmonieuse fait la qualité des meilleurs poèmes de Lamartine. La partie la plus marquante

XIII, 1830. Texte B : Alexandre DUMAS, Les Trois Mousquetaires, chapitre 52, 1844. Texte C : Victor HUGO, Les Misérables, 2ème partie, livre troisième, 1862.   Texte A : STENDHAL, Le Rouge et le Noir, livre premier, chapitre XIII, 1830.   [Julien, homme du peuple, est précepteur chez M. et Mme de Rênal . Un soir il a l'audace de prendre la main de Mme de Rênal, qui finalement se laisse faire. Quelques jours plus tard, lors d'un repas au jardin avec son amie Mme Derville, c'est elle qui cherche la

camps de concentrations. C’était un jeune homme fort, courageux, généreux, ambitieux, débrouillard et intelligent. Il était également beau et élégant. Il avait l’air d’avoir de l’argent. Il était juif. Quand les Allemands ont envahit la Pologne, il usait de son intelligence pour aller chercher à manger et pour s’occuper de sa famille. Quand il était à Auschwitz, il cherchait toujours à aider sa femme. Après avoir survécu aux camps, ce n’était plus qu’un homme fragile qui vieillissait. A cause des camps

dernières mort du roman, c'est une mort "privilégiée": elle a un impact sur Rieux, elle le prive d'un certain nombre d'attaches. on peut citer un passage avant la mort où Tarrou parle :"je n'ai pas envie de mourir et je lutterai mais si la partie est perdue ,je veux faire une bonne fin" "et un passage où Rieux parle: "pour devenir un saint il faut vivre ". Tarrou ne veut pas que son ami le voit mourir dans l'ultime faiblesse mais il n'y a pas de dimension pathétique ni de révolte dans cette extrait

puissants ! ramenez la course enchanteresse De ce temps qui s'enfuit dans la nuit du trépas ! Mais quelle ambition frivole ! Ah ! dieux ! si mes désirs pouvaient être entendus, Rendez-moi donc aussi le plaisir qui s'envole Et les amis que j'ai perdus ! Campagne d'Arpajon ! solitude riante Où l'Orge fait couler son onde transparente ! Les vers que ma main a gravés Sur tes saules chéris ne sont-ils plus encore ? Le temps les a-t-il enlevés Comme les jeux de mon aurore ? Ô désert ! confident

  chacun   des   personnages.     PORTRAITS:   Tchen:   Au  début  du  roman,  il  y  a  une  description  de  l'action  de  Tchen  -­‐  celui-­‐ci   devait  tuer  un  homme  -­‐,  dans  cette  séquence  Malraux  utilise  beaucoup  de   techniques  cinématographiques  pour  la  narrer.  C'est  possible  de  bien  imaginer  le   pied  qui  vivait  comme

qui vivez extrait de Si c'est un homme de Primo Levi est un poème de 1947. Ce poème dénonce, tout comme la peinture de David Olère, la maltraitance dans les camps de concentration. Mais il accuse également les civils, qui sont tranquillement chez eux, entourés de leurs "amis", "au chaud" tandis que les juifs, eux, souffraient énormément. On peut notamment voir de la souffrance physique pour l'homme, due au travail, et le mal moral pour la femme, "celle qui a perdu son nom et ses cheveux", car elles

las de l'ignoble ouvrier, de l'inepte bourgeois, du stupide paysan et de l'odieux ecclésiastique..." (2). En blámant cette attitude de Flaubert envers les classes sociales les plus humbles et deshéritées, Sartre ne fait que découvrir l'esprit d'un homme orgueilleux et solitaire qui vit ¡solé du monde. C'est un profond humanisme, un émouvant désir d'améliorer la condition humaine qui pousse Sartre vers la critique impitoyable d'un étre qui doit nier ce monde-c¡ pour exalter le "paradis" de l'art, le