Un Jour Je Vis Victor Hugo

« longtemps j'ai pris ma plume pour une épée », d'aprés cette citation pensez vous que la littérature soit une arme efficace afin de déffendre ses idées? En effet nous pouvons nous demander si la littérature peut provoquer une réaction, changer les choses vis-à-vis de la sociéte. Même si la littérature posséde des moyens efficaces afin de changer les choses, il y a tout de même une limite à cette efficacité. *** La plume représentant le savoir, la réflexion, la sagesse, et l'épée représentant le combat

littérature » disait Victor Hugo dans la préface d’Hernani. J’ai sélectionné 2 poèmes romantiques datant du XIXème siècle que je considère comme des “coups de cœur“, l’amour est un terme relativement complexe que personne ne saurait expliquer sans un doute. La poésie romantique se nourrie de plusieurs gammes de sentiments et d’émotion. Au travers des textes que j’ai choisis, j’espère vous le faire entrevoir. Ces poèmes sont, Elle était déchaussée, elle était décoiffée de Victor Hugo qui représente bien

l’accent sur l’exploration du moi . En 1802 il invente le personnage de René qui souffre de désespoir du mal du siècle, de sentiments. Le héros romantisme instable et angoissé est né mais le Romantisme français au sens propre apparaît en 1820 avec Victor Hugo. B) Contenu Thématique 1)Le lyrisme Le registre lyrique est omniprésent dans les œuvres romantiques car il permet au héros de s’épancher (c’est-à-dire de dévoiler ses sentiments) et de laisser libre cours à sa mélancolie, son désarroi, son

Fiche 1 Hugo / Balzac V.H. est un homme excessivement spirituel. Il a autant d’esprit que de poésie. Balzac, lettre à Mme Hanska du 3 juillet 1840 Mélange d’estime réciproque et de rivalité – notamment du côté de Balzac –, les relations entre ces deux monuments de la littérature française, sans être particulièrement étroites, dureront néanmoins jusqu’à la mort de l’« audacieux architecte » de La Comédie humaine, comme se plaît à le surnommer Hugo. Nombreux furent leurs projets de collaboration

bras tremblant Pour prendre une mûre aux branches Je ne vis pas son bras blanc. Une eau courait, fraîche et creuse, Sur les mousses de velours ; Et la nature amoureuse Dormait dans les grands bois sourds. Rose défit sa chaussure, Et mit, d'un air ingénu, Son petit pied dans l'eau pure Je ne vis pas son pied nu. Je ne savais que lui dire ; Je la suivais dans le bois, La voyant parfois sourire Et soupirer quelquefois. Je ne vis qu'elle était belle Qu'en sortant des grands bois sourds

On retrouvera bien évidemment Lamartine avec : “Le Lac”, qui est un de ses plus grands poèmes où il s´adresse vraiment à la Nature plus particulièrement au lac de Bourget pour se rappeller du moment où il voguait avec son amante défunte. Ensuite Victor Hugo avec “Lise” dont le poète explique ses premiers émois d´adolescenta à travers du printemps qui est la saison des fleurs et donc la saison des amours. Aussi Louise Ackemann avec : “La rose” où elle se sert des élément de la rose pour décrire la femme

mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Victor Hugo – Les Contemplations. 1856 La Lune Jeanne songeait, sur l'herbe

fille Victor Hugo Les Contemplations (1830-1855) Nelson, 1911 (pp. 19-20). ◄ « Un jour je vis… » « Le poëte s’en va dans les champs… » ► À ma fille Sur ce qu’il est et sur ce que nous sommes ; Une loi sort des choses d’ici-bas, Et des hommes. Cette loi sainte, il faut s’y conformer, Et la voici, toute âme y peut atteindre : Ne rien haïr, mon enfant ; tout aimer, Ou tout plaindre ! I Paris, 1842. À MA FILLE Ô mon enfant, tu vois, je me soumets. Fais comme moi : vis du monde

3_Parole poétique et parole animale_Jeannerod_Aude_Carnet Animots_20211 Parole poétique et parole animale : Lamartine et Hugo Aude Jeannerod Résumé : Chez Lamartine et Hugo, la parole poétique entre en dialogue avec la parole animale, pour essayer d’en rendre compte, pour tâcher de l’imiter, ou au contraire pour en souligner l’altérité radicale, l’hétérogénéité, voire l’incommunicabilité. Et pour des raisons symboliques évidentes, c’est souvent le chant de l’oiseau qui est évoqué. Toutefois

d’Orléans : « Jeunes amoureux nouveau ». Nous avons choisi ce poème pour commencer, car il fait le lien entre l’amour et les saisons. Ensuite nous verrons le Printemps, avec un second texte de Charles d’Orléans : « Le Printemps » ; et un poème de Victor Hugo : « Printemps », écrit au XIXème siècle. Après, nous aborderons l’Eté, avec deux textes du XIXème siècle. Le premier sera « L’Eté » de Theodore de Banville ; et le deuxième un sonnet : « Vent d’été » de Charles Cros. Puis, viendra l’automne, toujours