Un Meurtre En Quelque Sorte

américains à s’entretuer plus que les autres pays. La terreur des Etats-uniens est ancrée dans leur histoire. Ils ont l’impression d’être menacés de partout ce qui les oblige à acheter encore et encore des armes. Ces armes qui font en quelque sorte partis de la culture américaine sont une tradition mais aussi un devoir puisque d’après eux ils arrivent ainsi à protéger leur famille, leur patrie sans l’aide de la police ou du gouvernement. Tout le monde peut détenir une arme aux E-U que ce

tentative d'explication des phénomènes naturels et humains. Au fur et à mesure des siècles, certains mythes sont repris, embellis, complétés et adaptés à l'époque. Ainsi, un même mythe peut survivre au temps. Il est certes modifié, mais il reste quelques traces des origines. Nous pouvons ici prendre l'exemple du mythe des Euménides que Giraudoux reprend au XXème siècle. Mais nous pouvons nous demander si Jean Giraudoux, par sa reprise originale du mythe des Euménides, ne recrée pas totalement le

romans: Le premier extrait de Thérèse Raquin, du naturaliste Emile Zola paru en 1867, présente le meurtre de Camille, le mari de Thérèse, par Laurent. Le second extrait est tiré de La Condition humaine, d'André Malraux en 1933, où un jeune terroriste chinois, nommé Tchen, doit assassiner un trafiquant. Et le dernier extrait est un passage de L'Etranger, d'Albert Camus publié en 1942, qui raconte le meurtre commis pas Meursault. Nous montrerons comment la description de la nature intervient dans les trois

Jean-Baptiste Grenouille, personnage principal, est un être en quelque sorte « surhumain ». Premièrement, il ne possède pas d’odeur, donc ne possède pas d’identité, et deuxièmement, il a un odorat très fin et surdéveloppé. Les personnes de son entourage le rejettent, car ils ne peuvent pas le sentir. D’abord apprenti chez un tanneur, il profite d’une course pour se faire engager chez un parfumeur de la ville, Guiseppe Baldini. Grenouille découvrira alors qu’il veut créer « le parfum parfait ». Pour

que le meutre du duc va lui coûter la vie, il se suicide en quelque sorte bienqu’il sache que ce meutre n’a plus aucun sens. Et c’est justement la fuite de ce monde, qui le tourmente tellement, par le suicide, qui semble être la seule solution possible, qui confirme qu’il s’agit ici d’un malheur tout à fait romantique. Ce malheur est d’autant plus grave qu’il est combiné avec le destin. En effet, le destin d’un héros romantique est quelque chose qu’il ne peut pas influencer. Or cela s’oppose fortement

inquiétante. 1) Une scène de meurtre Le moment de la nuit : Minuit et demi, envisagée du point de vue de l’assassin (focalisation interne), qui s’est introduit dans la chambre où dort sa victime. On ne connait que les perceptions de Tchen et l’expression elle-même relève parfois du style indirect libre, ou du discours narrativisé. On envisage donc l’action du point de vue d’un assassin décidé à tuer un homme sans défense, sans que l’on sache pourquoi ce meurtre (vocabulaire éloquent : « frapperait-il

fréquemment et durant toute l'histoire d'ailleurs.. Nous pouvons comprendre que Zola annonce, en quelque sorte, la fin tragique de son roman. Saint-Ouen ,où a lieu le meurtre de Camille, est le seul endroit , décrit dans le livre, à l'air libre, où il fait beau, l'ambiance y est agréable. Nous pouvons remarquer un paradoxe entre l'ambiance que nous retrouvons dans la description du lieu et le meurtre qui y aura lieu. La morgue où Laurent se rend plusieurs fois pour retrouver le cadavre de Camille

Autrement dit, une histoire de panne. Il y a du pessimisme et du défi dans ce postulat. Rien d’étonnant à ça : Dürrenmatt était un pessimiste ricaneur qui déclarait qu’« écrire c’ [était]crier » avant d’ajouter que crier ne servait à rien et jouait de quelques paradoxes. La panne est une comédie morbide. Comme souvent chez cet auteur suisse, n’est pas coupable celui que la justice condamne. Alors que les vrais coupables échappent au sort qu’ils méritent. L’originalité de ce court roman c’est que

Camus ? Séance 1 : Présentation de l’auteur et de l’œuvre ; notion d’absurde Séance 2 : LA n°1 : l’incipit, de « Aujourd’hui… » à « deux heures de route ». Prolongement : comparaison avec un/deux autres incipit Séance 3 : LA n°2 : la scène du meurtre de l’Arabe, de « J’ai pensé que je n’avais qu’un demi-tour à faire… » à « la porte du malheur ». Séance 4 : L’évolution du « héros » de roman, à partir de la comparaison entre la scène de crime dans L’Etranger et celle de Claude Gueux Séance 5 :

possible pour venger ce qu’on lui a pris par le passé, son père. Hugo utilise des images violentes pour exprimer cette réelle rancœur « l’âme de ton corps, le sang de tes veines ». On ressent vraiment son désir de vengeance qui lui donne même une sorte d’agitation traduite par une ponctuation expressive et un rythme irrégulier. Tout son discours est hyperbolique, dans l’excès, on peut signaler plusieurs anaphores qui encadrent ses propos « jamais », « va », « c’est ». Hugo montre l’importance de