Un Pacte Avec Le Diable

septembre 1836. Un peu plus tard paraît, La vieille fille, d’Honoré de Balzac, roman en douze épisodes dont celui-ci se vantait l’avoir écrit en « trois nuits », du 23 octobre au 30 novembre 1836. De septembre à décembre 1837, ce seront les Mémoires du Diable de Frédéric Soulié, qui paraissent dans « LE JOURNAL DES DEBATS ». Avec la parution de LA VIEILLE FILLE apparaît une rencontre d’intérêt entre E. de Girardin et Balzac : l’intérêt de Balzac qui est en mesure d’exiger un contrat d’édition de la part

Séquence 9 L'AutobiographieVoir photocopie Aautobiographie : auto : soi-même bio : vie graphie : écriture/écrire Rappel : l'auteur = narrateurLe Pacte autobiographiqueDes exemples de pactes avec le diable en littérature :La peau de chagrin , Balzac Faust , Goethe la posterité : les générations à venirincipit : début du livreHistorique : les deux exemples (photocopie A) montrent que ce genre littéraire

œuvre fantastique, mais pas moins philosophique, traite les thèmes relevant de l’esthétique ( art, beauté, jeunesse, hédonisme) dans le but de lutter contre la rigidité et l’inflexibilité de la morale de son temps. Wilde aborde en effet le pacte avec le diable, pacte Faustien, réalisé par Dorian pour conserver sa jeunesse, cherchant au contraire à dissimuler son coté «  Mr Hyde ». Si l’auteur permet à son héro de se délecter des plaisirs qu’offre la vie, même ceux interdits, d’incarner la décadence,

fait tituber le sorcier et finit par briser la statuette. De son côté, pensant que sa sœur est morte, Rosamonde révèle à son frère qu’elle a fait un pacte avec le diable pour tuer Eléonore et aussi la vérité sur tout les mensonges qu’elle lui a raconté sur Thibault. Foulque est mort, Rosamonde a été brulée sur un bucher pour avoir pactiser avec le diable, Le sorcier Ruffin a été pendu et après avoir accepté l’union de Thibault et Eléonore, Gascelin a demandé au Roi de partir en Terre Sainte. Barnabé

« armée » est présentée à Pétain, qui bien que debout est vouté et paraît usé. 2. La faucille et le marteau La faucille et le marteau sont, bien sûr, associés au régime soviétique. Ils font leur apparition dans les caricatures après la rupture du pacte germano-soviétique. Leur association au travail de force est extrêmement pratique pour retranscrire l’effort de guerre et la volonté d’écrasement de l’ennemi. Ces deux caricatures sont signées David Low pour le Evening Standard (Londres) un journal

» respectives : Cf. fin 44 à Moscou: entente CHURCHILL/STALINE : « politique des pourcentages » B. DE MULTIPLES RAISONS D'AFFRONTEMENTS 1. opposition doctrinale principale : Démocratie libérale - Communisme 2. des rancœurs anciennes : 1. le Pacte « germano-soviétique » jusqu'en 41 : Cf. Surtout les horreurs polonaises... 2. ouverture « tardive » (pour les soviétiques) du Second Front (en Europe de l’Ouest) 3. tardive action soviétique contre le Japon (seulement en été 1945, quand tout est

éblouissant et l’on raconte qu’il n’y avait pas une représentation du grand violoniste sans que plusieurs personnes s’évanouissent. Il exerçait une telle fascination sur le public qu’on le soupçonnait parfois de devoir son génie et sa virtuosité à un pacte avec le diable. Tous les grands virtuoses du piano romantique tels Liszt ou Kalkbrenner ont été stimulés par le désir de rivaliser sur leur instrument, avec Paganini, car le XIXe siècle marque aussi l’avènement du piano. Il est l’instrument roi et les perfectionnements

croyance au Diable, le culte de Satan. Les sorciers à la différance des magiciens se sont fait créature du diable par un pacte qui implique la renonciation à Dieu en échange de pouvoir sur les hommes et les choses. L’Église a formé des démonologues pour identifier le rapport à Satan et afin de savoir s’il y avait culte maléfique. Le Malleus Maleficarum permet d’apprendre à repérer les marques sataniques sur le corps. On cherchait à trouver la pratique du Sabbat, les nuits nocturnes avec le Diable, qui signifie

roi ! disait-on sous l’ancienne monarchie avant qu’elle fût cassée, cette vieille porcelaine de Sèvres. Don Juan, lui, malgré toutes les démocraties, est un monarque qu’on ne cassera pas.— Au fait, le diable est immortel ! dit-elle comme une raison qu’elle se serait donnée.— Il a même…— Qui ?.., le diable ?…— Non, Don Juan… soupé, il y a trois jours, en goguette.Devinez où ?…— À votre affreuse Maison-d’or, sans doute…— Fi donc, madame ! Don Juan n’y va plus… il n’y a rien là à fricasser pour sa grandesse

= métaphore qui asssimile le vice à la mort  = métaphore filée qui convoque l’axiologie spatiale et la sévérité de la nature  = > métaphore typiquement romantique ,  Qui place la morale au-dessus de tout   = > tragédie du héros qui a pactisé avec le diable , tel Faust  III-- Paradoxe du héros romantique = la beauté du héros tient à ses contradictions IIIa-- Paradoxe entre la vie et la mort l. 10  « ce meurtre est le seul brin d’herbe »  Le meurtre permet d’échapper à une mort morale , mo Le meur