Un Passage Descriptif Sur Une Personnage

S'avançait lentement sur la Seine déserte, Et le sombre Paris, en se frottant les yeux Empoignait ses outils, vieillard laborieux. Plan d’étude : I) Une atmosphère contrastée A. Un tableau réaliste… B. … et symbolique II) Les personnages crépusculaires A. Les figures féminines : « une lugubre harmonie » (cf. « le crépuscule du soir en prose » B. Les figures masculines : plusieurs catégories représentées Commentaire Introduction En prolongement au romantisme

Or, dans une scène ennuyeuse, le regard de Fréderic se fixe sur une seule personne. L'activité de broderie est tout à fait commune. L'apparition d'une « négresse » est banale à cette époque.2. Un point de vue qui transfigure la scèneLe passage alterne récit descriptif et narratif. Pratiquement dans toutes les séquences descriptives, on a une focalisation interne. On a un champ lexical de la vision : « distingua », « regarda », « avait vu ». La description est prise en charge par le regard de Frédéric

miasmes des dépotoirs." La nouvelle, dans l'incipit, prend en charge les personnages avant le jour de Sainte Pétronille, le 31 mai, et avant leur apparition sur le parcours Paris-campagne ( valeur du P.Q.P. ) Type : descriptif et narratif (logique réaliste), récit. Tonalité : réaliste subjectif (jugement dépréciatif sur la famille Dufour). Ironie (description de Mme Dufour). Enonciation - focalisation : personnage le plus présent : Mme Dufour (élément dominant). Maîtresse-femme. Prénom :

rencontre avec les parents Duroy (« C’était deux paysans, (..) » jusqu’à « Et on se remit en marche à la suite du fiacre qui portait la malle des nouveaux époux », p. 236/237, chapitre 1 de la deuxième partie) 1°) Situez ce passage par rapport au roman dans son ensemble. Ce passage se situe au début de la deuxième partie du livre : Duroy a épousé Madeleine Forestier, la femme de son ami mort de la tuberculose à la fin de la première partie. Ce mariage représente une avancé sociale pour Duroy : Madeleine

Clare fille d’Allen Lane, fondateur des Editions Penguin ; c’est à 20 qu’il commence sa carrière d’écrivain. 4) Les personnages principaux sont : Arthur Pendragon : fils d'Uther Pendragon enlevé à ses parents par Merlin alors qu'il n'était qu'un bébé ; Merlin : l’enchanteur Guenièvre : Épouse d'Arthur, elle l'aime sincèrement mais elle tombe amoureuse de Lancelot : personnage important qui lui sauve la vie de son amour, Guenièvre, Mais qui trahit Arthur ; Morgane : demi-sœur d'Arthur

ce feu dans cette nuit étouffante?     Mon voisin tira sa montre et me dit:     "Il est juste minuit, Monsieur, nous venons de voir une singulière chose." 20)    J'en convins et nous commençâmes à causer, à chercher ce que pouvaient être ces personnages: des malfaiteurs qui brûlaient des preuves ou des sorciers qui préparaient un philtre? On n'allume pas un feu pareil, à minuit, en plein été, dans une forêt, pour cuire la soupe? Que faisaient-ils donc? Nous ne pûmes rien imaginer de vraisemblable

visuel et le verbal, rappeler la différence entre auteur, narrateur et personnage Démarche : Après avoir lu le texte du script du court-métrage de Jean-Pierre Jeunet, qui est un « J’aime, je n’aime pas » à la manière de Roland Barthes, les élèves constatent l’apport du visuel en regardant le court-métrage. Le professeur fait remarquer que ce texte à la première personne dispose d’un auteur différent du narrateur-personnage. Pour le prologue du Fabuleux destin d’Amélie Poulain (où l’on retrouve

telle quelle la pensée du personnage, comme si le narrateur se situait à l’intérieur de sa conscience. On s’en aperçoit lorsque la langue parlée du narrateur devient un « mauvais parlé ». Plusieurs exemples le démontrent comme « Il faudra bien qu’ils crèvent tous un jour aussi. Comment qu’ils feront ? » ou encore « À quoi qu’ils pensent ? ». Ceci rapproche le personnage de l’auteur, on peut même dire que celui-ci s’identifie à son personnage. De plus, le fait que le personnage porte le deuxième prénom

les personnages, sur l’architecture et sur les meubles. On dirait une description faite par un commissaire priseur qui inventorie les lieux et les objets avec la minutie de celui qui veille à ne rien oublier. Mais ce n’est pas pour autant une raison pour conclure que le passage est destiné exclusivement à procurer au lecteur un effet de réel. La description assure ici une double fonction : l’information et l’explication. Elle informe lorsqu’elle évoque l’édifice, le mobilier et les personnages en

caractéristiques de l’écriture dystopique - Le passage de l’Utopie à la Dystopie est un passage du descriptif au narratif. L’Utopie traite de la description de la beauté parfaite, à l’inverse la dystopie est un roman ou récit dont l’intrigue est réalisé à partir du point de vue d’un personnage en révolte. Les véritables intentions des dirigeants sont dévoilées. Le changement entre les deux est textuel ; seul le point de vue diverge. - On observe le passage du collectif à celui de l’individuel ;