Un Personnage Dans Son Milieu La Veuve Vauquer

OBJET D’ETUDE 1 : Le personnage de roman du 17e s. à nos jours Commentaire littéraire Texte 2 : Le Père Goriot, Honoré de Balzac De 1848 à 1890, un nouveau mouvement littéraire apparait : le Réalisme. Ces auteurs réalistes su 19e siècle, comme Flaubert, Zola ou encore Maupassant, s’attachent à décrire avec exactitude et précision la réalité qu’ils peuvent observer. C’est pourquoi la présentation des personnages ou des lieux entrainent de nombreux portraits très détaillés, les reliant ainsi

LA1- Le portrait de Mme Vauquer Comment l’auteur allie-t-il le portrait réaliste et la caricature ? Ceci est le plan que détaillé que j’ai fait à partir de la lecture analytique de Mme Plesdin. Je n’ai pas le temps de recopier toute la lecture qu’elle a donné, trop de blabla et de précisions pas forcément utiles. Ce plan devrait suffire pour s’en sortir. I- Un portrait réaliste a. L’harmonie d l’individu et du milieu - Pas de plan précis dans la description

Madame Vauquer annoncée par son chat L'entrée en scène de Madame Vauquer Un portrait dépréciatif Une apparence physique des plus ingrate Des métamorphoses du registre de l'animalité Un portrait moral dépréciatif L'emprise du décor sur l'être Une structure de phrase significative en deux temps Un présent intemporel Résumé du commentaire de texte ... Le portrait de Madame Vauquer constitue le prolongement naturel de la description de la pension qu’elle tient à Paris. Madame Vauquer est

Fiche bac : Le Roman et ses personnages : Le Père Goriot , Balzac Lecture analytique 1 : Le portait de Mme Vauquer Introduction : Balzac, écrivain du 19° siècle compose avec la Comédie Humaine , une immense fresque romanesque proposant un tableau des mœurs sous la Restauration : il illustre dans son œuvre sa conviction de l'interaction existante entre le milieu présenté et les personnages qui y évoluent. Le Père Goriot est un roman de la paternité présentant le sacrifice ultime d'un père pour

scène parodique 1. Le décor 2. Madame Vauquer annoncée par son chat 3. L'entrée en scène de Madame Vauquer 2. Un portrait dépréciatif 4. Une apparence physique des plus ingrate 5. Des métamorphoses du registre de l'animalité 6. Un portrait moral dépréciatif 3. 1. Un portrait réaliste sans complaisance 4. 2. Le point de vue du narrateur 5. On insistera sur l’animalité de la description (Vauquer est un 6. « rat d’église » avec « un nez à bec-de-perroquet

temps produisent un effet de réel : l'heure " sept heures du matin " , une heure ou madame Vauquer ne triche pas sur son apparence ; le mobilier : " buffets " , " jattes couvertes d'assiettes " , le bruit : " rourou matinal ", l'odeur : " l'air chaudement fétide " , la matière des vêtements : "laine, "ouate" . Ces détails rendent plus réaliste le portrait de madame Vauquer . b. Le portrait de madame Vauquer est dépréciatif, physiquement et moralement : - la vieillesse : "face vieillotte", "yeux

Objet d’étude : parcours de personnages Des bouleversements sociaux à la littérature, naissance d’un personnage : l’arriviste L’ambition, l’envie, l’orgueil sont des caractéristiques humaines réfléchies dans les divers genres et registres de la littérature depuis toujours : de L’Iliade et L’Odyssée au Bourgeois gentilhomme et Tartuffe ou aux Noces de Figaro et Britannicus en passant par ses punitions dans La divine Comédie. Mais elles trouvent leur apothéose au 19ème siècle avec le grand

lustre au moment où, vers sept heures du matin, le chat de madame Vauquer précède sa maîtresse, saute sur les buffets, y flaire le lait que contiennent plusieurs jattes couvertes d’assiettes, et fait entendre son ronron matinal. Bientôt la veuve se montre, attifée de son bonnet de tulle sous lequel pend un tour de faux cheveux mal mis ; elle marche en traînassant ses pantoufles grimacées. Sa face vieillotte, grassouillette, du milieu de laquelle sort un nez à bec de perroquet ; ses petites mains potelées

œuvre. Il apparaît pour la première fois en 1841.5- Dans la Comédie humaine Balzac adopte le système du retour des personnages d’un roman à un autre. Ce procédé lui permet de les éclairer sous différents angles. | Texte 1Les infortunes d’un pensionnaire nommé GoriotLe père Goriot est un vieillard de soixante-neuf ans, habite comme pensionnaire dans la maison-Vauquer. La veuve Vauquer nourrissait le projet de se marier avec ce riche négociant désormais à la retraite. Après des tentatives, elle perd

répugnante de la maison Vauquer, une pensionparisienne située dans la rue Neuve-Sainte-Geneviève, appartenant à la veuve Vauquer. Plusieurs résidents s'y côtoient, dont Eugène de Rastignac, jeune étudiant en droit, un mystérieux personnage un peu rustre et grossier nommé Vautrin et un ancien vermicellier (fabriquant de pâtes et de pain) ayant fait fortune pendant la révolution, retraité maintenant complètement désargenté et veuf, surnommé le père Goriot par la veuve Vauquer, frustrée dans ses intentions